Chords for Stromae - L’enfer (Live Performance)
Tempo:
89.15 bpm
Chords used:
Dm
Gm
A
E
D
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
On va maintenant parler de votre album qui s'appelle Multitude et vous y avez mis des influences des cinq continents.
Vous avez utilisé des instruments, des rythmes sud-américains, asiatiques, africains.
Est-ce que c'est un hommage un peu à la culture globetrotter transmise par votre maman ?
On sait qu'elle vous a beaucoup fait voyager.
Elle nous a fait beaucoup voyager en sac à dos.
Et d'ailleurs, oui, on a voyagé au Mali, on a voyagé au Mexique, on a voyagé vraiment partout.
Elle a toujours eu cette envie d'aller voir ailleurs.
Et moi, de la même manière, pour cet album, j'avais envie d'aller chercher des grooves.
En fait, un truc que j'aime beaucoup faire, c'est vraiment chercher des grooves différents.
On va prendre un violon chinois qu'on appelle les rues.
Un clavecin.
Un clavecin mélangé avec du baïlé funk brésilien.
Et moi, c'est ça que j'adore faire, c'est mélanger des choses.
En fait, l'idée, c'était vraiment de prendre des inspirations de partout, mais sans pouvoir pointer un pays du doigt.
Parce que je n'avais pas envie d'avoir un morceau bolivien, un morceau congolais, un morceau rwandais.
J'avais vraiment envie de mélanger tout, plein de choses.
D'où le titre « Multitude ».
Vous êtes multiple.
Voilà.
Je pense qu'on l'est tous.
On est tous multiple.
On est plein de personnages différents.
On a plein de personnalités différentes.
Et on n'est pas résumé à un carcan, à une case.
Alors justement, si vos chansons ont un tel succès, c'est sans doute parce qu'elles nous interpellent tous.
Vous mettez en musique nos travers, nos contradictions.
Et je dois dire que c'est toujours assez sans concession.
Mais pas tendre.
Ni avec vous, ni avec nous.
Non, c'est vrai.
Mais oui, c'est ma façon à moi.
C'est comme ça que je vois la musique.
C'est vrai qu'on définit souvent ma musique comme…
J'ai souvent une musique plutôt joyeuse, avec des thématiques un peu plus sombres, un peu plus tristes.
Et je pense que c'est un peu comme ça que je vois la vie.
C'est qu'elle n'est pas complètement blanche, elle n'est pas complètement noire.
Il y a des moments difficiles, des moments plus joyeux.
Et c'est toujours alterné.
Il n'y a pas de haut sans bas, il n'y a pas de bas sans haut.
Et c'est la vie.
Vous avez aussi pendant ces temps lutté contre un certain mal-être.
Vous en parlez d'ailleurs sans détour.
Dans vos chansons, vous parlez aussi beaucoup de solitude.
Est-ce que la musique vous a aidé à vous en [Dm] libérer ?
Je [Gm] ne suis pas tout seul à être tout seul.
Ça [E] fait déjà ça de moins dans la [Dm] tête.
Et si je [Gm] comptais combien on est, [A] [Dm] beaucoup.
Du coup, [Gm] tout ce à quoi j'ai déjà pensé,
Dire [A] que plein d'autres y ont déjà [Dm] pensé,
Mais [Gm] malgré tout, je me sens tout seul.
[A] [Dm] Du coup, [Gm] j'ai [E] parfois eu des pensées [Dm] suicidaires,
Et j'en suis peu [Gm] fier.
On croit parfois [A] que c'est la seule [Dm] manière de les faire taire,
Ces [E] pensées qui me font vivre un [Dm] enfer.
[Gm] Ces pensées qui [A] me font vivre un [Dm] enfer.
[Gm]
[A] [Dm]
[A] [Dm] [Gm] Est-ce qu'il y a que moi qui ai la télé,
Et [E] la chaîne [Dm] culpabilité ?
Mais faut [Gm] bien se changer les idées,
[A] Pas trop [Dm] quand même,
[Gm] Sinon ça repart vite dans la tête,
[D] Et c'est trop tard pour que ça [Dm] s'arrête.
