Aux Absents Chords by Fonky Family
Tempo:
91.95 bpm
Chords used:
Em
Am
D
A
Eb
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Bm] [D] [E]
[Am]
[Em] Garde la paix frérot.
[Am]
[Em] Que [Am] l'on nous disparue.
[Em] Vite, tu me donnes la vue.
[Am] Que l'on nous [Em] disparue.
Aux armes [Am] sains, unis à la vie et à la mort, ensemble on grille [Em] les proches, pleurent.
Loin des chieux, on reste près du [Am] coeur, tous bourrés.
On remémore le bon comme le [Em] mauvais.
Voir un ami [Am] pleurer.
Y'a le bon et le mauvais, les malheurs se suivent.
[Em] Dans la rue, des hommes veulent se sauver, s'assortir dans ce monde [Am] pour pas crever.
Se lire à la vie, à la mort, [Em] pouvoir grandir plus fort, mais nul sait ce qui se passe [Am] dehors.
La proche est proche, le soir on nous prend un proche, putain c'est moche.
[Em] Que peux-tu faire, notre couleur de peau cloche, les journées s [Am]'enchaînent, les gringoles ne s'apparentent.
Quand même faudrait que les gens s [Em]'occupent un peu de leurs problèmes.
Il est loin nos yeux, loin [Am] nos coeurs parfois défoncés.
Votre mémoire, le passé, [Em] qu'est-ce qui s'est vraiment passé ce matin ?
Où tu nous as laissés à [Am] coche de chêne mal graissé ?
J'place une pensée pour mon [Em] frère offensé, délesté par des magistrats de PD.
[Am] Dans une ville où règne le fond de la haine, j'place une [Em] dédicace pour mon frère Blas, dans mon coeur.
[A] Chaque jour que Dieu fait, je pense à mon pote loin de moi.
Y'a que dans le [Gm] coeur ou dans les rêves que je peux le serrer dans mes bras.
Garde la foi frérot, [Am] je sais que tu as la force en [Em] toi.
Ta deuxième femme, il t'oublie pas.
[Am] Le son tourne bien, le sang des miens [Em] coule.
La chance sur eux même de nos jours restait cool.
[Am] Pas possible qu'où je tue, tu le sais.
Nos [Em] frères tombent, frères dans les tombes.
Ville reste leur [Am] nom.
Loin des yeux, pourtant dans les lettres, j [Em]'entends sa voix.
Des larmes tombent, c'est mon choix de rester [Am] proche, même séparé.
Je trahis mes potes, non ça se verrait.
[Em] J'aimerais être près de lui pour qu'il voit l'ami pleurer.
[Am] Les absinthes manquent un maximum.
Quand on y [Em] pense, la vie elle continue, mais quand même.
Juste pour les souvenirs [Am] d'enfance, dure d'oublier.
Je suis formel.
[Em] Les morts naturelles c'est fini, toujours histoire criminelle.
[Am] A cause des minettes pleines de rimelles, tu peux manger la [Em] gamelle.
Les gamins, on gamme les mêmes des jumelles.
[Am] Les temps changent, le bordel augmente.
Le mal [Em] règne entre les mères et les familles présentes sur [Am] cette terre.
Des frères disparaissent jeunes.
Le deuil [Em] tourne dans les quartiers, elles ont peur.
En pleurer pas [Am] seul, le mal leur prend l'ampleur.
Le bonheur fou le camp.
[Em] Franchement mon, on fait partie du même [A] camp.
Unis à la vie et à la mort, ensemble on rit, [Em] les proches pleurent.
Loin des yeux, on reste [Am] près du cœur, tous bourrés.
On remémore le bon comme le [Em] mauvais.
Voir un ami pleurer.
[Am] Au sein des sanctuaires, jeunes et pauvres, on se considère en tant [Em] que frères.
Unis à la vie et à la mort, fiers et solidaires [Am] devant nos galères.
Injustice, favure de la police, [Em] poste de jadis.
De vieux jaloux qui te maudissent.
