Chords for Shurik'n - Sûr de rien (Audio officiel)
Tempo:
93.3 bpm
Chords used:
Gm
F
Dm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Gm] [F]
[Gm] [Dm] [Gm]
Il n'y a pas de soucis, on est sûr de rien ici, les bligues [F] aident les mecs à chaque
coin de rue, à l'affût, prêts à bondir sur l [Gm]'individu.
Un mec s'endort sur le trottoir, [Dm] des mots résonnent dans sa mémoire, fin froid, besoin
d'espoir, mais c'est [Gm] trop tard, les gens ne sortent plus le soir.
[F] Trop peur qu'un jeune loup les frappe dans le noir, lors ils vivent dans une [Gm] isoloir abîmée.
La télé, y'a pas [Dm] de temps à gaspiller, à saluer le voisin de palier, [Gm] après ça va critiquer.
Ils parlent de délinquance, [F] je parle de pauvres mecs perdus, pour qui il est toute chose,
l'opulence, l [Gm]'essence, un tuyau, une bonne cage d'or si [Dm] quelques litres, on joue à
l'homme qui tombe à pique [Gm] pour briser le cycle.
Les cascades sont pas doublées, les dérapages [F] incontrôlés, toujours dépassés, les fautes
passées, les ressassées, c'est insensé, [Gm] mais c'est le seul moyen d'exister, une
ligne [Dm] intracée, qui dit que tu vis, on sait jamais, t'es sûr de rien ici.
T'es sûr de rien [Gm] là où je vis, ce que nous vivons [F] c'est pas une vie, ici ou ailleurs,
y'a pas de saison, la guine suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible sous [Dm] le néant, pour
pas finir marrant combien je voulais nuisible.
T'es sûr de rien [Gm] là où je vis, ce que nous vivons [F] c'est pas une vie, ici ou ailleurs,
y'a pas de saison, la guine suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible sous [Dm] le néant, pour
pas finir marrant combien je voulais [Gm] nuisible.
Certains trouvent, certains cherchent, [F] ceux-là chercheront toujours, si personne ne leur tend
la perche, c'est [Gm] perdu d'avant, on persévère avec un père [Dm] sévère, on s'en sort parfois
sinon les [Gm] chimères hantent les esprits, quand ils sont clairs c'est la guerre, dans les
maisons rien ne va [F] plus, mais y'a que là qu'on se sent contré, le mai a jamais eu
malgré les [Gm] méfaits, heureux on se marque pour faire assurer, [Dm] une mère c'est une mère
tu sais, [Gm] et c'est tant mieux, la spiritualité manque, le vital pèse, avoir [F] un toit, un
chez soi, l'abstraction du moi c'est dur, à la fin du mois l [Gm]'exemple est partout, du
coup on met tous les [Dm] atouts, et malgré ça pas moyen de mettre [Gm] la poisse à genoux, laisser
la trace d'un passage éphémère, dire qu [F]'on a vécu ne pas finir comme une chanson qui
meurt parce qu'on la chante plus, [Gm] c'est le graal que chacun poursuit, sans [Dm] répit, souvent
pendant plus d'une vie, mais bon [Gm] t'es sûr de rien ici.
T'es sûr de rien là où je vis, ce que nous vivons c'est [F] pas une vie, ici ou ailleurs,
y'a pas de saison, la guigne suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible sous [Dm] le néant, pour
pas finir marrant comme un joulet nuisible, t'es sûr de rien [Gm] là où je vis, ce que nous
vivons [F] c'est pas une vie, ici ou ailleurs, y'a pas de saison, la guigne [Gm] suit nos talents,
rien n'est prévisible [Dm] sous le néant, pour pas finir marrant comme un joulet nuisible.
