Chords for Charles Aznavour et Johnny Hallyday - Ma Vie
Tempo:
114.45 bpm
Chords used:
D
A
G
Bm
Dm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
[D]
[G] [Em] [D]
[Am]
[D] Sur [A] ma [Bm] vie [A]
[D] j'avais juré un jour de l'aimer jusqu'au dernier jour de mes jours et le même
[Bm] mot [G] devait très [A] bientôt nous [D] unir devant [Bm] Dieu et les [A] hommes.
[D] Sur ma [Bm] vie j'avais [C] fait [Dm] le serment [A] que [D] ce lien tiendrait jusqu'à la fin des [A] temps
[D] ainsi nous [Bm] vivions, [Em] libres de [A] passion [D] et mon cœur [G] voulait offrir [D] son nom.
[Bm] J'ai des orgues qui [A] chantaient [D] face à Dieu qui [G]
priait, heureux je l [D]
'attendais
[Bb] mais [Gm] les orgues se sont [Am] tuées [Dm] et Dieu a [Gm] disparu car elle n'est pas [D]
venue.
[A] [D] Sur [Bm] ma vie [G] j'ai [A] juré que [D] mon [A] cœur ne [D] battrait jamais pour aucun autre [A] cœur
et [D] tout est perdu car [G] il ne bat [A] plus et il [D] pleure [G] mon amour [D] déçu.
[Bb] [D]
Sur ma [Bb] vie,
[Gm] [D] c'est sur ma
[Bb] vie.
[Gm] [Bb] [E] [D]
[A]
[Dm]
Sur [Bm] [Dm] ma vie j'avais juré un [Am] jour [D] de l'aimer [Dm] jusqu'au dernier jour de [A] mes jours
[D] et même à [B] présent [Bm] je [G] tiendrai [A] servant [Bbm] [Bm] malgré [Gbm] tout [G] le mal qu'elle m [Gbm]'a fait.
[B] [Em] Sur ma vie, je sais, [A] je l [Ab]
[Dm]'aimerai.
[G]
[D]
[N]
Merci infiniment M.
Charles Aznavour, merci pour votre présence et pour ce duo.
Je suis sûre que vous devez être comme moi devant votre téléviseur, vous allez vous dire quelle classe,
quelle classe, quand on vous voit on est vraiment impressionné, merci beaucoup M.
Charles Aznavour,
je ne peux vous appeler que comme ça ce soir.
Vous êtes très attaché à cette passion que nous partageons tous ce soir, celle de la chanson française.
Alors comment elle se porte aujourd'hui selon vous notre chanson ?
Elle commence à revivre normalement, c'est-à-dire qu'il n'y aura plus bientôt de différence entre le passé,
le présent et peut-être le futur et c'est ça qui est le plus important.
[E] Chanter, [Ebm] chanter, chanter, quel que soit [N] le style, quelle que soit l'année, quel que soit le lieu même.
C'est ce que nous faisons ce soir avec 100 ans de chanson française qui vont défiler en direct devant vos yeux.
Et j'en profite pour saluer la présence de Rémi Plimelin, président de France Télévisions,
et de le remercier pour son soutien à la chanson française que le service public dans son ensemble défend et met en valeur.
Vous avez un point commun tous les deux, j'espère que je ne vais pas vous vexer mais c'est du passé, il y a prescription,
c'est qu'au début l'un comme l'autre on vous trouvait nul.
Johnny, Lucien Maurice avez cassé un de tes disques à la radio en disant que c'est la première et la dernière fois que vous entendez parler de Johnny Hallyday.
C'est vrai que je ne chantais pas terrible à l'époque.
C'était quand même il y a quelques années et tu es toujours là.
Et puis Charles, il paraît qu'on vous critiquait vous tellement qu'à un moment vous avez écrit une espèce de liste de tous vos défauts.
Voilà ce que vous écriviez, quels sont mes handicaps, ma voix, ma taille, mes gestes, mon manque de culture et d'instruction, ma franchise et mon manque de personnalité.
On a même dit qu'on ne devrait pas laisser des infirmes monter sur scène.
Mais oui, j'ai eu le droit à tout, et toi aussi.
Qu'est-ce qui vous reste aujourd'hui de cette époque-là, que la franchise et peut-être la taille ?
