Chords for YVES DUTEIL- L'écritoire.
Tempo:
113.1 bpm
Chords used:
C
G
F
Fm
A
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[D] [C]
Le jeune homme écrivait penché sur l'écritoire, éclairé de la rue par une [F] aurore avare,
[Fm] et les mots se suivaient comme [G] le [C] fil des ans [G] sans jamais s'arrêter un [C] instant.
Le jeune homme écrivait penché sur sa mémoire, visage éclairé d'une [F] lueur d'espoir, [Fm] et
les mots se posaient comme [G] le fond des [C] flamands dans [G] sa tête et sur leur [C] papier blanc, et
les mots se posaient comme [Fm] le fond des flamands sans [G] jamais hésiter un [C] instant.
Et le [G] monde [C]
tournait sans, et le [G] monde [C] tournait sans.
[G]
[C] [G]
[C] Le bonhomme écrivait penché sur l'écritoire, le soleil en tombant [F] des séchelles en creux
noirs, [Fm] mais les phrases coulaient [G] comme autant [C] de torrents sans [G] jamais se tarir [C] un instant.
Le bonhomme écrivait penché sur son histoire, ses rêves d'autres vies, ses [F] rêves d'autres
gloires, [Fm] et les mots racontaient le [G] fil d'un [C] autre temps [G] dans sa tête et sur leur [C] papier blanc.
Et les mots racontaient le [F] fil d'un [Fm] autre temps [G] sans jamais se trouver [C] un instant.
Et le [G] monde [C] tournait sans, et le [A] monde tournait [C] sans.
[A]
[C] [F]
[C] Le vieil homme écoutait courbé sur son grimoire, le regard fatigué dans la [F] pâle heure du
soir, [Fm] mais les mots se taisaient comme [G] le fond des [C] tourments sans [G] jamais disparaître
[C] vraiment.
Puis enfin il dormait, tombé sur l'écritoire, éclairé de la rue [F] par une avare, avare,
[Fm] et les mots s'envolaient [G] comme un fond [C] éflamant [G] de sa tête et de [C] son papier blanc.
Et les mots s'envolaient [F] comme un fond [Fm] éflamant sans qu'il [C] sache qui pour [G] qui n'est pour.
[C] Et le monde [G] tournait, [C]
et [N] le [A] monde tournait.
[Eb]
Le jeune homme écrivait penché sur l'écritoire, éclairé de la rue par une [F] aurore avare,
[Fm] et les mots se suivaient comme [G] le [C] fil des ans [G] sans jamais s'arrêter un [C] instant.
Le jeune homme écrivait penché sur sa mémoire, visage éclairé d'une [F] lueur d'espoir, [Fm] et
les mots se posaient comme [G] le fond des [C] flamands dans [G] sa tête et sur leur [C] papier blanc, et
les mots se posaient comme [Fm] le fond des flamands sans [G] jamais hésiter un [C] instant.
Et le [G] monde [C]
tournait sans, et le [G] monde [C] tournait sans.
[G]
[C] [G]
[C] Le bonhomme écrivait penché sur l'écritoire, le soleil en tombant [F] des séchelles en creux
noirs, [Fm] mais les phrases coulaient [G] comme autant [C] de torrents sans [G] jamais se tarir [C] un instant.
Le bonhomme écrivait penché sur son histoire, ses rêves d'autres vies, ses [F] rêves d'autres
gloires, [Fm] et les mots racontaient le [G] fil d'un [C] autre temps [G] dans sa tête et sur leur [C] papier blanc.
Et les mots racontaient le [F] fil d'un [Fm] autre temps [G] sans jamais se trouver [C] un instant.
Et le [G] monde [C] tournait sans, et le [A] monde tournait [C] sans.
[A]
[C] [F]
[C] Le vieil homme écoutait courbé sur son grimoire, le regard fatigué dans la [F] pâle heure du
soir, [Fm] mais les mots se taisaient comme [G] le fond des [C] tourments sans [G] jamais disparaître
[C] vraiment.
Puis enfin il dormait, tombé sur l'écritoire, éclairé de la rue [F] par une avare, avare,
[Fm] et les mots s'envolaient [G] comme un fond [C] éflamant [G] de sa tête et de [C] son papier blanc.
Et les mots s'envolaient [F] comme un fond [Fm] éflamant sans qu'il [C] sache qui pour [G] qui n'est pour.
[C] Et le monde [G] tournait, [C]
et [N] le [A] monde tournait.
[Eb]
Key:
C
G
F
Fm
A
C
G
F
[D] _ _ _ _ _ _ _ [C] _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ Le jeune homme écrivait penché sur l'écritoire, éclairé de la rue par une [F] aurore avare,
[Fm] et les mots se suivaient comme [G] le [C] fil des ans [G] sans jamais s'arrêter un [C] instant.