L [Gm]'incertitude déballe son inquiétude, son mot [F] de solitude, la paranoïa dans toute
son plénitude, bientôt Iqbal veillira [Gm] d'un jour, aussi sûrement que les doigts [Dm] d'une
âme doivent s'arrêter de briller, au plein [Gm] milieu d'un passage tout est accepté, ça
fait pousser les mecs à risquer [F] le tout pour le coup, à rendre coup pour coup, au
sonne ne peut pousser le génie [Gm] confiance de l'amour, le sourire s [Dm]'égare tout le
coeur, le manque de je t'aime [Gm] donne la rage au coeur, en sueur, voyant la fin les pleurs
devant un [F] faible pourcentage de bonheur, les gosses deviennent des terror-dealer, on
[Gm] peut pas dire ce qu'on a jamais entendu, [Dm] alors on grandit seul, on vieillit seul, on
meurt seul, tout ça sans avoir [Gm] vécu, planté devant le miroir, [F] le temps qui passe laisse
des marques sur le visage, vite faut laisser la trace d'un [Gm] passage, quelqu'un verra un
nom gravé [Dm] sur un banc public, à moins que tout ne soit qu'un [Gm] rêve, t'es sûr de rien
ici ?
T'es sûr de rien là où je vis, ce que nous vivons c [F]'est pas une ville, ici
ou ailleurs, y'a pas de saison, la guerre suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible
sous [Dm] les néants, pour pas finir marrant, [Gm] combien je voulais nuisible.
[F]
[Gm]
[Gm] [Dm] [Gm]
Il n'y a pas de soucis, on est sûr de rien ici, les bligues [F] aident les mecs à chaque
coin de rue, à l'affût, prêts à bondir sur l [Gm]'individu.
Un mec s'endort sur le trottoir, [Dm] des mots résonnent dans sa mémoire, fin froid, besoin
d'espoir, mais c'est [Gm] trop tard, les gens ne sortent plus le soir.
[F] Trop peur qu'un jeune loup les frappe dans le noir, lors ils vivent dans une [Gm] isoloir abîmée.
La télé, y'a pas [Dm] de temps à gaspiller, à saluer le voisin de palier, [Gm] après ça va critiquer.
Ils parlent de délinquance, [F] je parle de pauvres mecs perdus, pour qui il est toute chose,
l'opulence, l [Gm]'essence, un tuyau, une bonne cage d'or si [Dm] quelques litres, on joue à
l'homme qui tombe à pique [Gm] pour briser le cycle.
Les cascades sont pas doublées, les dérapages [F] incontrôlés, toujours dépassés, les fautes
passées, les ressassées, c'est insensé, [Gm] mais c'est le seul moyen d'exister, une
ligne [Dm] intracée, qui dit que tu vis, on sait jamais, t'es sûr de rien ici.
T'es sûr de rien [Gm] là où je vis, ce que nous vivons [F] c'est pas une vie, ici ou ailleurs,
y'a pas de saison, la guine suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible sous [Dm] le néant, pour
pas finir marrant combien je voulais nuisible.
T'es sûr de rien [Gm] là où je vis, ce que nous vivons [F] c'est pas une vie, ici ou ailleurs,
y'a pas de saison, la guine suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible sous [Dm] le néant, pour
pas finir marrant combien je voulais [Gm] nuisible.
Certains trouvent, certains cherchent, [F] ceux-là chercheront toujours, si personne ne leur tend
la perche, c'est [Gm] perdu d'avant, on persévère avec un père [Dm] sévère, on s'en sort parfois
sinon les [Gm] chimères hantent les esprits, quand ils sont clairs c'est la guerre, dans les
maisons rien ne va [F] plus, mais y'a que là qu'on se sent contré, le mai a jamais eu
malgré les [Gm] méfaits, heureux on se marque pour faire assurer, [Dm] une mère c'est une mère
tu sais, [Gm] et c'est tant mieux, la spiritualité manque, le vital pèse, avoir [F] un toit, un
chez soi, l'abstraction du moi c'est dur, à la fin du mois l [Gm]'exemple est partout, du
coup on met tous les [Dm] atouts, et malgré ça pas moyen de mettre [Gm] la poisse à genoux, laisser
la trace d'un passage éphémère, dire qu [F]'on a vécu ne pas finir comme une chanson qui
meurt parce qu'on la chante plus, [Gm] c'est le graal que chacun poursuit, sans [Dm] répit, souvent
pendant plus d'une vie, mais bon [Gm] t'es sûr de rien ici.
