Chords for Chiens de Paille : Maudits Soient Les Yeux Fermés - 1998 - B.O. film Taxi - Rap Hip Hop Francais
Tempo:
91.05 bpm
Chords used:
Em
Am
D
A
E
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Allo ?
[E] Allo chill ?
Ouais c'est moi.
Tu vas bien ?
Ouais je t'appelle [Am] parce que j'ai écouté des instru pour Taxi et moi les trucs gays [D] ça le fait pas quoi.
[Em] Pourquoi ?
Mon coeur, mes textes comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce tu veux que je te dise tu sais, les temps sont [Am] durs.
Féministe en sombre, couleur d'améthyste.
Mais qu'est-ce tu veux que je te dise [A] tu sais, mon âme est [Em] triste.
Ouais de toute façon fais ce qui te plaît.
Mais qu'est-ce tu veux que je dise donc que ce que je suis.
Chaque [Am] jour me dicte ses lignes, en soulignent les plus tristes.
Je prie plus, je flippe, [D] je ris peu, je parle de moins [Em] en moins.
Mon seul lien avec les miens reste l'écriture, les délibérances.
Elles me libèrent de mes délires [Am] denses, mes récirances.
Soutiennent, faut que je déballe tout.
Mal me rend fou, faut que je parle, [D] qu'on râle, je m'en fous.
Je m [Em]'étale devant vous, souvent, je suis de plus haut degré.
Je planche pour écrire un sourire, mais ma plume flanche.
[Am] Feuille blanche, étanche, chose gay, c'est étrange.
Je sais pas que je veux pas, mais je peux pas.
[D] J'ai pas la tête à la [Em] fête, peut-être que je ne suis que le fruit de mon époque.
La vie se comporte durement, m'impose attumant cette [A] prose puante à haute dose.
Une porte névrose à son fait [A] m'isole.
Comme Travis [D] Bickle, pour que je rigole, faut [Em] que je picole.
Mes textes, je voudrais que t'en ries, mais je dis que ça part mal.
Croire en toi, on a le droit, mais au fond, je [Am] m'attends pas à tant que ça.
Entends ce sale son, garçon.
Si ça sent le souffre, [D] c'est que je te souffre.
Ma vie, te [Em] souffre à toi, c'est qui souffre.
Alors profites-en, tant que ce n'est qu'un disque.
Et tant de fatalité crasse, ne reste [Am] que ma réalité.
Si j'y arrivais seulement à rire, rien ne m [D]'amuse.
[Em] Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise, tu sais, les tensions [Am] dures.
Réminiscent en sombre couleur d'amethyst.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te [D] dise, tu sais, mon âme est [Em] triste.
Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise, tu sais, les tensions [Am] dures.
Réminiscent en sombre couleur d'amethyst.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise, [D] tu sais, mon âme est [Em] triste.
À l'aube de l'an 2000, l'avenir est sombre dans les villes du monde.
Je sens un plan d'homme tombe dans l'ombre.
[Am] Grand nombre d'anges déchus.
L'existence en dessous.
Dessus je suis.
[D] Dès le début j'ai su que [Em] Jésus fout de nous.
De suite je l'ai lu dans les yeux des miens.
Des moins forcés de forfait pour les moins.
[Am] Exposé à l'aimant.
Lié.
La vie m'impose ses thèmes.
Et que j'aime ou que je n'aime [D] pas n'est pas le problème.
J'en [Em] parle quand même.
Dénué de sens, dénué de scène, c'est là que j'en me blesse.
Et même si c'est ainsi, ça me laisse [Am] porte-doigts.
Reste que je ne peux l'admettre, ça me situe voir ces trucs.
Le temps et les [D] ans passent, mais rien ne change.
[Em] Personne s'arrête.
Aujourd'hui, il ne faut plus compter sur autrui.
C'est comme ça que le monde marche.
Et je sais ce que je cherche à [Am] comprendre.
Écrire autre chose, je voudrais.
Je suis sincère quand je dis ça.
Mais on ne [D] reproche pas à l'aveugle de ne pas [Em] voir.
Je sais ça.
