Chords for Saez - Les Magnifiques
Tempo:
112.75 bpm
Chords used:
C#
F
A#m
F#
D#
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Ils sont les yeux des funéraires, toujours prêts à sauter d'un pont.
[Fm] On dirait que [F] toujours misère et la tristesse sont leurs prénoms,
sont [A#m] écorchés dans l'écorce.
Il y a toujours un amour perdu, [F#] gravé au couteau dans la sève,
de leurs yeux qui ne comprennent plus.
[C#] Ils sont les yeux des mortuaires et le valeur des processions.
[F] On dirait que toujours l'enfer sera toujours dans leurs chansons.
[A#m] Ils sont les yeux des trop avides et puis la force des fragiles.
Ils [F#] ont le partage cupide de ceux qui se partagent trop,
[C#] dans les cafés pour les corbeaux, de l'amour quand ils jouent la peau.
Les [F]
magnifiques, ils parlent trop, et même quand ils ont l'air stupides,
c'est d [A#m]'un pudard qu'ils sont beaux, et de partage qu'ils sont cupides.
Quand [F#] ils se déversent en sanglots, les mots sont souvent inutiles.
[C#] Bien sûr qu'ils mentent comme ils respirent quand ils se jurent des avenirs,
car [F] ils savent trop bien ce que la mort, il s'est fait [A#m] à ceux qui s'aiment.
En séparant les corps, elle [F#] ne leur donne pas la mort,
elle leur reprend la [C#] vie, oui.
Les navires chouettes se ramassent à la [F] pelle,
et toi tu leur ressembles quand tu dis que tu m [A#m]'aimes.
Tu finiras bientôt, déchiré par [F#] les flots,
qui noieront au ragant dans tes yeux les [C#] sanglots.
Quand ils s'unissent sous les cieux, quand ils se bavent par les [F] yeux,
ils se parlent de ces amours qui font faire les tristes chansons.
Ils [A#m] ont des heures de religieux, quand ils se disent leurs vrais noms,
ils [F#] se disent qu'ils seront éternels, et pire encore,
ils croient qu'ils [C#] s'emporteront dans la tombe,
leur cathédrale sera le monde, et ils [F]
finiront comme Paul Monde,
tous les biens seuls à fleurer pour l'autre,
dans [A#m] le brouillon des parlantes, dans le dorvillon des pleurantes,
dans le [F#] mourant des amours mortes au gré [C#] du temps qu'ils escortent.
[C#] Ils se déversent, ils me dégoûtent, et pourtant putain qu'ils sont beaux,
que même [F] leur bêtise fait bien, oui qu'elle fait bien sonner les mots.
Qu'on [A#m] dirait les musiques que j'ai jamais su faire,
qu [F#]'on dirait que Paris a été fait pour eux.
Les [C#] magnifiques sont magnifiques quand ils se chantent leurs cantiques,
au [F] fond des arbres y'a des regards qui font que la vie semble belle,
mais la vie est [A#m] cruelle, et elle pour fera bientôt,
les [D#]
promesses sont [F#] promises par-dessus le bateau, [C#] oui.
Les navires du chouette se ramassent à la [F]
pelle,
et toi tu leur [F] ressembles quand tu dis que tu m [A#m]'aimes,
tu finiras bientôt déchiré par les [F#]
flots,
qui noiront d'aurabants dans tes yeux les [C#] sanglots.
Les navires du chouette se ramassent à la [F]
pelle,
ils sont beaux, ils sont très, quand ils suggèrent le [A#m] ciel,
alors ne dire rien, ne dis rien mon [D#m]
amour.