T'es sûr de rien là où je vis, ce que nous vivons c'est [F] pas une vie, ici ou ailleurs,
y'a pas de saison, la guigne suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible sous [Dm] le néant, pour
pas finir marrant comme un joulet nuisible, t'es sûr de rien [Gm] là où je vis, ce que nous
vivons [F] c'est pas une vie, ici ou ailleurs, y'a pas de saison, la guigne [Gm] suit nos talents,
rien n'est prévisible [Dm] sous le néant, pour pas finir marrant comme un joulet nuisible.
L [Gm]'incertitude déballe son inquiétude, son mot [F] de solitude, la paranoïa dans toute
son plénitude, bientôt Iqbal veillira [Gm] d'un jour, aussi sûrement que les doigts [Dm] d'une
âme doivent s'arrêter de briller, au plein [Gm] milieu d'un passage tout est accepté, ça
fait pousser les mecs à risquer [F] le tout pour le coup, à rendre coup pour coup, au
sonne ne peut pousser le génie [Gm] confiance de l'amour, le sourire s [Dm]'égare tout le
coeur, le manque de je t'aime [Gm] donne la rage au coeur, en sueur, voyant la fin les pleurs
devant un [F] faible pourcentage de bonheur, les gosses deviennent des terror-dealer, on
[Gm] peut pas dire ce qu'on a jamais entendu, [Dm] alors on grandit seul, on vieillit seul, on
meurt seul, tout ça sans avoir [Gm] vécu, planté devant le miroir, [F] le temps qui passe laisse
des marques sur le visage, vite faut laisser la trace d'un [Gm] passage, quelqu'un verra un
nom gravé [Dm] sur un banc public, à moins que tout ne soit qu'un [Gm] rêve, t'es sûr de rien
ici ?
T'es sûr de rien là où je vis, ce que nous vivons c [F]'est pas une ville, ici
ou ailleurs, y'a pas de saison, la guerre suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible
sous [Dm] les néants, pour pas finir marrant, [Gm] combien je voulais nuisible.
[F]
[Gm]
Key:
Gm
F
Dm
Gm
F
Dm
Gm
F
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[Gm] _ _ _ [Dm] _ _ _ _ [Gm]
Il n'y a pas de soucis, on est sûr de rien ici, les bligues [F] aident les mecs à chaque
coin de rue, à l'affût, prêts à bondir sur l [Gm]'individu.
Un mec s'endort sur le trottoir, [Dm] des mots résonnent dans sa mémoire, fin froid, besoin
d'espoir, mais c'est [Gm] trop tard, les gens ne sortent plus le soir.
[F] Trop peur qu'un jeune loup les frappe dans le noir, lors ils vivent dans une [Gm] isoloir abîmée.
La télé, y'a pas [Dm] de temps à gaspiller, à saluer le voisin de palier, [Gm] après ça va critiquer.
Ils parlent de délinquance, [F] je parle de pauvres mecs perdus, pour qui il est toute chose,
l'opulence, l [Gm]'essence, un tuyau, une bonne cage d'or si [Dm] quelques litres, on joue à
l'homme qui tombe à pique [Gm] pour briser le cycle.
Les cascades sont pas doublées, les dérapages [F] incontrôlés, toujours dépassés, les fautes
passées, les ressassées, c'est insensé, [Gm] mais c'est le seul moyen d'exister, une
ligne [Dm] intracée, qui dit que tu vis, on sait jamais, t'es sûr de rien ici.
