Chords for Zoé
Tempo:
130.15 bpm
Chords used:
Gm
Cm
Fm
Ab
D
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[D]
[Eb] Mon cœur roule à 130 sur les routes bleues, glacées [D] de pluie givrante au vent brumeux.
L'amour, hélas, me hante [Eb] comme le ciel bleu.
La vie est aberrante, qu'est-ce que j'y [D] peux ?
Cours, mon cœur fou, va te dissoudre, là où la foudre frappe un grand coup.
Dans le feu roule, prêt à t'absoudre, tout n [D]'est que poudre aux yeux doux.
Mon cœur pente, ascendante, la [Eb] terre est rouge sous nos pieds.
Ville latine et villageaune, les murs plus vieux que nous, plus fiers que [D] nos années.
Je m'en [Cm] souviens de tes [Gm] mains, je me [F] souviens comme [Fm] deux oiseaux libres,
[Cm] comme le peuplier qu'agit [Gm] le vent en campagne, [F] tes mains dans la papaye que tu mangeais.
[Cm] Les pulsacines de ton [Gm] cœur, Zoé, si [Ab] belles et plus molles,
viennent sinon quand il faut [Fm] se [Ab] pencher sur ta [Bb] peau.
Soudain, [Gm] se pencher sur ta peau, [G] Zoé,
[Cm] arrivera [Eb] le jour, Zoé,
où [Ab] il faudra entendre [Gm] ces derniers de mon bonheur [Fm] qui frapperont la tée ma [Bb] tendre.
[Gm] Qui frapperont la tée ma [G] tendre, [Eb] Zoé.
[D]
[Eb] Mon cœur saoule en rentrant où t'es douce heureux,
de seulement [D] que j'en cramble la route bleue.
Aurais-je pu la prendre plus tôt, traverser mieux la nuit inadhérente [D] de nos adieux ?
Il était quatorze heures, une après [Eb]-midi de chaleur, je m'en souviens.
Je pleurais tes mains, je les vois maintenant, je les vois par la fenêtre,
bien notées une dernière fois, peut-être.
Mon cœur [D] roule à cent trente le long des flancs nus du rocher,
mais comme un [Eb] voile de soie blanche, ma mémoire courte à la branche de tes [D] doigts pourpris reste accrochée.
Et je [Cm] me souviens de [Gm] tes mains, je m'en [F] souviens, comme [Fm] deux oiseaux libres,
et [Cm] comme le peuplier qu [Gm]'agitent le vent en campagne, [F] tes mains dans la papaye que tu [Cm] mangeais.
Plus certes, si on est en [Gm] quarts, Zorri, si [Ab] on balance et on demeure lentineux [Gm] quand il faut [Fm] se pencher sur ta [Bb] peau,
se [Gm] pencher sur ta peau, [G] Zorri, [Cm] arrivera le [Gm] jour, Zorri,
[Ab] où il faudra entendre à ces [Gm] derniers plombs [Ab] que frapperont là tes mains [Bb] tendres,
[Gm] que frapperont là tes mains [G] tendres.
[Cm] [Bb]
[Ab] [Gm]
[Fm] [Bb]
[Gm] [Cm]
Le ciel est presque [Gm] bleu, Zorri, [F] les nuages me crient d'une [Fm] blancheur terrible,
[Cm] le ciel est presque [Gm] bleu, Zorri, qu'est-ce que j [F]'y peux s'il est imposé ?
[Cm] Les pulsations de ton [Gm] cœur, Zorri, [Dm] si belles qu'ils [F] [Fm] demeurent lentineuses quand il [Cm] faut se pencher sur ta [Gm] peau,
[F] encore se pencher sur ta peau.
[Cm] [Gm]
[Ab] [Gm]
[Fm] [Bb]
[Gm] [G]
[Cm] Mais comme un doigt de [Gm] soie blanche,
[Ab] ma mémoire coule,
[Gm]
[Fm] à la penche de tes [Bb] doigts pourre,
[Gm] reste accroché, [G] reste accroché.
[Cm] Mais comme un doigt [Gm] de soie blanche,
[Ab] ma [Gm] mémoire coule,
[Fm] à la penche de tes [Ab] doigts [Bb] pourre,
[Gm] reste accroché, [G] reste accroché.
[Cm] [Gm]
[Ab] [Eb]
[Eb] Mon cœur roule à 130 sur les routes bleues, glacées [D] de pluie givrante au vent brumeux.