[F#] Et laissons faire la nuit jusqu'au [C#] lever du jour,
quand soudain l'un d'entre eux [C#] décide d'en finir,
[A] car toujours dans [F] la vie, l'un doit partir avant l'autre,
[A#m] que ce soit par la mort, ou par l [A#m]'inquiétude du cœur,
[C#] ou pour aller voir [F#] au port quelques marins sans cœur,
ou pour mieux dans mon corps, pour quelques vies de joie,
[F]
juste parce que c'est bon d'être tout seul parfois,
[A#m] eux ils crucifient l'autre, qu'ils [D#] ont juré,
bon Dieu, [F#] qu'il s'acharne sur son corps,
comme s [F#]'acharne l'amour, mais il [C#] est déjà mort, ça y est,
ça y est, tu peux partir, [F] à d'autres bras tendés,
aller [F] vendre ton soraire, [A#m] les magnifiques meurent,
comme un [A#m] sanglot perdu, au fond [F#] des océans,
les corps des désperés.
[C#]
Les navires du [C#] chouette se ramassent [F] à la pelle,
les toits qui leur ressemblent, quand ils disent qu'ils [A#] m'aiment,
[A#m] tu finiras bientôt, déchiré [F#] par les morts,
qui mourront en toragon, dans tes [C#] yeux, les sanglots,
les navires des chouettes se ramassent à la [F]
pelle,
ils sont beaux, ils ont plaisir, quand ils se gèrent le [A#m] ciel,
alors ne jure rien, ne [C] dis rien mon [F#] amour,
[F#] et laissez faire la neige, jusqu'au lever [C#] du jour.
[Fm] On dirait que [F] toujours misère et la tristesse sont leurs prénoms,
sont [A#m] écorchés dans l'écorce.
Il y a toujours un amour perdu, [F#] gravé au couteau dans la sève,
de leurs yeux qui ne comprennent plus.
[C#] Ils sont les yeux des mortuaires et le valeur des processions.
[F] On dirait que toujours l'enfer sera toujours dans leurs chansons.
[A#m] Ils sont les yeux des trop avides et puis la force des fragiles.
Ils [F#] ont le partage cupide de ceux qui se partagent trop,
[C#] dans les cafés pour les corbeaux, de l'amour quand ils jouent la peau.
Les [F]
magnifiques, ils parlent trop, et même quand ils ont l'air stupides,
c'est d [A#m]'un pudard qu'ils sont beaux, et de partage qu'ils sont cupides.
Quand [F#] ils se déversent en sanglots, les mots sont souvent inutiles.
[C#] Bien sûr qu'ils mentent comme ils respirent quand ils se jurent des avenirs,
car [F] ils savent trop bien ce que la mort, il s'est fait [A#m] à ceux qui s'aiment.
En séparant les corps, elle [F#] ne leur donne pas la mort,
elle leur reprend la [C#] vie, oui.
Les navires chouettes se ramassent à la [F] pelle,
et toi tu leur ressembles quand tu dis que tu m [A#m]'aimes.
Tu finiras bientôt, déchiré par [F#] les flots,
qui noieront au ragant dans tes yeux les [C#] sanglots.
Quand ils s'unissent sous les cieux, quand ils se bavent par les [F] yeux,
ils se parlent de ces amours qui font faire les tristes chansons.
Ils [A#m] ont des heures de religieux, quand ils se disent leurs vrais noms,
ils [F#] se disent qu'ils seront éternels, et pire encore,
ils croient qu'ils [C#] s'emporteront dans la tombe,
leur cathédrale sera le monde, et ils [F]
finiront comme Paul Monde,
tous les biens seuls à fleurer pour l'autre,
dans [A#m] le brouillon des parlantes, dans le dorvillon des pleurantes,
dans le [F#] mourant des amours mortes au gré [C#] du temps qu'ils escortent.
[C#] Ils se déversent, ils me dégoûtent, et pourtant putain qu'ils sont beaux,
que même [F] leur bêtise fait bien, oui qu'elle fait bien sonner les mots.
Qu'on [A#m] dirait les musiques que j'ai jamais su faire,
qu [F#]'on dirait que Paris a été fait pour eux.
Les [C#] magnifiques sont magnifiques quand ils se chantent leurs cantiques,
au [F] fond des arbres y'a des regards qui font que la vie semble belle,
mais la vie est [A#m] cruelle, et elle pour fera bientôt,
les [D#]
promesses sont [F#] promises par-dessus le bateau, [C#] oui.