Non, ce qui me reste surtout c'est, qu'est-ce qui deviennent ces gens qui ont dit tant de mal de nous ?
Quelle attitude ils ont quand on leur dit « tu t'es trompé à une époque de ta vie ».
Ils ne sont plus là aujourd'hui.
En tout cas, il y en a un qui ne s'est pas trompé et que nous aimons beaucoup, c'est Levan Sayan qui est là ce soir et qui travaille avec vous depuis 45 ans.
D'ailleurs, on vous souhaite de jolis noces de vermeil, c'est ça 45 ans ?
Je crois que c'est ça à peu près.
Et puis, de quoi donner du courage aussi à tous les jeunes artistes, il y en a beaucoup qui sont là ce soir puisque vous le verrez, nous allons remonter toutes les époques jusqu'à aujourd'hui avec la nouvelle scène à tout à l'heure.
Alors Johnny, « Dadoun Ronron », c'est le titre qui est resté le plus longtemps classé dans les hits de toute ta carrière, 43 semaines en tout.
Ah bon ? Oui.
C'est écrit, maintenant il y a des encyclopédies, il y a des livres, etc.
Dans quelques instants, la trouve de « Salut les copains » à CELC en chantera un extrait pour vous.
Moi, je me rappelle surtout de, à l'époque de « Salut les copains », je me rappelle surtout de « Retiens la nuit » comme avait écrit Charles d'ailleurs.
Et qui faisait à peu près quoi, « Retiens la nuit » ?
Retiens la nuit pour nous deux jusqu'à la fin du [D] monde.
[Abm]
[N]
[B] Serre-moi [E] fort contre ton corps.
[B] Le grand [Ab] amour veille [Em] le jour et nous fasse oublier [Gb] la vie, etc.
C [N]
'est Charles à ce moment-là.
Comment expliquez-vous que les chansons comme ça, comme « Retiens la nuit » puissent rester à travers les époques ?
Il y a l'interprète, il ne faut pas oublier que dans une chanson, il y a quatre auteurs.
Il y a l'auteur, le compositeur, l'interprète et le public.
Le public est aussi un auteur.
Le public reconnaît ce qu'il a envie d'aimer, ce qu'il aime et ce qu'il trouve bon.
C'est important.
C'est très important.
Donc c'est grâce à vous.
Merci à tous.
Et à nous aussi.
Un peu.
Moi, en tout cas, j'y suis pour rien.
Ce soir, des artistes de toutes les générations vont reprendre en duo des chansons qui datent de toutes les époques, même des années 30.
Et vous allez voir qu'elles vieillissent très bien, comme nous.
Merci infiniment Charles et Johnny pour votre fidélité à la fête de la chanson française.
Et merci pour ce duo d'anthologie que vous nous avez offert ce soir.
Alors on va retenir la nuit encore un tout petit peu et rester dans les années 60 grâce à la troupe du spectacle musical.
Salut les copains !
[G] [Em] [D]
[Am]
[D] Sur [A] ma [Bm] vie [A]
[D] j'avais juré un jour de l'aimer jusqu'au dernier jour de mes jours et le même
[Bm] mot [G] devait très [A] bientôt nous [D] unir devant [Bm] Dieu et les [A] hommes.
[D] Sur ma [Bm] vie j'avais [C] fait [Dm] le serment [A] que [D] ce lien tiendrait jusqu'à la fin des [A] temps
[D] ainsi nous [Bm] vivions, [Em] libres de [A] passion [D] et mon cœur [G] voulait offrir [D] son nom.
[Bm] J'ai des orgues qui [A] chantaient [D] face à Dieu qui [G]
priait, heureux je l [D]
'attendais
[Bb] mais [Gm] les orgues se sont [Am] tuées [Dm] et Dieu a [Gm] disparu car elle n'est pas [D]
venue.
[A] [D] Sur [Bm] ma vie [G] j'ai [A] juré que [D] mon [A] cœur ne [D] battrait jamais pour aucun autre [A] cœur
et [D] tout est perdu car [G] il ne bat [A] plus et il [D] pleure [G] mon amour [D] déçu.
[Bb] [D]
Sur ma [Bb] vie,
[Gm] [D] c'est sur ma
[Bb] vie.