L'amour, hélas, me hante [Eb] comme le ciel bleu.
La vie est aberrante, qu'est-ce que j'y [D] peux ?
Cours, mon cœur fou, va te dissoudre, là où la foudre frappe un grand coup.
Dans le feu roule, prêt à t'absoudre, tout n [D]'est que poudre aux yeux doux.
Mon cœur pente, ascendante, la [Eb] terre est rouge sous nos pieds.
Ville latine et villageaune, les murs plus vieux que nous, plus fiers que [D] nos années.
Je m'en [Cm] souviens de tes [Gm] mains, je me [F] souviens comme [Fm] deux oiseaux libres,
[Cm] comme le peuplier qu'agit [Gm] le vent en campagne, [F] tes mains dans la papaye que tu mangeais.
[Cm] Les pulsacines de ton [Gm] cœur, Zoé, si [Ab] belles et plus molles,
viennent sinon quand il faut [Fm] se [Ab] pencher sur ta [Bb] peau.
Soudain, [Gm] se pencher sur ta peau, [G] Zoé,
[Cm] arrivera [Eb] le jour, Zoé,
où [Ab] il faudra entendre [Gm] ces derniers de mon bonheur [Fm] qui frapperont la tée ma [Bb] tendre.
[Gm] Qui frapperont la tée ma [G] tendre, [Eb] Zoé.
[D]
[Eb] Mon cœur saoule en rentrant où t'es douce heureux,
de seulement [D] que j'en cramble la route bleue.
Aurais-je pu la prendre plus tôt, traverser mieux la nuit inadhérente [D] de nos adieux ?
Il était quatorze heures, une après [Eb]-midi de chaleur, je m'en souviens.
Je pleurais tes mains, je les vois maintenant, je les vois par la fenêtre,
bien notées une dernière fois, peut-être.
Mon cœur [D] roule à cent trente le long des flancs nus du rocher,
mais comme un [Eb] voile de soie blanche, ma mémoire courte à la branche de tes [D] doigts pourpris reste accrochée.
Et je [Cm] me souviens de [Gm] tes mains, je m'en [F] souviens, comme [Fm] deux oiseaux libres,
et [Cm] comme le peuplier qu [Gm]'agitent le vent en campagne, [F] tes mains dans la papaye que tu [Cm] mangeais.
Plus certes, si on est en [Gm] quarts, Zorri, si [Ab] on balance et on demeure lentineux [Gm] quand il faut [Fm] se pencher sur ta [Bb] peau,
se [Gm] pencher sur ta peau, [G] Zorri, [Cm] arrivera le [Gm] jour, Zorri,
[Ab] où il faudra entendre à ces [Gm] derniers plombs [Ab] que frapperont là tes mains [Bb] tendres,
[Gm] que frapperont là tes mains [G] tendres.
[Cm] [Bb]
[Ab] [Gm]
[Fm] [Bb]
[Gm] [Cm]
Le ciel est presque [Gm] bleu, Zorri, [F] les nuages me crient d'une [Fm] blancheur terrible,
[Cm] le ciel est presque [Gm] bleu, Zorri, qu'est-ce que j [F]'y peux s'il est imposé ?
[Cm] Les pulsations de ton [Gm] cœur, Zorri, [Dm] si belles qu'ils [F] [Fm] demeurent lentineuses quand il [Cm] faut se pencher sur ta [Gm] peau,
[F] encore se pencher sur ta peau.
[Cm] [Gm]
[Ab] [Gm]
[Fm] [Bb]
[Gm] [G]
[Cm] Mais comme un doigt de [Gm] soie blanche,
[Ab] ma mémoire coule,
[Gm]
[Fm] à la penche de tes [Bb] doigts pourre,
[Gm] reste accroché, [G] reste accroché.
[Cm] Mais comme un doigt [Gm] de soie blanche,
[Ab] ma [Gm] mémoire coule,
[Fm] à la penche de tes [Ab] doigts [Bb] pourre,
[Gm] reste accroché, [G] reste accroché.
[Cm] [Gm]
[Ab] [Eb]
Key:
Gm
Cm
Fm
Ab
D
Gm
Cm
Fm
_ _ _ _ _ _ _ _
[D] _ _ _ _ _ _ _
[Eb] Mon cœur roule à 130 sur les routes bleues, glacées [D] de pluie givrante au vent brumeux.
L'amour, hélas, me hante [Eb] comme le ciel bleu.