Avec [Am] le temps, t'apprends à protéger tes amis.
[Em] En cas de haïtia tu sautes, quitte à risquer ta vie.
[Am] Tout n'est pas rose, tout n'est pas triste.
Non plus dans les rues on [Em] passe des rires au sangle quand on a trop bu.
Une fois [Am] de plus, dépense à outrance.
Je pense aux actes sans [Em] impatience.
Les revoirs ont gardent l'espoir.
Il faut y croire [Am] frère.
Ce qui ne te détruit pas tant que tu reçois.
Prouve [Em]-nous le.
Je serai parmi les plus heureux et sûr.
Je [Am] poursuis pour celui avec qui j'en ai traversé.
Quand [Em] mes versets lui sont adressés, je me revois au lit, c'est [Am] décompressé.
Tandis que les autres étaient en cours.
Loin de [Em] mes yeux, tu restes près de mon cœur pour toujours.
Chaque jour que [A] Dieu fait, je pense à mon père loin de moi.
[Em] Y'a que dans le cœur ou dans les rêves que je peux le serrer dans mes bras.
[Am] Garde la foi frérot.
Je sais que tu as la force en toi.
[Em] Ta deuxième famille t'oublie pas.
[Am] Tant de vies, j'agendais les bilans.
Mon [Em] esprit frôle, parti, absence.
Dieu ressentit.
Trop de [Am] gens manquent à l'appel.
Les jours de fête.
Attente sans [Em] fin.
Les larmes pénètrent.
Ils changent bien des [Eb] têtes.
Aux [Bb] disparus, [Cm] pour nous leur faim n'est pas heureuse.
Auprès des corps, les cris, [D] les pleurs.
Paroles bieuses.
Garde la foi.
[Bbm] [Eb] Seul reste le souvenir chaque soir.
Un chien [D] d'honneur pour qu'ils vivent dans nos [Am] mémoires.
[Em] Merde à vie et à la mort.
[Am] Pour nos disparus.
[Em] [Am]
[Em] [Am]
[Am]
[Em] Garde la paix frérot.
[Am]
[Em] Que [Am] l'on nous disparue.
[Em] Vite, tu me donnes la vue.
[Am] Que l'on nous [Em] disparue.
Aux armes [Am] sains, unis à la vie et à la mort, ensemble on grille [Em] les proches, pleurent.
Loin des chieux, on reste près du [Am] coeur, tous bourrés.
On remémore le bon comme le [Em] mauvais.
Voir un ami [Am] pleurer.
Y'a le bon et le mauvais, les malheurs se suivent.
[Em] Dans la rue, des hommes veulent se sauver, s'assortir dans ce monde [Am] pour pas crever.
Se lire à la vie, à la mort, [Em] pouvoir grandir plus fort, mais nul sait ce qui se passe [Am] dehors.
La proche est proche, le soir on nous prend un proche, putain c'est moche.
[Em] Que peux-tu faire, notre couleur de peau cloche, les journées s [Am]'enchaînent, les gringoles ne s'apparentent.
Quand même faudrait que les gens s [Em]'occupent un peu de leurs problèmes.
Il est loin nos yeux, loin [Am] nos coeurs parfois défoncés.
Votre mémoire, le passé, [Em] qu'est-ce qui s'est vraiment passé ce matin ?
Où tu nous as laissés à [Am] coche de chêne mal graissé ?
J'place une pensée pour mon [Em] frère offensé, délesté par des magistrats de PD.
[Am] Dans une ville où règne le fond de la haine, j'place une [Em] dédicace pour mon frère Blas, dans mon coeur.
[A] Chaque jour que Dieu fait, je pense à mon pote loin de moi.
Y'a que dans le [Gm] coeur ou dans les rêves que je peux le serrer dans mes bras.
Garde la foi frérot, [Am] je sais que tu as la force en [Em] toi.
Ta deuxième femme, il t'oublie pas.
[Am] Le son tourne bien, le sang des miens [Em] coule.