_ _ Le jeune homme écrivait penché sur sa mémoire, _ visage éclairé d'une [F] lueur d'espoir, [Fm] et
les mots se posaient comme [G] le fond des [C] flamands dans [G] sa tête et sur leur [C] papier blanc, _ _ et
les mots se posaient comme [Fm] le fond des flamands sans [G] jamais hésiter un [C] instant.
_ _ Et le [G] monde _ [C]
tournait sans, _ et le [G] monde _ [C] tournait sans.
_ _ [G] _ _ _ _
[C] _ _ _ _ [G] _ _ _ _
[C] _ _ _ Le bonhomme écrivait penché sur l'écritoire, le soleil en tombant [F] des séchelles en creux
noirs, [Fm] mais les phrases coulaient [G] comme autant [C] de torrents sans [G] jamais se tarir [C] un instant.
_ Le bonhomme écrivait penché sur son histoire, ses rêves d'autres vies, ses [F] rêves d'autres
gloires, [Fm] et les mots racontaient le [G] fil d'un [C] autre temps [G] dans sa tête et sur leur [C] papier blanc.
_ Et les mots racontaient le [F] fil d'un [Fm] autre temps [G] sans jamais se trouver [C] un instant.
_ Et le [G] monde _ [C] tournait sans, _ et le [A] monde tournait [C] sans.
_ _ _ [A] _ _ _ _
[C] _ _ _ _ [F] _ _ _ _
[C] _ _ _ Le vieil homme écoutait courbé sur son grimoire, le regard fatigué dans la [F] pâle heure du
soir, [Fm] mais les mots se taisaient comme [G] le fond des [C] tourments sans [G] jamais _ disparaître
[C] vraiment.
_ _ Puis enfin il dormait, tombé sur l'écritoire, _ éclairé de la rue [F] par une avare, avare,
[Fm] et les mots s'envolaient [G] comme un fond [C] éflamant [G] de sa tête et de [C] son papier blanc.
_ Et les mots s'envolaient [F] comme un fond [Fm] éflamant sans qu'il [C] sache qui pour [G] qui n'est pour.
[C] _ _ _ _ Et le monde [G] tournait, [C] _ _ _ _
et [N] le [A] monde tournait. _ _ _
_ _ _ _ [Eb] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ Le jeune homme écrivait penché sur l'écritoire, éclairé de la rue par une [F] aurore avare,
[Fm] et les mots se suivaient comme [G] le [C] fil des ans [G] sans jamais s'arrêter un [C] instant.
_ _ Le jeune homme écrivait penché sur sa mémoire, _ visage éclairé d'une [F] lueur d'espoir, [Fm] et
les mots se posaient comme [G] le fond des [C] flamands dans [G] sa tête et sur leur [C] papier blanc, _ _ et
les mots se posaient comme [Fm] le fond des flamands sans [G] jamais hésiter un [C] instant.
_ _ Et le [G] monde _ [C]
tournait sans, _ et le [G] monde _ [C] tournait sans.
_ _ [G] _ _ _ _
[C] _ _ _ _ [G] _ _ _ _
[C] _ _ _ Le bonhomme écrivait penché sur l'écritoire, le soleil en tombant [F] des séchelles en creux
noirs, [Fm] mais les phrases coulaient [G] comme autant [C] de torrents sans [G] jamais se tarir [C] un instant.
_ Le bonhomme écrivait penché sur son histoire, ses rêves d'autres vies, ses [F] rêves d'autres
gloires, [Fm] et les mots racontaient le [G] fil d'un [C] autre temps [G] dans sa tête et sur leur [C] papier blanc.
_ Et les mots racontaient le [F] fil d'un [Fm] autre temps [G] sans jamais se trouver [C] un instant.
_ Et le [G] monde _ [C] tournait sans, _ et le [A] monde tournait [C] sans.
_ _ _ [A] _ _ _ _
[C] _ _ _ _ [F] _ _ _ _
[C] _ _ _ Le vieil homme écoutait courbé sur son grimoire, le regard fatigué dans la [F] pâle heure du
soir, [Fm] mais les mots se taisaient comme [G] le fond des [C] tourments sans [G] jamais _ disparaître
[C] vraiment.
_ _ Puis enfin il dormait, tombé sur l'écritoire, _ éclairé de la rue [F] par une avare, avare,
[Fm] et les mots s'envolaient [G] comme un fond [C] éflamant [G] de sa tête et de [C] son papier blanc.
_ Et les mots s'envolaient [F] comme un fond [Fm] éflamant sans qu'il [C] sache qui pour [G] qui n'est pour.
[C] _ _ _ _ Et le monde [G] tournait, [C] _ _ _ _
et [N] le [A] monde tournait. _ _ _
_ _ _ _ [Eb] _ _ _ _