La vie est aberrante, qu'est-ce que j'y [D] peux ?
Cours, mon cœur fou, va te dissoudre, là où la foudre frappe un grand coup.
Dans le feu roule, prêt à t'absoudre, tout n [D]'est que poudre aux yeux doux.
Mon cœur pente, ascendante, la [Eb] terre est rouge sous nos pieds.
Ville latine et villageaune, les murs plus vieux que nous, plus fiers que [D] nos années.
_ Je m'en [Cm] souviens de tes [Gm] mains, _ je me [F] souviens _ comme [Fm] deux oiseaux libres,
[Cm] comme le peuplier qu'agit [Gm] le vent en campagne, [F] tes mains dans la papaye que tu mangeais.
[Cm] Les pulsacines de ton [Gm] cœur, Zoé, si [Ab] belles et plus molles,
viennent sinon quand il faut [Fm] se [Ab] pencher sur ta [Bb] peau.
Soudain, [Gm] se pencher sur ta peau, [G] _ Zoé, _
[Cm] _ arrivera [Eb] le jour, Zoé,
où [Ab] il faudra entendre [Gm] ces derniers de mon bonheur [Fm] qui frapperont la tée ma [Bb] tendre. _ _
[Gm] Qui frapperont la tée ma [G] tendre, _ _ [Eb] Zoé. _ _ _ _ _ _ _
[D] _ _ _ _ _ _ _
[Eb] Mon cœur saoule en rentrant où t'es douce heureux,
de seulement [D] que j'en cramble la route bleue.
Aurais-je pu la prendre plus tôt, traverser mieux la nuit inadhérente [D] de nos adieux ?
Il était quatorze heures, une après [Eb]-midi de chaleur, je m'en souviens.
Je pleurais tes mains, je les vois maintenant, je les vois par la fenêtre,
bien notées une dernière fois, peut-être.
Mon cœur [D] roule à cent trente le long des flancs nus du rocher,
mais comme un [Eb] voile de soie blanche, ma mémoire courte à la branche de tes [D] doigts pourpris reste accrochée.
Et je [Cm] me souviens de [Gm] tes mains, _ je m'en [F] souviens, _ comme [Fm] deux oiseaux libres,
et [Cm] comme le peuplier qu [Gm]'agitent le vent en campagne, [F] tes mains dans la papaye que tu _ [Cm] mangeais.
Plus certes, si on est en [Gm] quarts, Zorri, si [Ab] on balance et on demeure lentineux [Gm] quand il faut [Fm] se pencher sur ta [Bb] _ peau,
se [Gm] pencher sur ta peau, [G] _ _ Zorri, [Cm] _ arrivera le [Gm] jour, Zorri, _
[Ab] où il faudra entendre à ces [Gm] derniers plombs [Ab] que frapperont là tes mains [Bb] tendres, _
[Gm] que frapperont là tes mains [G] tendres. _ _
[Cm] _ _ _ _ [Bb] _ _ _ _
[Ab] _ _ _ _ [Gm] _ _ _ _
[Fm] _ _ _ _ [Bb] _ _ _ _
[Gm] _ _ _ _ [Cm] _ _ _ _
Le ciel est presque [Gm] bleu, Zorri, _ [F] les nuages me crient d'une [Fm] blancheur terrible,
[Cm] le ciel est presque [Gm] bleu, Zorri, qu'est-ce que j [F]'y peux s'il est imposé ? _
[Cm] Les pulsations de ton [Gm] cœur, Zorri, _ [Dm] si belles qu'ils _ [F] [Fm] demeurent lentineuses quand il [Cm] faut se pencher sur ta [Gm] peau, _ _
[F] encore se pencher sur ta peau. _ _ _
[Cm] _ _ _ _ [Gm] _ _ _ _
[Ab] _ _ _ _ _ [Gm] _ _ _
[Fm] _ _ _ _ [Bb] _ _ _ _
[Gm] _ _ _ _ _ [G] _ _ _
[Cm] Mais comme un doigt de [Gm] soie blanche, _
[Ab] ma mémoire coule,
[Gm] _ _ _
[Fm] à la penche de tes [Bb] doigts pourre, _
[Gm] reste accroché, _ [G] reste accroché. _
[Cm] Mais comme un doigt [Gm] de soie blanche, _
[Ab] _ ma [Gm] mémoire coule, _ _
[Fm] _ à la penche de tes [Ab] doigts [Bb] pourre, _
[Gm] reste accroché, _ [G] reste accroché.