La chance sur eux même de nos jours restait cool.
[Am] Pas possible qu'où je tue, tu le sais.
Nos [Em] frères tombent, frères dans les tombes.
Ville reste leur [Am] nom.
Loin des yeux, pourtant dans les lettres, j [Em]'entends sa voix.
Des larmes tombent, c'est mon choix de rester [Am] proche, même séparé.
Je trahis mes potes, non ça se verrait.
[Em] J'aimerais être près de lui pour qu'il voit l'ami pleurer.
[Am] Les absinthes manquent un maximum.
Quand on y [Em] pense, la vie elle continue, mais quand même.
Juste pour les souvenirs [Am] d'enfance, dure d'oublier.
Je suis formel.
[Em] Les morts naturelles c'est fini, toujours histoire criminelle.
[Am] A cause des minettes pleines de rimelles, tu peux manger la [Em] gamelle.
Les gamins, on gamme les mêmes des jumelles.
[Am] Les temps changent, le bordel augmente.
Le mal [Em] règne entre les mères et les familles présentes sur [Am] cette terre.
Des frères disparaissent jeunes.
Le deuil [Em] tourne dans les quartiers, elles ont peur.
En pleurer pas [Am] seul, le mal leur prend l'ampleur.
Le bonheur fou le camp.
[Em] Franchement mon, on fait partie du même [A] camp.
Unis à la vie et à la mort, ensemble on rit, [Em] les proches pleurent.
Loin des yeux, on reste [Am] près du cœur, tous bourrés.
On remémore le bon comme le [Em] mauvais.
Voir un ami pleurer.
[Am] Au sein des sanctuaires, jeunes et pauvres, on se considère en tant [Em] que frères.
Unis à la vie et à la mort, fiers et solidaires [Am] devant nos galères.
Injustice, favure de la police, [Em] poste de jadis.
De vieux jaloux qui te maudissent.
Avec [Am] le temps, t'apprends à protéger tes amis.
[Em] En cas de haïtia tu sautes, quitte à risquer ta vie.
[Am] Tout n'est pas rose, tout n'est pas triste.
Non plus dans les rues on [Em] passe des rires au sangle quand on a trop bu.
Une fois [Am] de plus, dépense à outrance.
Je pense aux actes sans [Em] impatience.
Les revoirs ont gardent l'espoir.
Il faut y croire [Am] frère.
Ce qui ne te détruit pas tant que tu reçois.
Prouve [Em]-nous le.
Je serai parmi les plus heureux et sûr.
Je [Am] poursuis pour celui avec qui j'en ai traversé.
Quand [Em] mes versets lui sont adressés, je me revois au lit, c'est [Am] décompressé.
Tandis que les autres étaient en cours.
Loin de [Em] mes yeux, tu restes près de mon cœur pour toujours.
Chaque jour que [A] Dieu fait, je pense à mon père loin de moi.
[Em] Y'a que dans le cœur ou dans les rêves que je peux le serrer dans mes bras.
[Am] Garde la foi frérot.
Je sais que tu as la force en toi.
[Em] Ta deuxième famille t'oublie pas.
[Am] Tant de vies, j'agendais les bilans.
Mon [Em] esprit frôle, parti, absence.
Dieu ressentit.
Trop de [Am] gens manquent à l'appel.
Les jours de fête.
Attente sans [Em] fin.
Les larmes pénètrent.
Ils changent bien des [Eb] têtes.
Aux [Bb] disparus, [Cm] pour nous leur faim n'est pas heureuse.
Auprès des corps, les cris, [D] les pleurs.
Paroles bieuses.
Garde la foi.
[Bbm] [Eb] Seul reste le souvenir chaque soir.
Un chien [D] d'honneur pour qu'ils vivent dans nos [Am] mémoires.
[Em] Merde à vie et à la mort.
[Am] Pour nos disparus.