Les navires du chouette se ramassent à la [F]
pelle,
et toi tu leur [F] ressembles quand tu dis que tu m [A#m]'aimes,
tu finiras bientôt déchiré par les [F#]
flots,
qui noiront d'aurabants dans tes yeux les [C#] sanglots.
Les navires du chouette se ramassent à la [F]
pelle,
ils sont beaux, ils sont très, quand ils suggèrent le [A#m] ciel,
alors ne dire rien, ne dis rien mon [D#m]
amour.
[F#] Et laissons faire la nuit jusqu'au [C#] lever du jour,
quand soudain l'un d'entre eux [C#] décide d'en finir,
[A] car toujours dans [F] la vie, l'un doit partir avant l'autre,
[A#m] que ce soit par la mort, ou par l [A#m]'inquiétude du cœur,
[C#] ou pour aller voir [F#] au port quelques marins sans cœur,
ou pour mieux dans mon corps, pour quelques vies de joie,
[F]
juste parce que c'est bon d'être tout seul parfois,
[A#m] eux ils crucifient l'autre, qu'ils [D#] ont juré,
bon Dieu, [F#] qu'il s'acharne sur son corps,
comme s [F#]'acharne l'amour, mais il [C#] est déjà mort, ça y est,
ça y est, tu peux partir, [F] à d'autres bras tendés,
aller [F] vendre ton soraire, [A#m] les magnifiques meurent,
comme un [A#m] sanglot perdu, au fond [F#] des océans,
les corps des désperés.
[C#]
Les navires du [C#] chouette se ramassent [F] à la pelle,
les toits qui leur ressemblent, quand ils disent qu'ils [A#] m'aiment,
[A#m] tu finiras bientôt, déchiré [F#] par les morts,
qui mourront en toragon, dans tes [C#] yeux, les sanglots,
les navires des chouettes se ramassent à la [F]
pelle,
ils sont beaux, ils ont plaisir, quand ils se gèrent le [A#m] ciel,
alors ne jure rien, ne [C] dis rien mon [F#] amour,
[F#] et laissez faire la neige, jusqu'au lever [C#] du jour.
Key:
C#
F
A#m
F#
D#
C#
F
A#m
_ _ _ _ _ _ Ils sont les yeux des funéraires, toujours prêts à sauter d'un pont.
[Fm] On dirait que [F] toujours misère et la tristesse sont leurs prénoms,
sont [A#m] écorchés dans l'écorce.
Il y a toujours un amour perdu, [F#] gravé au couteau dans la sève,
de leurs yeux qui ne comprennent plus.
[C#] Ils sont les yeux des mortuaires et le valeur des processions.
[F] On dirait que toujours l'enfer sera toujours dans leurs chansons.
[A#m] Ils sont les yeux des trop avides et puis la force des fragiles.
Ils [F#] ont le partage cupide de ceux qui se partagent trop,
[C#] dans les cafés pour les corbeaux, de l'amour quand ils jouent la peau.
Les [F]
magnifiques, ils parlent trop, et même quand ils ont l'air stupides,
c'est d [A#m]'un pudard qu'ils sont beaux, et de partage qu'ils sont cupides.
Quand [F#] ils se déversent en sanglots, les mots sont souvent inutiles.
[C#] Bien sûr qu'ils mentent comme ils respirent quand ils se jurent des avenirs,
car [F] ils savent trop bien ce que la mort, il s'est fait [A#m] à ceux qui s'aiment.
En séparant les corps, elle [F#] ne leur donne pas la mort,
elle leur reprend la [C#] vie, oui. _
Les navires chouettes se ramassent à la [F] pelle,
et toi tu leur ressembles quand tu dis que tu m [A#m]'aimes.
Tu finiras bientôt, déchiré par [F#] les flots,
qui noieront au ragant dans tes yeux les [C#] sanglots.
Quand ils s'unissent sous les cieux, quand ils se bavent par les [F] yeux,
ils se parlent de ces amours qui font faire les tristes chansons.