[Gm] [Bb] [E] [D]
[A]
[Dm]
Sur [Bm] [Dm] ma vie j'avais juré un [Am] jour [D] de l'aimer [Dm] jusqu'au dernier jour de [A] mes jours
[D] et même à [B] présent [Bm] je [G] tiendrai [A] servant [Bbm] [Bm] malgré [Gbm] tout [G] le mal qu'elle m [Gbm]'a fait.
[B] [Em] Sur ma vie, je sais, [A] je l [Ab]
[Dm]'aimerai.
[G]
[D]
[N]
Merci infiniment M.
Charles Aznavour, merci pour votre présence et pour ce duo.
Je suis sûre que vous devez être comme moi devant votre téléviseur, vous allez vous dire quelle classe,
quelle classe, quand on vous voit on est vraiment impressionné, merci beaucoup M.
Charles Aznavour,
je ne peux vous appeler que comme ça ce soir.
Vous êtes très attaché à cette passion que nous partageons tous ce soir, celle de la chanson française.
Alors comment elle se porte aujourd'hui selon vous notre chanson ?
Elle commence à revivre normalement, c'est-à-dire qu'il n'y aura plus bientôt de différence entre le passé,
le présent et peut-être le futur et c'est ça qui est le plus important.
[E] Chanter, [Ebm] chanter, chanter, quel que soit [N] le style, quelle que soit l'année, quel que soit le lieu même.
C'est ce que nous faisons ce soir avec 100 ans de chanson française qui vont défiler en direct devant vos yeux.
Et j'en profite pour saluer la présence de Rémi Plimelin, président de France Télévisions,
et de le remercier pour son soutien à la chanson française que le service public dans son ensemble défend et met en valeur.
Vous avez un point commun tous les deux, j'espère que je ne vais pas vous vexer mais c'est du passé, il y a prescription,
c'est qu'au début l'un comme l'autre on vous trouvait nul.
Johnny, Lucien Maurice avez cassé un de tes disques à la radio en disant que c'est la première et la dernière fois que vous entendez parler de Johnny Hallyday.
C'est vrai que je ne chantais pas terrible à l'époque.
C'était quand même il y a quelques années et tu es toujours là.
Et puis Charles, il paraît qu'on vous critiquait vous tellement qu'à un moment vous avez écrit une espèce de liste de tous vos défauts.
Voilà ce que vous écriviez, quels sont mes handicaps, ma voix, ma taille, mes gestes, mon manque de culture et d'instruction, ma franchise et mon manque de personnalité.
On a même dit qu'on ne devrait pas laisser des infirmes monter sur scène.
Mais oui, j'ai eu le droit à tout, et toi aussi.
Qu'est-ce qui vous reste aujourd'hui de cette époque-là, que la franchise et peut-être la taille ?
Non, ce qui me reste surtout c'est, qu'est-ce qui deviennent ces gens qui ont dit tant de mal de nous ?
Quelle attitude ils ont quand on leur dit « tu t'es trompé à une époque de ta vie ».
Ils ne sont plus là aujourd'hui.
En tout cas, il y en a un qui ne s'est pas trompé et que nous aimons beaucoup, c'est Levan Sayan qui est là ce soir et qui travaille avec vous depuis 45 ans.
D'ailleurs, on vous souhaite de jolis noces de vermeil, c'est ça 45 ans ?
Je crois que c'est ça à peu près.
Et puis, de quoi donner du courage aussi à tous les jeunes artistes, il y en a beaucoup qui sont là ce soir puisque vous le verrez, nous allons remonter toutes les époques jusqu'à aujourd'hui avec la nouvelle scène à tout à l'heure.
Alors Johnny, « Dadoun Ronron », c'est le titre qui est resté le plus longtemps classé dans les hits de toute ta carrière, 43 semaines en tout.
Ah bon ? Oui.
C'est écrit, maintenant il y a des encyclopédies, il y a des livres, etc.
Dans quelques instants, la trouve de « Salut les copains » à CELC en chantera un extrait pour vous.
Moi, je me rappelle surtout de, à l'époque de « Salut les copains », je me rappelle surtout de « Retiens la nuit » comme avait écrit Charles d'ailleurs.
Et qui faisait à peu près quoi, « Retiens la nuit » ?
Retiens la nuit pour nous deux jusqu'à la fin du [D] monde.
[Abm]
[N]
[B] Serre-moi [E] fort contre ton corps.