[Em] [Am]
[Em] [Am]
Key:
Em
Am
D
A
Eb
Em
Am
D
_ [Bm] _ _ _ [D] _ _ [E] _ _
_ _ _ _ [Am] _ _ _
[Em] Garde la paix frérot.
_ _ [Am] _ _ _ _
[Em] _ Que [Am] l'on nous disparue. _ _
[Em] _ Vite, tu me donnes la vue.
[Am] _ _ Que l'on nous [Em] disparue.
_ Aux armes [Am] sains, unis à la vie et à la mort, ensemble on grille [Em] les proches, pleurent.
Loin des chieux, on reste près du [Am] coeur, tous bourrés.
On remémore le bon comme le [Em] mauvais.
Voir un ami [Am] pleurer.
Y'a le bon et le mauvais, les malheurs se suivent.
[Em] Dans la rue, des hommes veulent se sauver, s'assortir dans ce monde [Am] pour pas crever.
Se lire à la vie, à la mort, [Em] pouvoir grandir plus fort, mais nul sait ce qui se passe [Am] dehors.
La proche est proche, le soir on nous prend un proche, putain c'est moche.
[Em] Que peux-tu faire, notre couleur de peau cloche, les journées s [Am]'enchaînent, les gringoles ne s'apparentent.
Quand même faudrait que les gens s [Em]'occupent un peu de leurs problèmes.
Il est loin nos yeux, loin [Am] nos coeurs parfois défoncés.
Votre mémoire, le passé, [Em] qu'est-ce qui s'est vraiment passé ce matin ?
Où tu nous as laissés à [Am] coche de chêne mal graissé ?
J'place une pensée pour mon [Em] frère offensé, délesté par des magistrats de PD.
[Am] Dans une ville où règne le fond de la haine, j'place une [Em] dédicace pour mon frère Blas, dans mon coeur.
[A] Chaque jour que Dieu fait, je pense à mon pote loin de moi.
Y'a que dans le [Gm] coeur ou dans les rêves que je peux le serrer dans mes bras.
Garde la foi frérot, [Am] je sais que tu as la force en [Em] toi.
Ta deuxième femme, il t'oublie pas.
[Am] Le son tourne bien, le sang des miens [Em] coule.
La chance sur eux même de nos jours restait cool.
[Am] Pas possible qu'où je tue, tu le sais.
Nos [Em] frères tombent, frères dans les tombes.
Ville reste leur [Am] nom.
Loin des yeux, pourtant dans les lettres, j [Em]'entends sa voix.
Des larmes tombent, c'est mon choix de rester [Am] proche, même séparé.
Je trahis mes potes, non ça se verrait.
[Em] J'aimerais être près de lui pour qu'il voit l'ami pleurer.
[Am] Les absinthes manquent un maximum.
Quand on y [Em] pense, la vie elle continue, mais quand même.
Juste pour les souvenirs [Am] d'enfance, dure d'oublier.
Je suis formel.
[Em] Les morts naturelles c'est fini, toujours histoire criminelle.
[Am] A cause des minettes pleines de rimelles, tu peux manger la [Em] gamelle.
Les gamins, on gamme les mêmes des jumelles.
[Am] Les temps changent, le bordel augmente.
Le mal [Em] règne entre les mères et les familles présentes sur [Am] cette terre.
Des frères disparaissent jeunes.
Le deuil [Em] tourne dans les quartiers, elles ont peur.
En pleurer pas [Am] seul, le mal leur prend l'ampleur.
Le bonheur fou le camp.
[Em] Franchement mon, on fait partie du même [A] camp.
Unis à la vie et à la mort, ensemble on rit, [Em] les proches pleurent.
Loin des yeux, on reste [Am] près du cœur, tous bourrés.
On remémore le bon comme le [Em] mauvais.
Voir un ami pleurer.
[Am] Au sein des sanctuaires, jeunes et pauvres, on se considère en tant [Em] que frères.
Unis à la vie et à la mort, fiers et solidaires [Am] devant nos galères.
Injustice, favure de la police, [Em] poste de jadis.
De vieux jaloux qui te maudissent.