Ils [A#m] ont des heures de religieux, quand ils se disent leurs vrais noms,
ils [F#] se disent qu'ils seront éternels, et pire encore,
ils croient qu'ils [C#] s'emporteront dans la tombe,
leur cathédrale sera le monde, et ils [F]
finiront comme Paul Monde,
tous les biens seuls à fleurer pour l'autre,
dans [A#m] le brouillon des parlantes, dans le dorvillon des pleurantes,
dans le [F#] mourant des amours mortes au gré [C#] du temps qu'ils escortent.
[C#] Ils se déversent, ils me dégoûtent, et pourtant putain qu'ils sont beaux,
que même [F] leur bêtise fait bien, oui qu'elle fait bien sonner les mots.
Qu'on [A#m] dirait les musiques que j'ai jamais su faire,
qu [F#]'on dirait que Paris a été fait pour eux.
Les [C#] magnifiques sont magnifiques quand ils se chantent leurs cantiques,
au [F] fond des arbres y'a des regards qui font que la vie semble belle,
mais la vie est [A#m] cruelle, et elle pour fera bientôt,
les [D#]
promesses sont [F#] promises par-dessus le bateau, [C#] oui.
Les navires du chouette se ramassent à la [F]
pelle,
et toi tu leur [F] ressembles quand tu dis que tu m [A#m]'aimes,
tu finiras bientôt déchiré par les [F#]
flots,
qui noiront d'aurabants dans tes yeux les [C#] sanglots.
Les navires du chouette se ramassent à la [F]
pelle,
ils sont beaux, ils sont très, quand ils suggèrent le [A#m] ciel,
alors ne dire rien, ne dis rien mon [D#m]
amour.
[F#] Et laissons faire la nuit jusqu'au [C#] lever du jour,
quand soudain l'un d'entre eux [C#] décide d'en finir,
[A] car toujours dans [F] la vie, l'un doit partir avant l'autre,
[A#m] que ce soit par la mort, ou par l [A#m]'inquiétude du cœur,
[C#] ou pour aller voir [F#] au port quelques marins sans cœur,
ou pour mieux dans mon corps, pour quelques vies de joie,
[F]
juste parce que c'est bon d'être tout seul parfois,
[A#m] eux ils crucifient l'autre, qu'ils [D#] ont juré,
bon Dieu, [F#] qu'il s'acharne sur son corps,
comme s [F#]'acharne l'amour, mais il [C#] est déjà mort, ça y est,
ça y est, tu peux partir, [F] à d'autres bras tendés,
aller [F] vendre ton soraire, [A#m] les magnifiques meurent,
comme un [A#m] sanglot perdu, au fond [F#] des océans,
les corps des désperés.
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Les navires du [C#] chouette se ramassent [F] à la pelle,
les toits qui leur ressemblent, quand ils disent qu'ils [A#] m'aiment,
[A#m] tu finiras bientôt, déchiré [F#] par les morts,
qui mourront en toragon, dans tes [C#] yeux, les sanglots,
les navires des chouettes se ramassent à la [F]
pelle,
ils sont beaux, ils ont plaisir, quand ils se gèrent le [A#m] ciel,
alors ne jure rien, ne [C] dis rien mon [F#] amour,
[F#] et laissez faire la neige, jusqu'au lever [C#] du jour.
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[Fm] On dirait que [F] toujours misère et la tristesse sont leurs prénoms,
sont [A#m] écorchés dans l'écorce.
Il y a toujours un amour perdu, [F#] gravé au couteau dans la sève,
de leurs yeux qui ne comprennent plus.
[C#] Ils sont les yeux des mortuaires et le valeur des processions.
[F] On dirait que toujours l'enfer sera toujours dans leurs chansons.
[A#m] Ils sont les yeux des trop avides et puis la force des fragiles.
Ils [F#] ont le partage cupide de ceux qui se partagent trop,
[C#] dans les cafés pour les corbeaux, de l'amour quand ils jouent la peau.
Les [F]
magnifiques, ils parlent trop, et même quand ils ont l'air stupides,
c'est d [A#m]'un pudard qu'ils sont beaux, et de partage qu'ils sont cupides.
Quand [F#] ils se déversent en sanglots, les mots sont souvent inutiles.