[B] Le grand [Ab] amour veille [Em] le jour et nous fasse oublier [Gb] la vie, etc.
C [N]
'est Charles à ce moment-là.
Comment expliquez-vous que les chansons comme ça, comme « Retiens la nuit » puissent rester à travers les époques ?
Il y a l'interprète, il ne faut pas oublier que dans une chanson, il y a quatre auteurs.
Il y a l'auteur, le compositeur, l'interprète et le public.
Le public est aussi un auteur.
Le public reconnaît ce qu'il a envie d'aimer, ce qu'il aime et ce qu'il trouve bon.
C'est important.
C'est très important.
Donc c'est grâce à vous.
Merci à tous.
Et à nous aussi.
Un peu.
Moi, en tout cas, j'y suis pour rien.
Ce soir, des artistes de toutes les générations vont reprendre en duo des chansons qui datent de toutes les époques, même des années 30.
Et vous allez voir qu'elles vieillissent très bien, comme nous.
Merci infiniment Charles et Johnny pour votre fidélité à la fête de la chanson française.
Et merci pour ce duo d'anthologie que vous nous avez offert ce soir.
Alors on va retenir la nuit encore un tout petit peu et rester dans les années 60 grâce à la troupe du spectacle musical.
Salut les copains !
Key:
D
A
G
Bm
Dm
D
A
G
[D] _ _ _ _ _ _ _ _
_ [G] _ _ _ _ [Em] _ _ [D] _
_ _ _ _ [Am] _ _ _ _
_ [D] Sur [A] ma [Bm] vie [A] _
[D] j'avais juré un jour _ de l'aimer jusqu'au dernier jour de mes jours et le _ même
[Bm] mot _ [G] devait très [A] bientôt _ nous [D] unir devant [Bm] Dieu _ et les _ _ [A] hommes.
[D] _ _ Sur ma [Bm] vie _ j'avais [C] fait [Dm] le serment [A] que [D] ce lien _ tiendrait _ jusqu'à la fin des [A] temps
[D] ainsi nous _ [Bm] vivions, _ [Em] libres de _ [A] passion [D] et mon cœur [G] voulait offrir [D] son _ nom.
_ _ [Bm] J'ai des orgues qui [A] chantaient [D] face à Dieu qui [G] _
priait, _ heureux je l [D] _
'attendais
_ _ [Bb] mais _ [Gm] les orgues se sont [Am] _ tuées [Dm] et Dieu a [Gm] disparu car elle n'est pas _ [D]
venue.
_ [A] _ _ _ [D] Sur _ [Bm] ma vie [G] j'ai [A] juré que [D] mon [A] cœur ne [D] battrait _ jamais pour aucun autre [A] cœur
et [D] tout est perdu _ car [G] il ne bat [A] plus et il [D] pleure [G] mon amour [D] déçu. _ _ _
_ [Bb] _ _ _ _ _ _ [D] _
_ Sur ma [Bb] vie, _ _
[Gm] _ _ _ [D] c'est sur ma _
_ [Bb] vie. _ _ _ _ _
_ [Gm] _ [Bb] _ _ [E] _ _ [D] _ _
_ _ _ _ _ [A] _ _ _
_ _ _ _ _ _ [Dm] _ _
Sur [Bm] _ _ _ [Dm] ma vie j'avais juré un _ [Am] jour _ [D] de l'aimer [Dm] jusqu'au dernier jour de [A] mes jours
[D] et même à [B] présent [Bm] je [G] tiendrai _ [A] servant [Bbm] _ [Bm] malgré [Gbm] tout [G] le mal qu'elle m [Gbm]'a fait. _
[B] _ _ [Em] Sur ma vie, _ je sais, [A] _ je l _ _ [Ab]
[Dm]'aimerai.
_ _ _ _ _ _ [G] _
_ _ _ _ _ _ _ _
[D] _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ [N] _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ Merci infiniment M.
Charles Aznavour, merci pour votre présence et pour ce duo. _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ Je suis sûre que vous devez être comme moi devant votre téléviseur, vous allez vous dire quelle classe,
quelle classe, quand on vous voit on est vraiment impressionné, merci beaucoup M.
Charles Aznavour,
je ne peux vous appeler que comme ça ce soir.