J'ai 23 ans, le ventre vide.
Avide de prendre coup aux choses.
Peu commode, je m'accommode [Am] mal des modes de vie.
Alors que me reste-t-il ?
Même ma musique pue le chien.
Je suis en droit [D] d'espérer pour demain.
J [Em]'en suis là.
Cinglance, constamme, consterne.
Concernent pas que moi, conscience à.
Comment lâcher pour la [Am] riser ?
Diriger lyriques, ce serait tisser d'hypocrisie.
Alors je lâche pas l'affaire [D] et maudit soit les yeux [Em] fermés.
Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise ?
Tu sais, les temps sont [Am] durs.
Réminiscent en sombre, couleur d'améthyste.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te [D] dise ?
Tu sais, mon âme est [Em] triste.
Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise ?
Tu sais, les temps sont [Am] durs.
Réminiscent en sombre, couleur d'améthyste.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te [D] dise ?
Tu sais, mon âme est [Em] triste.
[Am]
[D] [Em]
[Am]
[D] [Em]
[Am]
[D] [Em]
[Am]
[D] [Em]
[Am]
[D] [Em]
[E] Allo chill ?
Ouais c'est moi.
Tu vas bien ?
Ouais je t'appelle [Am] parce que j'ai écouté des instru pour Taxi et moi les trucs gays [D] ça le fait pas quoi.
[Em] Pourquoi ?
Mon coeur, mes textes comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce tu veux que je te dise tu sais, les temps sont [Am] durs.
Féministe en sombre, couleur d'améthyste.
Mais qu'est-ce tu veux que je te dise [A] tu sais, mon âme est [Em] triste.
Ouais de toute façon fais ce qui te plaît.
Mais qu'est-ce tu veux que je dise donc que ce que je suis.
Chaque [Am] jour me dicte ses lignes, en soulignent les plus tristes.
Je prie plus, je flippe, [D] je ris peu, je parle de moins [Em] en moins.
Mon seul lien avec les miens reste l'écriture, les délibérances.
Elles me libèrent de mes délires [Am] denses, mes récirances.
Soutiennent, faut que je déballe tout.
Mal me rend fou, faut que je parle, [D] qu'on râle, je m'en fous.
Je m [Em]'étale devant vous, souvent, je suis de plus haut degré.
Je planche pour écrire un sourire, mais ma plume flanche.
[Am] Feuille blanche, étanche, chose gay, c'est étrange.
Je sais pas que je veux pas, mais je peux pas.
[D] J'ai pas la tête à la [Em] fête, peut-être que je ne suis que le fruit de mon époque.
La vie se comporte durement, m'impose attumant cette [A] prose puante à haute dose.
Une porte névrose à son fait [A] m'isole.
Comme Travis [D] Bickle, pour que je rigole, faut [Em] que je picole.
Mes textes, je voudrais que t'en ries, mais je dis que ça part mal.
Croire en toi, on a le droit, mais au fond, je [Am] m'attends pas à tant que ça.
Entends ce sale son, garçon.
Si ça sent le souffre, [D] c'est que je te souffre.
Ma vie, te [Em] souffre à toi, c'est qui souffre.
Alors profites-en, tant que ce n'est qu'un disque.
Et tant de fatalité crasse, ne reste [Am] que ma réalité.
Si j'y arrivais seulement à rire, rien ne m [D]'amuse.
[Em] Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise, tu sais, les tensions [Am] dures.
Réminiscent en sombre couleur d'amethyst.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te [D] dise, tu sais, mon âme est [Em] triste.
Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise, tu sais, les tensions [Am] dures.
Réminiscent en sombre couleur d'amethyst.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise, [D] tu sais, mon âme est [Em] triste.
À l'aube de l'an 2000, l'avenir est sombre dans les villes du monde.
Je sens un plan d'homme tombe dans l'ombre.
[Am] Grand nombre d'anges déchus.
L'existence en dessous.
Dessus je suis.
[D] Dès le début j'ai su que [Em] Jésus fout de nous.
De suite je l'ai lu dans les yeux des miens.
Des moins forcés de forfait pour les moins.