Avec [Am] le temps, t'apprends à protéger tes amis.
[Em] En cas de haïtia tu sautes, quitte à risquer ta vie.
[Am] Tout n'est pas rose, tout n'est pas triste.
Non plus dans les rues on [Em] passe des rires au sangle quand on a trop bu.
Une fois [Am] de plus, dépense à outrance.
Je pense aux actes sans [Em] impatience.
Les revoirs ont gardent l'espoir.
Il faut y croire [Am] frère.
Ce qui ne te détruit pas tant que tu reçois.
Prouve [Em]-nous le.
Je serai parmi les plus heureux et sûr.
Je [Am] poursuis pour celui avec qui j'en ai traversé.
Quand [Em] mes versets lui sont adressés, je me revois au lit, c'est [Am] décompressé.
Tandis que les autres étaient en cours.
Loin de [Em] mes yeux, tu restes près de mon cœur pour toujours.
Chaque jour que [A] Dieu fait, je pense à mon père loin de moi.
[Em] Y'a que dans le cœur ou dans les rêves que je peux le serrer dans mes bras.
[Am] Garde la foi frérot.
Je sais que tu as la force en toi.
[Em] Ta deuxième famille t'oublie pas.
[Am] Tant de vies, j'agendais les bilans.
Mon [Em] esprit frôle, parti, absence.
Dieu ressentit.
Trop de [Am] gens manquent à l'appel.
Les jours de fête.
Attente sans [Em] fin.
Les larmes pénètrent.
Ils changent bien des [Eb] têtes.
Aux [Bb] disparus, [Cm] pour nous leur faim n'est pas heureuse.
Auprès des corps, les cris, [D] les pleurs.
Paroles bieuses.
Garde la foi.
[Bbm] [Eb] Seul reste le souvenir chaque soir.
Un chien [D] d'honneur pour qu'ils vivent dans nos [Am] mémoires. _ _
[Em] Merde à vie et à la mort.
_ [Am] Pour nos disparus. _ _
[Em] _ _ _ _ [Am] _ _ _ _
[Em] _ _ _ [Am] _ _ _ _ _
_ _ _ _ [Am] _ _ _
[Em] Garde la paix frérot.
_ _ [Am] _ _ _ _
[Em] _ Que [Am] l'on nous disparue. _ _
[Em] _ Vite, tu me donnes la vue.
[Am] _ _ Que l'on nous [Em] disparue.
_ Aux armes [Am] sains, unis à la vie et à la mort, ensemble on grille [Em] les proches, pleurent.
Loin des chieux, on reste près du [Am] coeur, tous bourrés.
On remémore le bon comme le [Em] mauvais.
Voir un ami [Am] pleurer.
Y'a le bon et le mauvais, les malheurs se suivent.
[Em] Dans la rue, des hommes veulent se sauver, s'assortir dans ce monde [Am] pour pas crever.
Se lire à la vie, à la mort, [Em] pouvoir grandir plus fort, mais nul sait ce qui se passe [Am] dehors.
La proche est proche, le soir on nous prend un proche, putain c'est moche.
[Em] Que peux-tu faire, notre couleur de peau cloche, les journées s [Am]'enchaînent, les gringoles ne s'apparentent.
Quand même faudrait que les gens s [Em]'occupent un peu de leurs problèmes.
Il est loin nos yeux, loin [Am] nos coeurs parfois défoncés.
Votre mémoire, le passé, [Em] qu'est-ce qui s'est vraiment passé ce matin ?
Où tu nous as laissés à [Am] coche de chêne mal graissé ?
J'place une pensée pour mon [Em] frère offensé, délesté par des magistrats de PD.
[Am] Dans une ville où règne le fond de la haine, j'place une [Em] dédicace pour mon frère Blas, dans mon coeur.
[A] Chaque jour que Dieu fait, je pense à mon pote loin de moi.
Y'a que dans le [Gm] coeur ou dans les rêves que je peux le serrer dans mes bras.