Vous êtes très attaché à cette passion que nous partageons tous ce soir, celle de la chanson française.
Alors comment elle se porte aujourd'hui selon vous notre chanson ?
Elle commence à revivre normalement, c'est-à-dire qu'il n'y aura plus bientôt de différence entre le passé,
le présent et peut-être le futur et c'est ça qui est le plus important.
[E] Chanter, [Ebm] chanter, chanter, quel que soit [N] le style, quelle que soit l'année, quel que soit le lieu même. _
_ C'est ce que nous faisons ce soir avec 100 ans de chanson française qui vont défiler en direct devant vos yeux.
Et j'en profite pour saluer la présence de Rémi Plimelin, président de France Télévisions,
et de le remercier pour son soutien à la chanson française que le service public dans son ensemble défend et met en valeur.
Vous avez un point commun tous les deux, _ j'espère que je ne vais pas vous vexer mais c'est du passé, il y a prescription,
c'est qu'au début l'un comme l'autre on vous trouvait nul. _
_ _ Johnny, Lucien Maurice avez cassé un de tes disques à la radio en disant que c'est la première et la dernière fois que vous entendez parler de Johnny Hallyday.
C'est vrai que je ne chantais pas terrible à l'époque.
C'était quand même il y a quelques années et tu es toujours là.
Et puis Charles, il paraît qu'on vous critiquait vous tellement qu'à un moment vous avez écrit une espèce de liste de tous vos défauts.
Voilà ce que vous écriviez, quels sont mes handicaps, ma voix, ma taille, mes gestes, mon manque de culture et d'instruction, ma franchise et mon manque de personnalité.
On a même dit qu'on ne devrait pas laisser des infirmes monter sur scène.
_ _ _ _ Mais _ oui, j'ai eu le droit à tout, et toi aussi. _
Qu'est-ce qui vous reste aujourd'hui de cette époque-là, que la franchise et peut-être la taille ?
Non, ce qui me reste surtout c'est, qu'est-ce qui deviennent ces gens qui ont dit tant de mal de nous ?
Quelle attitude ils ont quand on leur dit « tu t'es trompé à une époque de ta vie ».
Ils ne sont plus là aujourd'hui.
_ _ En tout cas, il y en a un qui ne s'est pas trompé et que nous aimons beaucoup, c'est Levan Sayan qui est là ce soir et qui travaille avec vous depuis 45 ans.
D'ailleurs, on vous souhaite de jolis noces de vermeil, c'est ça 45 ans ?
_ _ Je crois que c'est ça à peu près.
_ Et puis, de quoi donner du courage aussi à tous les jeunes artistes, il y en a beaucoup qui sont là ce soir puisque vous le verrez, nous allons remonter toutes les époques jusqu'à aujourd'hui avec la nouvelle scène à tout à l'heure.
Alors Johnny, « Dadoun Ronron », c'est le titre _ _ qui est resté le plus longtemps classé dans les hits de toute ta carrière, 43 semaines en tout.
Ah bon ? Oui.
_ C'est écrit, maintenant il y a des encyclopédies, il y a des livres, etc.
Dans quelques instants, la trouve de « Salut les copains » à CELC en chantera un extrait pour vous.
Moi, je me rappelle surtout de, à l'époque de « Salut les copains », je me rappelle surtout de « Retiens la nuit » comme avait écrit Charles d'ailleurs.
Et qui faisait à peu près quoi, « Retiens la nuit » ?
Retiens la nuit pour nous deux jusqu'à la fin du [D] monde.
_ _ _ [Abm] _ _ _ _
_ [N] _ _ _ _ _ _ _
[B] Serre-moi [E] fort contre ton corps. _
_ _ _ _ [B] _ _ Le grand [Ab] amour veille [Em] le jour et nous fasse oublier [Gb] la vie, etc.
C [N] _
'est _ Charles à ce moment-là.
_ _ _ _ Comment expliquez-vous que les chansons comme ça, comme « Retiens la nuit » puissent rester à travers les époques ?
Il y a l'interprète, il ne faut pas oublier que dans une chanson, il y a quatre auteurs.
Il y a l'auteur, le compositeur, l'interprète et le public.
Le public est aussi un auteur.
_ _ _ Le public reconnaît ce qu'il a envie d'aimer, ce qu'il aime et ce qu'il trouve bon.