[Am] Exposé à l'aimant.
Lié.
La vie m'impose ses thèmes.
Et que j'aime ou que je n'aime [D] pas n'est pas le problème.
J'en [Em] parle quand même.
Dénué de sens, dénué de scène, c'est là que j'en me blesse.
Et même si c'est ainsi, ça me laisse [Am] porte-doigts.
Reste que je ne peux l'admettre, ça me situe voir ces trucs.
Le temps et les [D] ans passent, mais rien ne change.
[Em] Personne s'arrête.
Aujourd'hui, il ne faut plus compter sur autrui.
C'est comme ça que le monde marche.
Et je sais ce que je cherche à [Am] comprendre.
Écrire autre chose, je voudrais.
Je suis sincère quand je dis ça.
Mais on ne [D] reproche pas à l'aveugle de ne pas [Em] voir.
Je sais ça.
J'ai 23 ans, le ventre vide.
Avide de prendre coup aux choses.
Peu commode, je m'accommode [Am] mal des modes de vie.
Alors que me reste-t-il ?
Même ma musique pue le chien.
Je suis en droit [D] d'espérer pour demain.
J [Em]'en suis là.
Cinglance, constamme, consterne.
Concernent pas que moi, conscience à.
Comment lâcher pour la [Am] riser ?
Diriger lyriques, ce serait tisser d'hypocrisie.
Alors je lâche pas l'affaire [D] et maudit soit les yeux [Em] fermés.
Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise ?
Tu sais, les temps sont [Am] durs.
Réminiscent en sombre, couleur d'améthyste.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te [D] dise ?
Tu sais, mon âme est [Em] triste.
Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise ?
Tu sais, les temps sont [Am] durs.
Réminiscent en sombre, couleur d'améthyste.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te [D] dise ?
Tu sais, mon âme est [Em] triste.
[Am]
[D] [Em]
[Am]
[D] [Em]
[Am]
[D] [Em]
[Am]
[D] [Em]
[Am]
[D] [Em]
Key:
Em
Am
D
A
E
Em
Am
D
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ Allo ?
[E] Allo chill ?
Ouais c'est moi.
Tu vas bien ?
Ouais _ je t'appelle [Am] parce que j'ai écouté des instru pour Taxi et moi les trucs gays [D] ça le fait pas quoi.
[Em] Pourquoi ?
Mon coeur, mes textes comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce tu veux que je te dise tu sais, les temps sont [Am] durs.
Féministe en sombre, couleur d'améthyste.
Mais qu'est-ce tu veux que je te dise [A] tu sais, mon âme est [Em] triste.
Ouais de toute façon fais ce qui te plaît.
Mais qu'est-ce tu veux que je dise donc que ce que je suis.
Chaque [Am] jour me dicte ses lignes, en soulignent les plus tristes.
Je prie plus, je flippe, [D] je ris peu, je parle de moins [Em] en moins.
Mon seul lien avec les miens reste l'écriture, les délibérances.
Elles me libèrent de mes délires [Am] denses, mes récirances.
Soutiennent, faut que je déballe tout.
Mal me rend fou, faut que je parle, [D] qu'on râle, je m'en fous.
Je m [Em]'étale devant vous, souvent, je suis de plus haut degré.
Je planche pour écrire un sourire, mais ma plume flanche.
[Am] Feuille blanche, étanche, chose gay, c'est étrange.
Je sais pas que je veux pas, mais je peux pas.
[D] J'ai pas la tête à la [Em] fête, peut-être que je ne suis que le fruit de mon époque.
La vie se comporte durement, m'impose attumant cette [A] prose puante à haute dose.
Une porte névrose à son fait [A] m'isole.
Comme Travis [D] Bickle, pour que je rigole, faut [Em] que je picole.
Mes textes, je voudrais que t'en ries, mais je dis que ça part mal.
Croire en toi, on a le droit, mais au fond, je [Am] m'attends pas à tant que ça.
Entends ce sale son, garçon.
Si ça sent le souffre, [D] c'est que je te souffre.
Ma vie, te [Em] souffre à toi, c'est qui souffre.