Garde la foi frérot, [Am] je sais que tu as la force en [Em] toi.
Ta deuxième femme, il t'oublie pas.
[Am] Le son tourne bien, le sang des miens [Em] coule.
La chance sur eux même de nos jours restait cool.
[Am] Pas possible qu'où je tue, tu le sais.
Nos [Em] frères tombent, frères dans les tombes.
Ville reste leur [Am] nom.
Loin des yeux, pourtant dans les lettres, j [Em]'entends sa voix.
Des larmes tombent, c'est mon choix de rester [Am] proche, même séparé.
Je trahis mes potes, non ça se verrait.
[Em] J'aimerais être près de lui pour qu'il voit l'ami pleurer.
[Am] Les absinthes manquent un maximum.
Quand on y [Em] pense, la vie elle continue, mais quand même.
Juste pour les souvenirs [Am] d'enfance, dure d'oublier.
Je suis formel.
[Em] Les morts naturelles c'est fini, toujours histoire criminelle.
[Am] A cause des minettes pleines de rimelles, tu peux manger la [Em] gamelle.
Les gamins, on gamme les mêmes des jumelles.
[Am] Les temps changent, le bordel augmente.
Le mal [Em] règne entre les mères et les familles présentes sur [Am] cette terre.
Des frères disparaissent jeunes.
Le deuil [Em] tourne dans les quartiers, elles ont peur.
En pleurer pas [Am] seul, le mal leur prend l'ampleur.
Le bonheur fou le camp.
[Em] Franchement mon, on fait partie du même [A] camp.
Unis à la vie et à la mort, ensemble on rit, [Em] les proches pleurent.
Loin des yeux, on reste [Am] près du cœur, tous bourrés.
On remémore le bon comme le [Em] mauvais.
Voir un ami pleurer.
[Am] Au sein des sanctuaires, jeunes et pauvres, on se considère en tant [Em] que frères.
Unis à la vie et à la mort, fiers et solidaires [Am] devant nos galères.
Injustice, favure de la police, [Em] poste de jadis.
De vieux jaloux qui te maudissent.
Avec [Am] le temps, t'apprends à protéger tes amis.
[Em] En cas de haïtia tu sautes, quitte à risquer ta vie.
[Am] Tout n'est pas rose, tout n'est pas triste.
Non plus dans les rues on [Em] passe des rires au sangle quand on a trop bu.
Une fois [Am] de plus, dépense à outrance.
Je pense aux actes sans [Em] impatience.
Les revoirs ont gardent l'espoir.
Il faut y croire [Am] frère.
Ce qui ne te détruit pas tant que tu reçois.
Prouve [Em]-nous le.
Je serai parmi les plus heureux et sûr.
Je [Am] poursuis pour celui avec qui j'en ai traversé.
Quand [Em] mes versets lui sont adressés, je me revois au lit, c'est [Am] décompressé.
Tandis que les autres étaient en cours.
Loin de [Em] mes yeux, tu restes près de mon cœur pour toujours.
Chaque jour que [A] Dieu fait, je pense à mon père loin de moi.
[Em] Y'a que dans le cœur ou dans les rêves que je peux le serrer dans mes bras.
[Am] Garde la foi frérot.
Je sais que tu as la force en toi.
[Em] Ta deuxième famille t'oublie pas.
[Am] Tant de vies, j'agendais les bilans.
Mon [Em] esprit frôle, parti, absence.
Dieu ressentit.
Trop de [Am] gens manquent à l'appel.
Les jours de fête.
Attente sans [Em] fin.
Les larmes pénètrent.
Ils changent bien des [Eb] têtes.
Aux [Bb] disparus, [Cm] pour nous leur faim n'est pas heureuse.
Auprès des corps, les cris, [D] les pleurs.
Paroles bieuses.
Garde la foi.
[Bbm] [Eb] Seul reste le souvenir chaque soir.
Un chien [D] d'honneur pour qu'ils vivent dans nos [Am] mémoires. _ _
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