_ _ C'est important.
C'est très important.
Donc c'est grâce à vous.
Merci à tous.
Et à nous aussi.
Un peu.
_ Moi, en tout cas, j'y suis pour rien.
Ce soir, des artistes de toutes les générations vont reprendre en duo des chansons qui datent de toutes les époques, même des années 30.
Et vous allez voir qu'elles vieillissent très bien, comme nous.
Merci infiniment Charles et Johnny pour votre fidélité à la fête de la chanson française.
Et merci pour ce duo d'anthologie que vous nous avez offert ce soir.
Alors on va retenir la nuit encore un tout petit peu et rester dans les années 60 grâce à la troupe du spectacle musical.
Salut les copains !
_ [G] _ _ _ _ [Em] _ _ [D] _
_ _ _ _ [Am] _ _ _ _
_ [D] Sur [A] ma [Bm] vie [A] _
[D] j'avais juré un jour _ de l'aimer jusqu'au dernier jour de mes jours et le _ même
[Bm] mot _ [G] devait très [A] bientôt _ nous [D] unir devant [Bm] Dieu _ et les _ _ [A] hommes.
[D] _ _ Sur ma [Bm] vie _ j'avais [C] fait [Dm] le serment [A] que [D] ce lien _ tiendrait _ jusqu'à la fin des [A] temps
[D] ainsi nous _ [Bm] vivions, _ [Em] libres de _ [A] passion [D] et mon cœur [G] voulait offrir [D] son _ nom.
_ _ [Bm] J'ai des orgues qui [A] chantaient [D] face à Dieu qui [G] _
priait, _ heureux je l [D] _
'attendais
_ _ [Bb] mais _ [Gm] les orgues se sont [Am] _ tuées [Dm] et Dieu a [Gm] disparu car elle n'est pas _ [D]
venue.
_ [A] _ _ _ [D] Sur _ [Bm] ma vie [G] j'ai [A] juré que [D] mon [A] cœur ne [D] battrait _ jamais pour aucun autre [A] cœur
et [D] tout est perdu _ car [G] il ne bat [A] plus et il [D] pleure [G] mon amour [D] déçu. _ _ _
_ [Bb] _ _ _ _ _ _ [D] _
_ Sur ma [Bb] vie, _ _
[Gm] _ _ _ [D] c'est sur ma _
_ [Bb] vie. _ _ _ _ _
_ [Gm] _ [Bb] _ _ [E] _ _ [D] _ _
_ _ _ _ _ [A] _ _ _
_ _ _ _ _ _ [Dm] _ _
Sur [Bm] _ _ _ [Dm] ma vie j'avais juré un _ [Am] jour _ [D] de l'aimer [Dm] jusqu'au dernier jour de [A] mes jours
[D] et même à [B] présent [Bm] je [G] tiendrai _ [A] servant [Bbm] _ [Bm] malgré [Gbm] tout [G] le mal qu'elle m [Gbm]'a fait. _
[B] _ _ [Em] Sur ma vie, _ je sais, [A] _ je l _ _ [Ab]
[Dm]'aimerai.
_ _ _ _ _ _ [G] _
_ _ _ _ _ _ _ _
[D] _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ [N] _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ Merci infiniment M.
Charles Aznavour, merci pour votre présence et pour ce duo. _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ Je suis sûre que vous devez être comme moi devant votre téléviseur, vous allez vous dire quelle classe,
quelle classe, quand on vous voit on est vraiment impressionné, merci beaucoup M.
Charles Aznavour,
je ne peux vous appeler que comme ça ce soir.
Vous êtes très attaché à cette passion que nous partageons tous ce soir, celle de la chanson française.
Alors comment elle se porte aujourd'hui selon vous notre chanson ?
Elle commence à revivre normalement, c'est-à-dire qu'il n'y aura plus bientôt de différence entre le passé,
le présent et peut-être le futur et c'est ça qui est le plus important.
[E] Chanter, [Ebm] chanter, chanter, quel que soit [N] le style, quelle que soit l'année, quel que soit le lieu même. _
_ C'est ce que nous faisons ce soir avec 100 ans de chanson française qui vont défiler en direct devant vos yeux.
Et j'en profite pour saluer la présence de Rémi Plimelin, président de France Télévisions,
et de le remercier pour son soutien à la chanson française que le service public dans son ensemble défend et met en valeur.