[Cm] _ _ _ _ [Gm] _ _ _ _
_ [Ab] _ _ _ [Eb] _ _ _ _
[D] _ _ _ _ _ _ _
[Eb] Mon cœur roule à 130 sur les routes bleues, glacées [D] de pluie givrante au vent brumeux.
L'amour, hélas, me hante [Eb] comme le ciel bleu.
La vie est aberrante, qu'est-ce que j'y [D] peux ?
Cours, mon cœur fou, va te dissoudre, là où la foudre frappe un grand coup.
Dans le feu roule, prêt à t'absoudre, tout n [D]'est que poudre aux yeux doux.
Mon cœur pente, ascendante, la [Eb] terre est rouge sous nos pieds.
Ville latine et villageaune, les murs plus vieux que nous, plus fiers que [D] nos années.
_ Je m'en [Cm] souviens de tes [Gm] mains, _ je me [F] souviens _ comme [Fm] deux oiseaux libres,
[Cm] comme le peuplier qu'agit [Gm] le vent en campagne, [F] tes mains dans la papaye que tu mangeais.
[Cm] Les pulsacines de ton [Gm] cœur, Zoé, si [Ab] belles et plus molles,
viennent sinon quand il faut [Fm] se [Ab] pencher sur ta [Bb] peau.
Soudain, [Gm] se pencher sur ta peau, [G] _ Zoé, _
[Cm] _ arrivera [Eb] le jour, Zoé,
où [Ab] il faudra entendre [Gm] ces derniers de mon bonheur [Fm] qui frapperont la tée ma [Bb] tendre. _ _
[Gm] Qui frapperont la tée ma [G] tendre, _ _ [Eb] Zoé. _ _ _ _ _ _ _
[D] _ _ _ _ _ _ _
[Eb] Mon cœur saoule en rentrant où t'es douce heureux,
de seulement [D] que j'en cramble la route bleue.
Aurais-je pu la prendre plus tôt, traverser mieux la nuit inadhérente [D] de nos adieux ?
Il était quatorze heures, une après [Eb]-midi de chaleur, je m'en souviens.
Je pleurais tes mains, je les vois maintenant, je les vois par la fenêtre,
bien notées une dernière fois, peut-être.
Mon cœur [D] roule à cent trente le long des flancs nus du rocher,
mais comme un [Eb] voile de soie blanche, ma mémoire courte à la branche de tes [D] doigts pourpris reste accrochée.
Et je [Cm] me souviens de [Gm] tes mains, _ je m'en [F] souviens, _ comme [Fm] deux oiseaux libres,
et [Cm] comme le peuplier qu [Gm]'agitent le vent en campagne, [F] tes mains dans la papaye que tu _ [Cm] mangeais.
Plus certes, si on est en [Gm] quarts, Zorri, si [Ab] on balance et on demeure lentineux [Gm] quand il faut [Fm] se pencher sur ta [Bb] _ peau,
se [Gm] pencher sur ta peau, [G] _ _ Zorri, [Cm] _ arrivera le [Gm] jour, Zorri, _
[Ab] où il faudra entendre à ces [Gm] derniers plombs [Ab] que frapperont là tes mains [Bb] tendres, _
[Gm] que frapperont là tes mains [G] tendres. _ _
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Le ciel est presque [Gm] bleu, Zorri, _ [F] les nuages me crient d'une [Fm] blancheur terrible,
[Cm] le ciel est presque [Gm] bleu, Zorri, qu'est-ce que j [F]'y peux s'il est imposé ? _
[Cm] Les pulsations de ton [Gm] cœur, Zorri, _ [Dm] si belles qu'ils _ [F] [Fm] demeurent lentineuses quand il [Cm] faut se pencher sur ta [Gm] peau, _ _
[F] encore se pencher sur ta peau. _ _ _
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[Cm] Mais comme un doigt de [Gm] soie blanche, _
[Ab] ma mémoire coule,
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[Fm] à la penche de tes [Bb] doigts pourre, _
[Gm] reste accroché, _ [G] reste accroché. _
[Cm] Mais comme un doigt [Gm] de soie blanche, _
[Ab] _ ma [Gm] mémoire coule, _ _
[Fm] _ à la penche de tes [Ab] doigts [Bb] pourre, _
[Gm] reste accroché, _ [G] reste accroché.
[Cm] _ _ _ _ [Gm] _ _ _ _
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