Alors profites-en, tant que ce n'est qu'un disque.
Et tant de fatalité crasse, ne reste [Am] que ma réalité.
Si j'y arrivais seulement à rire, rien ne m [D]'amuse.
[Em] Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise, tu sais, les tensions [Am] dures.
Réminiscent en sombre couleur d'amethyst.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te [D] dise, tu sais, mon âme est [Em] triste.
Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise, tu sais, les tensions [Am] dures.
Réminiscent en sombre couleur d'amethyst.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise, [D] tu sais, mon âme est [Em] triste.
À l'aube de l'an 2000, l'avenir est sombre dans les villes du monde.
Je sens un plan d'homme tombe dans l'ombre.
[Am] Grand nombre d'anges déchus.
L'existence en dessous.
Dessus je suis.
[D] Dès le début j'ai su que [Em] Jésus fout de nous.
De suite je l'ai lu dans les yeux des miens.
Des moins forcés de forfait pour les moins.
[Am] Exposé à l'aimant.
Lié.
La vie m'impose ses thèmes.
Et que j'aime ou que je n'aime [D] pas n'est pas le problème.
J'en [Em] parle quand même.
Dénué de sens, dénué de scène, c'est là que j'en me blesse.
Et même si c'est ainsi, ça me laisse [Am] porte-doigts.
Reste que je ne peux l'admettre, ça me situe voir ces trucs.
Le temps et les [D] ans passent, mais rien ne change.
[Em] Personne s'arrête.
Aujourd'hui, il ne faut plus compter sur autrui.
C'est comme ça que le monde marche.
Et je sais ce que je cherche à [Am] comprendre.
Écrire autre chose, je voudrais.
Je suis sincère quand je dis ça.
Mais on ne [D] reproche pas à l'aveugle de ne pas [Em] voir.
Je sais ça.
J'ai 23 ans, le ventre vide.
Avide de prendre coup aux choses.
Peu commode, je m'accommode [Am] mal des modes de vie.
Alors que me reste-t-il ?
Même ma musique pue le chien.
Je suis en droit [D] d'espérer pour demain.
J [Em]'en suis là.
Cinglance, constamme, consterne.
Concernent pas que moi, conscience à.
Comment lâcher pour la [Am] riser ?
Diriger lyriques, ce serait tisser d'hypocrisie.
Alors je lâche pas l'affaire [D] et maudit soit les yeux [Em] fermés.
Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise ?
Tu sais, les temps sont [Am] durs.
Réminiscent en sombre, couleur d'améthyste.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te [D] dise ?
Tu sais, mon âme est [Em] triste.
Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise ?
Tu sais, les temps sont [Am] durs.
Réminiscent en sombre, couleur d'améthyste.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te [D] dise ?
Tu sais, mon âme est [Em] triste. _ _ _
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_ _ [D] _ _ [Em] _ _ _ _
_ _ _ _ [Am] _ _ _ _
_ _ [D] _ _ [Em] _ _ _ _
_ _ _ _ [Am] _ _ _ _
_ _ [D] _ _ [Em] _ _ _ _
_ _ _ _ [Am] _ _ _ _
_ _ [D] _ _ [Em] _ _ _ _
_ _ _ _ [Am] _ _ _ _
_ _ [D] _ _ [Em] _ _ _ _
_ _ _ Allo ?
[E] Allo chill ?
Ouais c'est moi.
Tu vas bien ?
Ouais _ je t'appelle [Am] parce que j'ai écouté des instru pour Taxi et moi les trucs gays [D] ça le fait pas quoi.
[Em] Pourquoi ?
Mon coeur, mes textes comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce tu veux que je te dise tu sais, les temps sont [Am] durs.
Féministe en sombre, couleur d'améthyste.
Mais qu'est-ce tu veux que je te dise [A] tu sais, mon âme est [Em] triste.
Ouais de toute façon fais ce qui te plaît.
Mais qu'est-ce tu veux que je dise donc que ce que je suis.
Chaque [Am] jour me dicte ses lignes, en soulignent les plus tristes.
Je prie plus, je flippe, [D] je ris peu, je parle de moins [Em] en moins.