[C#] Bien sûr qu'ils mentent comme ils respirent quand ils se jurent des avenirs,
car [F] ils savent trop bien ce que la mort, il s'est fait [A#m] à ceux qui s'aiment.
En séparant les corps, elle [F#] ne leur donne pas la mort,
elle leur reprend la [C#] vie, oui. _
Les navires chouettes se ramassent à la [F] pelle,
et toi tu leur ressembles quand tu dis que tu m [A#m]'aimes.
Tu finiras bientôt, déchiré par [F#] les flots,
qui noieront au ragant dans tes yeux les [C#] sanglots.
Quand ils s'unissent sous les cieux, quand ils se bavent par les [F] yeux,
ils se parlent de ces amours qui font faire les tristes chansons.
Ils [A#m] ont des heures de religieux, quand ils se disent leurs vrais noms,
ils [F#] se disent qu'ils seront éternels, et pire encore,
ils croient qu'ils [C#] s'emporteront dans la tombe,
leur cathédrale sera le monde, et ils [F]
finiront comme Paul Monde,
tous les biens seuls à fleurer pour l'autre,
dans [A#m] le brouillon des parlantes, dans le dorvillon des pleurantes,
dans le [F#] mourant des amours mortes au gré [C#] du temps qu'ils escortent.
[C#] Ils se déversent, ils me dégoûtent, et pourtant putain qu'ils sont beaux,
que même [F] leur bêtise fait bien, oui qu'elle fait bien sonner les mots.
Qu'on [A#m] dirait les musiques que j'ai jamais su faire,
qu [F#]'on dirait que Paris a été fait pour eux.
Les [C#] magnifiques sont magnifiques quand ils se chantent leurs cantiques,
au [F] fond des arbres y'a des regards qui font que la vie semble belle,
mais la vie est [A#m] cruelle, et elle pour fera bientôt,
les [D#]
promesses sont [F#] promises par-dessus le bateau, [C#] oui.
Les navires du chouette se ramassent à la [F]
pelle,
et toi tu leur [F] ressembles quand tu dis que tu m [A#m]'aimes,
tu finiras bientôt déchiré par les [F#]
flots,
qui noiront d'aurabants dans tes yeux les [C#] sanglots.
Les navires du chouette se ramassent à la [F]
pelle,
ils sont beaux, ils sont très, quand ils suggèrent le [A#m] ciel,
alors ne dire rien, ne dis rien mon [D#m]
amour.
[F#] Et laissons faire la nuit jusqu'au [C#] lever du jour,
quand soudain l'un d'entre eux [C#] décide d'en finir,
[A] car toujours dans [F] la vie, l'un doit partir avant l'autre,
[A#m] que ce soit par la mort, ou par l [A#m]'inquiétude du cœur,
[C#] ou pour aller voir [F#] au port quelques marins sans cœur,
ou pour mieux dans mon corps, pour quelques vies de joie,
[F]
juste parce que c'est bon d'être tout seul parfois,
[A#m] eux ils crucifient l'autre, qu'ils [D#] ont juré,
bon Dieu, [F#] qu'il s'acharne sur son corps,
comme s [F#]'acharne l'amour, mais il [C#] est déjà mort, ça y est,
ça y est, tu peux partir, [F] à d'autres bras tendés,
aller [F] vendre ton soraire, [A#m] les magnifiques meurent,
comme un [A#m] sanglot perdu, au fond [F#] des océans,
les corps des désperés.
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Les navires du [C#] chouette se ramassent [F] à la pelle,
les toits qui leur ressemblent, quand ils disent qu'ils [A#] m'aiment,
[A#m] tu finiras bientôt, déchiré [F#] par les morts,
qui mourront en toragon, dans tes [C#] yeux, les sanglots,
les navires des chouettes se ramassent à la [F]
pelle,
ils sont beaux, ils ont plaisir, quand ils se gèrent le [A#m] ciel,
alors ne jure rien, ne [C] dis rien mon [F#] amour,
[F#] et laissez faire la neige, jusqu'au lever [C#] du jour.
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