Vous avez un point commun tous les deux, _ j'espère que je ne vais pas vous vexer mais c'est du passé, il y a prescription,
c'est qu'au début l'un comme l'autre on vous trouvait nul. _
_ _ Johnny, Lucien Maurice avez cassé un de tes disques à la radio en disant que c'est la première et la dernière fois que vous entendez parler de Johnny Hallyday.
C'est vrai que je ne chantais pas terrible à l'époque.
C'était quand même il y a quelques années et tu es toujours là.
Et puis Charles, il paraît qu'on vous critiquait vous tellement qu'à un moment vous avez écrit une espèce de liste de tous vos défauts.
Voilà ce que vous écriviez, quels sont mes handicaps, ma voix, ma taille, mes gestes, mon manque de culture et d'instruction, ma franchise et mon manque de personnalité.
On a même dit qu'on ne devrait pas laisser des infirmes monter sur scène.
_ _ _ _ Mais _ oui, j'ai eu le droit à tout, et toi aussi. _
Qu'est-ce qui vous reste aujourd'hui de cette époque-là, que la franchise et peut-être la taille ?
Non, ce qui me reste surtout c'est, qu'est-ce qui deviennent ces gens qui ont dit tant de mal de nous ?
Quelle attitude ils ont quand on leur dit « tu t'es trompé à une époque de ta vie ».
Ils ne sont plus là aujourd'hui.
_ _ En tout cas, il y en a un qui ne s'est pas trompé et que nous aimons beaucoup, c'est Levan Sayan qui est là ce soir et qui travaille avec vous depuis 45 ans.
D'ailleurs, on vous souhaite de jolis noces de vermeil, c'est ça 45 ans ?
_ _ Je crois que c'est ça à peu près.
_ Et puis, de quoi donner du courage aussi à tous les jeunes artistes, il y en a beaucoup qui sont là ce soir puisque vous le verrez, nous allons remonter toutes les époques jusqu'à aujourd'hui avec la nouvelle scène à tout à l'heure.
Alors Johnny, « Dadoun Ronron », c'est le titre _ _ qui est resté le plus longtemps classé dans les hits de toute ta carrière, 43 semaines en tout.
Ah bon ? Oui.
_ C'est écrit, maintenant il y a des encyclopédies, il y a des livres, etc.
Dans quelques instants, la trouve de « Salut les copains » à CELC en chantera un extrait pour vous.
Moi, je me rappelle surtout de, à l'époque de « Salut les copains », je me rappelle surtout de « Retiens la nuit » comme avait écrit Charles d'ailleurs.
Et qui faisait à peu près quoi, « Retiens la nuit » ?
Retiens la nuit pour nous deux jusqu'à la fin du [D] monde.
_ _ _ [Abm] _ _ _ _
_ [N] _ _ _ _ _ _ _
[B] Serre-moi [E] fort contre ton corps. _
_ _ _ _ [B] _ _ Le grand [Ab] amour veille [Em] le jour et nous fasse oublier [Gb] la vie, etc.
C [N] _
'est _ Charles à ce moment-là.
_ _ _ _ Comment expliquez-vous que les chansons comme ça, comme « Retiens la nuit » puissent rester à travers les époques ?
Il y a l'interprète, il ne faut pas oublier que dans une chanson, il y a quatre auteurs.
Il y a l'auteur, le compositeur, l'interprète et le public.
Le public est aussi un auteur.
_ _ _ Le public reconnaît ce qu'il a envie d'aimer, ce qu'il aime et ce qu'il trouve bon.
_ _ C'est important.
C'est très important.
Donc c'est grâce à vous.
Merci à tous.
Et à nous aussi.
Un peu.
_ Moi, en tout cas, j'y suis pour rien.
Ce soir, des artistes de toutes les générations vont reprendre en duo des chansons qui datent de toutes les époques, même des années 30.
Et vous allez voir qu'elles vieillissent très bien, comme nous.
Merci infiniment Charles et Johnny pour votre fidélité à la fête de la chanson française.
Et merci pour ce duo d'anthologie que vous nous avez offert ce soir.
Alors on va retenir la nuit encore un tout petit peu et rester dans les années 60 grâce à la troupe du spectacle musical.
Salut les copains !