C'est là que [Gm] j'aimerais tout oublier.
[A] [Dm] Du coup, [Gm] j'ai parfois eu [E] des pensées [Dm] suicidaires,
Et j'en suis [Gm] peu fier.
On croit parfois que c'est la seule [Dm] manière de les [Gm] faire taire,
Ces pensées qui [A] me font vivre un [Dm] enfer.
[Gm] Ces pensées qui [A] me font vivre un [Dm] enfer.
[Gm]
[A] [Dm] [Gm]
[A] [Dm] [Gm] Tu sais, j'ai mûrement [E] réfléchi,
[A] Et je sais vraiment pas [Dm] quoi faire de toi.
[Gm] Justement, réfléchir, [A] c'est bien le problème [Dm] avec toi.
[Gm] Tu sais, j'ai mûrement réfléchi,
[A] Et je sais vraiment pas [Dm] quoi faire de toi.
[Gm] Justement, réfléchir, [A] c'est bien le problème [Dm] avec toi.
[Gm] [Dm] [Gm]
[A] [Dm] [Gm]
[Dm] [Gm]
[A] [C#]
[N]
Vous avez utilisé des instruments, des rythmes sud-américains, asiatiques, africains.
Est-ce que c'est un hommage un peu à la culture globetrotter transmise par votre maman ?
On sait qu'elle vous a beaucoup fait voyager.
Elle nous a fait beaucoup voyager en sac à dos.
Et d'ailleurs, oui, on a voyagé au Mali, on a voyagé au Mexique, on a voyagé vraiment partout.
Elle a toujours eu cette envie d'aller voir ailleurs.
Et moi, de la même manière, pour cet album, j'avais envie d'aller chercher des grooves.
En fait, un truc que j'aime beaucoup faire, c'est vraiment chercher des grooves différents.
On va prendre un violon chinois qu'on appelle les rues.
Un clavecin.
Un clavecin mélangé avec du baïlé funk brésilien.
Et moi, c'est ça que j'adore faire, c'est mélanger des choses.
En fait, l'idée, c'était vraiment de prendre des inspirations de partout, mais sans pouvoir pointer un pays du doigt.
Parce que je n'avais pas envie d'avoir un morceau bolivien, un morceau congolais, un morceau rwandais.
J'avais vraiment envie de mélanger tout, plein de choses.
D'où le titre « Multitude ».
Vous êtes multiple.
Voilà.
Je pense qu'on l'est tous.
On est tous multiple.
On est plein de personnages différents.
On a plein de personnalités différentes.
Et on n'est pas résumé à un carcan, à une case.
Alors justement, si vos chansons ont un tel succès, c'est sans doute parce qu'elles nous interpellent tous.
Vous mettez en musique nos travers, nos contradictions.
Et je dois dire que c'est toujours assez sans concession.
Mais pas tendre.
Ni avec vous, ni avec nous.
Non, c'est vrai.
Mais oui, c'est ma façon à moi.
C'est comme ça que je vois la musique.
C'est vrai qu'on définit souvent ma musique comme…
J'ai souvent une musique plutôt joyeuse, avec des thématiques un peu plus sombres, un peu plus tristes.
Et je pense que c'est un peu comme ça que je vois la vie.
C'est qu'elle n'est pas complètement blanche, elle n'est pas complètement noire.
Il y a des moments difficiles, des moments plus joyeux.
Et c'est toujours alterné.
Il n'y a pas de haut sans bas, il n'y a pas de bas sans haut.
Et c'est la vie.
Vous avez aussi pendant ces temps lutté contre un certain mal-être.
Vous en parlez d'ailleurs sans détour.
Dans vos chansons, vous parlez aussi beaucoup de solitude.
Est-ce que la musique vous a aidé à vous en [Dm] libérer ?
Je [Gm] ne suis pas tout seul à être tout seul.
Ça [E] fait déjà ça de moins dans la [Dm] tête.
Et si je [Gm] comptais combien on est, [A] [Dm] beaucoup.