Mon seul lien avec les miens reste l'écriture, les délibérances.
Elles me libèrent de mes délires [Am] denses, mes récirances.
Soutiennent, faut que je déballe tout.
Mal me rend fou, faut que je parle, [D] qu'on râle, je m'en fous.
Je m [Em]'étale devant vous, souvent, je suis de plus haut degré.
Je planche pour écrire un sourire, mais ma plume flanche.
[Am] Feuille blanche, étanche, chose gay, c'est étrange.
Je sais pas que je veux pas, mais je peux pas.
[D] J'ai pas la tête à la [Em] fête, peut-être que je ne suis que le fruit de mon époque.
La vie se comporte durement, m'impose attumant cette [A] prose puante à haute dose.
Une porte névrose à son fait [A] m'isole.
Comme Travis [D] Bickle, pour que je rigole, faut [Em] que je picole.
Mes textes, je voudrais que t'en ries, mais je dis que ça part mal.
Croire en toi, on a le droit, mais au fond, je [Am] m'attends pas à tant que ça.
Entends ce sale son, garçon.
Si ça sent le souffre, [D] c'est que je te souffre.
Ma vie, te [Em] souffre à toi, c'est qui souffre.
Alors profites-en, tant que ce n'est qu'un disque.
Et tant de fatalité crasse, ne reste [Am] que ma réalité.
Si j'y arrivais seulement à rire, rien ne m [D]'amuse.
[Em] Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise, tu sais, les tensions [Am] dures.
Réminiscent en sombre couleur d'amethyst.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te [D] dise, tu sais, mon âme est [Em] triste.
Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise, tu sais, les tensions [Am] dures.
Réminiscent en sombre couleur d'amethyst.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise, [D] tu sais, mon âme est [Em] triste.
À l'aube de l'an 2000, l'avenir est sombre dans les villes du monde.
Je sens un plan d'homme tombe dans l'ombre.
[Am] Grand nombre d'anges déchus.
L'existence en dessous.
Dessus je suis.
[D] Dès le début j'ai su que [Em] Jésus fout de nous.
De suite je l'ai lu dans les yeux des miens.
Des moins forcés de forfait pour les moins.
[Am] Exposé à l'aimant.
Lié.
La vie m'impose ses thèmes.
Et que j'aime ou que je n'aime [D] pas n'est pas le problème.
J'en [Em] parle quand même.
Dénué de sens, dénué de scène, c'est là que j'en me blesse.
Et même si c'est ainsi, ça me laisse [Am] porte-doigts.
Reste que je ne peux l'admettre, ça me situe voir ces trucs.
Le temps et les [D] ans passent, mais rien ne change.
[Em] Personne s'arrête.
Aujourd'hui, il ne faut plus compter sur autrui.
C'est comme ça que le monde marche.
Et je sais ce que je cherche à [Am] comprendre.
Écrire autre chose, je voudrais.
Je suis sincère quand je dis ça.
Mais on ne [D] reproche pas à l'aveugle de ne pas [Em] voir.
Je sais ça.
J'ai 23 ans, le ventre vide.
Avide de prendre coup aux choses.
Peu commode, je m'accommode [Am] mal des modes de vie.
Alors que me reste-t-il ?
Même ma musique pue le chien.
Je suis en droit [D] d'espérer pour demain.
J [Em]'en suis là.
Cinglance, constamme, consterne.
Concernent pas que moi, conscience à.
Comment lâcher pour la [Am] riser ?
Diriger lyriques, ce serait tisser d'hypocrisie.
Alors je lâche pas l'affaire [D] et maudit soit les yeux [Em] fermés.
Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise ?
Tu sais, les temps sont [Am] durs.
Réminiscent en sombre, couleur d'améthyste.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te [D] dise ?
Tu sais, mon âme est [Em] triste.
Mon cœur, mes textes, comme les temps sont durs.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te dise ?
Tu sais, les temps sont [Am] durs.
Réminiscent en sombre, couleur d'améthyste.
Mais qu'est-ce que tu veux que je te [D] dise ?
Tu sais, mon âme est [Em] triste. _ _ _
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