Chords for Saez - Les Magnifiques

Tempo:
112.75 bpm
Chords used:

C#

F

A#m

F#

D#

Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Saez - Les Magnifiques chords
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Ils sont les yeux des funéraires, toujours prêts à sauter d'un pont.
dirait que [F] toujours misère et la tristesse sont leurs prénoms,
[A#m] écorchés dans l'écorce.
au couteau dans la sève,
les yeux des mortuaires et le valeur des processions.
que toujours l'enfer sera toujours dans leurs chansons.
les yeux des trop avides et puis la force des fragiles.
le partage cupide de ceux qui se partagent trop,
100%  ➙  113BPM
C#
12341114
F
134211111
A#m
13421111
F#
134211112
D#
12341116
C#
12341114
F
134211111
A#m
13421111
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_ _ _ _ _ _ Ils sont les yeux des funéraires, toujours prêts à sauter d'un pont.
[Fm] On dirait que [F] toujours misère et la tristesse sont leurs prénoms,
sont [A#m] écorchés dans l'écorce.
Il y a toujours un amour perdu, [F#] gravé au couteau dans la sève,
de leurs yeux qui ne comprennent plus.
[C#] Ils sont les yeux des mortuaires et le valeur des processions.
[F] On dirait que toujours l'enfer sera toujours dans leurs chansons.
[A#m] Ils sont les yeux des trop avides et puis la force des fragiles.
Ils [F#] ont le partage cupide de ceux qui se partagent trop,
[C#] dans les cafés pour les corbeaux, de l'amour quand ils jouent la peau.
Les [F]
magnifiques, ils parlent trop, et même quand ils ont l'air stupides,
c'est d [A#m]'un pudard qu'ils sont beaux, et de partage qu'ils sont cupides.
Quand [F#] ils se déversent en sanglots, les mots sont souvent inutiles.
[C#] Bien sûr qu'ils mentent comme ils respirent quand ils se jurent des avenirs,
car [F] ils savent trop bien ce que la mort, il s'est fait [A#m] à ceux qui s'aiment.
En séparant les corps, elle [F#] ne leur donne pas la mort,
elle leur reprend la [C#] vie, oui. _
Les navires chouettes se ramassent à la [F] pelle,
et toi tu leur ressembles quand tu dis que tu m [A#m]'aimes.
Tu finiras bientôt, déchiré par [F#] les flots,
qui noieront au ragant dans tes yeux les [C#] sanglots.
Quand ils s'unissent sous les cieux, quand ils se bavent par les [F] yeux,
ils se parlent de ces amours qui font faire les tristes chansons.
Ils [A#m] ont des heures de religieux, quand ils se disent leurs vrais noms,
ils [F#] se disent qu'ils seront éternels, et pire encore,
ils croient qu'ils [C#] s'emporteront dans la tombe,
leur cathédrale sera le monde, et ils [F]
finiront comme Paul Monde,
tous les biens seuls à fleurer pour l'autre,
dans [A#m] le brouillon des parlantes, dans le dorvillon des pleurantes,
dans le [F#] mourant des amours mortes au gré [C#] du temps qu'ils escortent.
[C#] Ils se déversent, ils me dégoûtent, et pourtant putain qu'ils sont beaux,
que même [F] leur bêtise fait bien, oui qu'elle fait bien sonner les mots.
Qu'on [A#m] dirait les musiques que j'ai jamais su faire,
qu [F#]'on dirait que Paris a été fait pour eux.
Les [C#] magnifiques sont magnifiques quand ils se chantent leurs cantiques,
au [F] fond des arbres y'a des regards qui font que la vie semble belle,
mais la vie est [A#m] cruelle, et elle pour fera bientôt,
les [D#]
promesses sont [F#] promises par-dessus le bateau, [C#] oui.
Les navires du chouette se ramassent à la [F]
pelle,
et toi tu leur [F] ressembles quand tu dis que tu m [A#m]'aimes,
tu finiras bientôt déchiré par les [F#]
flots,
qui noiront d'aurabants dans tes yeux les [C#] sanglots.
Les navires du chouette se ramassent à la [F]
pelle,
ils sont beaux, ils sont très, quand ils suggèrent le [A#m] ciel,
alors ne dire rien, ne dis rien mon [D#m]
amour.
[F#] Et laissons faire la nuit jusqu'au [C#] lever du jour,
quand soudain l'un d'entre eux [C#] décide d'en finir,
[A] car toujours dans [F] la vie, l'un doit partir avant l'autre,
[A#m] que ce soit par la mort, ou par l [A#m]'inquiétude du cœur,
[C#] ou pour aller voir [F#] au port quelques marins sans cœur,
ou pour mieux dans mon corps, pour quelques vies de joie,
[F]
juste parce que c'est bon d'être tout seul parfois,
[A#m] eux ils crucifient l'autre, qu'ils [D#] ont juré,
bon Dieu, [F#] qu'il s'acharne sur son corps,
comme s [F#]'acharne l'amour, mais il [C#] est déjà mort, ça y est,
ça y est, tu peux partir, [F] à d'autres bras tendés,
aller [F] vendre ton soraire, [A#m] les magnifiques meurent,
comme un [A#m] sanglot perdu, au fond [F#] des océans,
les corps des désperés.
[C#] _
Les navires du [C#] chouette se ramassent [F] à la pelle,
les toits qui leur ressemblent, quand ils disent qu'ils [A#] m'aiment,
[A#m] tu finiras bientôt, déchiré [F#] par les morts,
qui mourront en toragon, dans tes [C#] yeux, les sanglots,
les navires des chouettes se ramassent à la [F]
pelle,
ils sont beaux, ils ont plaisir, quand ils se gèrent le [A#m] ciel,
alors ne jure rien, ne [C] dis rien mon [F#] amour,
[F#] et laissez faire la neige, jusqu'au lever [C#] du jour.
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