Du coup, [Gm] tout ce à quoi j'ai déjà pensé,
Dire [A] que plein d'autres y ont déjà [Dm] pensé,
Mais [Gm] malgré tout, je me sens tout seul.
[A] [Dm] Du coup, [Gm] j'ai [E] parfois eu des pensées [Dm] suicidaires,
Et j'en suis peu [Gm] fier.
On croit parfois [A] que c'est la seule [Dm] manière de les faire taire,
Ces [E] pensées qui me font vivre un [Dm] enfer.
[Gm] Ces pensées qui [A] me font vivre un [Dm] enfer.
[Gm]
[A] [Dm]
[A] [Dm] [Gm] Est-ce qu'il y a que moi qui ai la télé,
Et [E] la chaîne [Dm] culpabilité ?
Mais faut [Gm] bien se changer les idées,
[A] Pas trop [Dm] quand même,
[Gm] Sinon ça repart vite dans la tête,
[D] Et c'est trop tard pour que ça [Dm] s'arrête.
C'est là que [Gm] j'aimerais tout oublier.
[A] [Dm] Du coup, [Gm] j'ai parfois eu [E] des pensées [Dm] suicidaires,
Et j'en suis [Gm] peu fier.
On croit parfois que c'est la seule [Dm] manière de les [Gm] faire taire,
Ces pensées qui [A] me font vivre un [Dm] enfer.
[Gm] Ces pensées qui [A] me font vivre un [Dm] enfer.
[Gm]
[A] [Dm] [Gm]
[A] [Dm] [Gm] Tu sais, j'ai mûrement [E] réfléchi,
[A] Et je sais vraiment pas [Dm] quoi faire de toi.
[Gm] Justement, réfléchir, [A] c'est bien le problème [Dm] avec toi.
[Gm] Tu sais, j'ai mûrement réfléchi,
[A] Et je sais vraiment pas [Dm] quoi faire de toi.
[Gm] Justement, réfléchir, [A] c'est bien le problème [Dm] avec toi.
[Gm] [Dm] [Gm]
[A] [Dm] [Gm]
[Dm] [Gm]
[A] [C#]
[N]
Key:
Dm
Gm
A
E
D
Dm
Gm
A
On va maintenant parler de votre album qui s'appelle Multitude et vous y avez mis des influences des cinq continents.
Vous avez utilisé des instruments, des rythmes sud-américains, asiatiques, africains.
Est-ce que c'est un hommage un peu à la culture globetrotter transmise par votre maman ?
On sait qu'elle vous a beaucoup fait voyager.
Elle nous a fait beaucoup voyager en sac à dos.
Et d'ailleurs, oui, on a voyagé au Mali, on a voyagé au Mexique, on a voyagé vraiment partout.
Elle a toujours eu cette envie d'aller voir ailleurs.
Et moi, de la même manière, pour cet album, j'avais envie d'aller chercher des grooves.
En fait, un truc que j'aime beaucoup faire, c'est vraiment chercher des grooves différents.
On va prendre un violon _ chinois qu'on appelle les rues.
Un clavecin.
Un clavecin mélangé avec du baïlé funk brésilien.
Et moi, c'est ça que j'adore faire, c'est mélanger des choses.
En fait, l'idée, c'était vraiment de prendre des inspirations de partout, mais sans pouvoir pointer un pays du doigt.
Parce que je n'avais pas envie d'avoir un morceau bolivien, un morceau congolais, un morceau rwandais.
J'avais vraiment envie de mélanger tout, plein de choses.
D'où le titre « Multitude ».
Vous êtes multiple.
Voilà.
Je pense qu'on l'est tous.
On est tous multiple.
On est plein de personnages différents.
On a plein de personnalités différentes.
Et on n'est pas résumé à un carcan, à une case.
Alors justement, si vos chansons ont un tel succès, c'est sans doute parce qu'elles nous interpellent tous.
Vous mettez en musique nos travers, nos contradictions.
Et je dois dire que c'est toujours assez sans concession.
Mais pas tendre.
Ni avec vous, ni avec nous.
Non, c'est vrai.
Mais oui, c'est ma façon à moi.
C'est comme ça que je vois la musique.
C'est vrai qu'on définit souvent ma musique comme…
J'ai souvent une musique plutôt joyeuse, avec des thématiques un peu plus sombres, un peu plus tristes.
Et je pense que c'est un peu comme ça que je vois la vie.
C'est qu'elle n'est pas complètement blanche, elle n'est pas complètement noire.
Il y a des moments difficiles, des moments plus joyeux.
Et c'est toujours alterné.
Il n'y a pas de haut sans bas, il n'y a pas de bas sans haut.
Et c'est la vie.
Vous avez aussi pendant ces temps lutté contre un certain mal-être.
Vous en parlez d'ailleurs sans détour.
Dans vos chansons, vous parlez aussi beaucoup de solitude.
Est-ce que la musique vous a aidé à vous en [Dm] libérer ?
Je [Gm] ne suis pas tout seul à être tout seul.
Ça [E] fait déjà ça de moins dans la [Dm] tête.
Et si je [Gm] comptais combien on est, _ [A] _ [Dm] beaucoup.
Du coup, [Gm] tout ce à quoi j'ai déjà pensé,
Dire [A] que plein d'autres y ont déjà [Dm] pensé,
Mais [Gm] malgré tout, je me sens tout seul.
_ [A] _ [Dm] Du coup, _ [Gm] j'ai [E] parfois eu des pensées [Dm] suicidaires,
Et j'en suis peu [Gm] fier.
On croit parfois [A] que c'est la seule [Dm] manière de les faire taire,
Ces [E] pensées qui me font vivre un [Dm] enfer.
_ [Gm] _ Ces pensées qui [A] me font vivre un [Dm] enfer.
_ [Gm] _ _ _
_ [A] _ _ [Dm] _ _ _ _ _
_ [A] _ _ [Dm] _ [Gm] Est-ce qu'il y a que moi qui ai la télé,
Et [E] la chaîne [Dm] culpabilité ?
Mais faut [Gm] bien se changer les idées,
_ [A] Pas trop [Dm] quand même,
[Gm] Sinon ça repart vite dans la tête,
[D] Et c'est trop tard pour que ça [Dm] s'arrête.
C'est là que [Gm] j'aimerais tout oublier.
_ [A] _ [Dm] Du coup, _ [Gm] _ j'ai parfois eu [E] des pensées [Dm] suicidaires,
Et j'en suis [Gm] peu fier.
On croit parfois que c'est la seule [Dm] manière de les [Gm] faire taire,
Ces pensées qui [A] me font vivre un [Dm] enfer.
_ [Gm] _ Ces pensées qui [A] me font vivre un [Dm] enfer.
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_ [A] _ _ [Dm] _ [Gm] Tu sais, j'ai mûrement [E] réfléchi,
[A] Et je sais vraiment pas [Dm] quoi faire de toi.
[Gm] Justement, réfléchir, [A] c'est bien le problème [Dm] avec toi.
[Gm] Tu sais, j'ai mûrement réfléchi,
[A] Et je sais vraiment pas [Dm] quoi faire de toi.
[Gm] Justement, réfléchir, [A] c'est bien le problème [Dm] avec toi.
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Vous avez utilisé des instruments, des rythmes sud-américains, asiatiques, africains.
Est-ce que c'est un hommage un peu à la culture globetrotter transmise par votre maman ?
On sait qu'elle vous a beaucoup fait voyager.
Elle nous a fait beaucoup voyager en sac à dos.
Et d'ailleurs, oui, on a voyagé au Mali, on a voyagé au Mexique, on a voyagé vraiment partout.
Elle a toujours eu cette envie d'aller voir ailleurs.
Et moi, de la même manière, pour cet album, j'avais envie d'aller chercher des grooves.
En fait, un truc que j'aime beaucoup faire, c'est vraiment chercher des grooves différents.
On va prendre un violon _ chinois qu'on appelle les rues.
Un clavecin.
Un clavecin mélangé avec du baïlé funk brésilien.
Et moi, c'est ça que j'adore faire, c'est mélanger des choses.
En fait, l'idée, c'était vraiment de prendre des inspirations de partout, mais sans pouvoir pointer un pays du doigt.
Parce que je n'avais pas envie d'avoir un morceau bolivien, un morceau congolais, un morceau rwandais.
J'avais vraiment envie de mélanger tout, plein de choses.
D'où le titre « Multitude ».
Vous êtes multiple.
Voilà.
Je pense qu'on l'est tous.
On est tous multiple.
On est plein de personnages différents.
On a plein de personnalités différentes.
Et on n'est pas résumé à un carcan, à une case.
Alors justement, si vos chansons ont un tel succès, c'est sans doute parce qu'elles nous interpellent tous.
Vous mettez en musique nos travers, nos contradictions.
Et je dois dire que c'est toujours assez sans concession.
Mais pas tendre.
Ni avec vous, ni avec nous.
Non, c'est vrai.
Mais oui, c'est ma façon à moi.
C'est comme ça que je vois la musique.
C'est vrai qu'on définit souvent ma musique comme…
J'ai souvent une musique plutôt joyeuse, avec des thématiques un peu plus sombres, un peu plus tristes.
Et je pense que c'est un peu comme ça que je vois la vie.
C'est qu'elle n'est pas complètement blanche, elle n'est pas complètement noire.
Il y a des moments difficiles, des moments plus joyeux.
Et c'est toujours alterné.
Il n'y a pas de haut sans bas, il n'y a pas de bas sans haut.
Et c'est la vie.
Vous avez aussi pendant ces temps lutté contre un certain mal-être.
Vous en parlez d'ailleurs sans détour.
Dans vos chansons, vous parlez aussi beaucoup de solitude.
Est-ce que la musique vous a aidé à vous en [Dm] libérer ?
Je [Gm] ne suis pas tout seul à être tout seul.
Ça [E] fait déjà ça de moins dans la [Dm] tête.
Et si je [Gm] comptais combien on est, _ [A] _ [Dm] beaucoup.
Du coup, [Gm] tout ce à quoi j'ai déjà pensé,
Dire [A] que plein d'autres y ont déjà [Dm] pensé,
Mais [Gm] malgré tout, je me sens tout seul.
_ [A] _ [Dm] Du coup, _ [Gm] j'ai [E] parfois eu des pensées [Dm] suicidaires,
Et j'en suis peu [Gm] fier.
On croit parfois [A] que c'est la seule [Dm] manière de les faire taire,
Ces [E] pensées qui me font vivre un [Dm] enfer.
_ [Gm] _ Ces pensées qui [A] me font vivre un [Dm] enfer.
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_ [A] _ _ [Dm] _ [Gm] Est-ce qu'il y a que moi qui ai la télé,
Et [E] la chaîne [Dm] culpabilité ?
Mais faut [Gm] bien se changer les idées,
_ [A] Pas trop [Dm] quand même,
[Gm] Sinon ça repart vite dans la tête,
[D] Et c'est trop tard pour que ça [Dm] s'arrête.
C'est là que [Gm] j'aimerais tout oublier.
_ [A] _ [Dm] Du coup, _ [Gm] _ j'ai parfois eu [E] des pensées [Dm] suicidaires,
Et j'en suis [Gm] peu fier.
On croit parfois que c'est la seule [Dm] manière de les [Gm] faire taire,
Ces pensées qui [A] me font vivre un [Dm] enfer.
_ [Gm] _ Ces pensées qui [A] me font vivre un [Dm] enfer.
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_ [A] _ _ [Dm] _ [Gm] Tu sais, j'ai mûrement [E] réfléchi,
[A] Et je sais vraiment pas [Dm] quoi faire de toi.
[Gm] Justement, réfléchir, [A] c'est bien le problème [Dm] avec toi.
[Gm] Tu sais, j'ai mûrement réfléchi,
[A] Et je sais vraiment pas [Dm] quoi faire de toi.
[Gm] Justement, réfléchir, [A] c'est bien le problème [Dm] avec toi.
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