T'es sûr de rien [Gm] là où je vis, ce que nous vivons [F] c'est pas une vie, ici ou ailleurs,
y'a pas de saison, la guine suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible sous [Dm] le néant, pour
pas finir marrant combien je voulais nuisible.
T'es sûr de rien [Gm] là où je vis, ce que nous vivons [F] c'est pas une vie, ici ou ailleurs,
y'a pas de saison, la guine suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible sous [Dm] le néant, pour
pas finir marrant combien je voulais [Gm] nuisible.
Certains trouvent, certains cherchent, [F] ceux-là chercheront toujours, si personne ne leur tend
la perche, c'est [Gm] perdu d'avant, on persévère avec un père [Dm] sévère, on s'en sort parfois
sinon les [Gm] chimères hantent les esprits, quand ils sont clairs c'est la guerre, dans les
maisons rien ne va [F] plus, mais y'a que là qu'on se sent contré, le mai a jamais eu
malgré les [Gm] méfaits, heureux on se marque pour faire assurer, [Dm] une mère c'est une mère
tu sais, [Gm] et c'est tant mieux, la spiritualité manque, le vital pèse, avoir [F] un toit, un
chez soi, l'abstraction du moi c'est dur, à la fin du mois l [Gm]'exemple est partout, du
coup on met tous les [Dm] atouts, et malgré ça pas moyen de mettre [Gm] la poisse à genoux, laisser
la trace d'un passage éphémère, dire qu [F]'on a vécu ne pas finir comme une chanson qui
meurt parce qu'on la chante plus, [Gm] c'est le graal que chacun poursuit, sans [Dm] répit, souvent
pendant plus d'une vie, mais bon [Gm] t'es sûr de rien ici.
T'es sûr de rien là où je vis, ce que nous vivons c'est [F] pas une vie, ici ou ailleurs,
y'a pas de saison, la guigne suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible sous [Dm] le néant, pour
pas finir marrant comme un joulet nuisible, t'es sûr de rien [Gm] là où je vis, ce que nous
vivons [F] c'est pas une vie, ici ou ailleurs, y'a pas de saison, la guigne [Gm] suit nos talents,
rien n'est prévisible [Dm] sous le néant, pour pas finir marrant comme un joulet nuisible.
L [Gm]'incertitude déballe son inquiétude, son mot [F] de solitude, la paranoïa dans toute
son plénitude, bientôt Iqbal veillira [Gm] d'un jour, aussi sûrement que les doigts [Dm] d'une
âme doivent s'arrêter de briller, au plein [Gm] milieu d'un passage tout est accepté, ça
fait pousser les mecs à risquer [F] le tout pour le coup, à rendre coup pour coup, au
sonne ne peut pousser le génie [Gm] confiance de l'amour, le sourire s [Dm]'égare tout le
coeur, le manque de je t'aime [Gm] donne la rage au coeur, en sueur, voyant la fin les pleurs
devant un [F] faible pourcentage de bonheur, les gosses deviennent des terror-dealer, on
[Gm] peut pas dire ce qu'on a jamais entendu, [Dm] alors on grandit seul, on vieillit seul, on
meurt seul, tout ça sans avoir [Gm] vécu, planté devant le miroir, [F] le temps qui passe laisse
des marques sur le visage, vite faut laisser la trace d'un [Gm] passage, quelqu'un verra un
nom gravé [Dm] sur un banc public, à moins que tout ne soit qu'un [Gm] rêve, t'es sûr de rien
ici ?
T'es sûr de rien là où je vis, ce que nous vivons c [F]'est pas une ville, ici
ou ailleurs, y'a pas de saison, la guerre suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible
sous [Dm] les néants, pour pas finir marrant, [Gm] combien je voulais nuisible.
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Il n'y a pas de soucis, on est sûr de rien ici, les bligues [F] aident les mecs à chaque
coin de rue, à l'affût, prêts à bondir sur l [Gm]'individu.
Un mec s'endort sur le trottoir, [Dm] des mots résonnent dans sa mémoire, fin froid, besoin
d'espoir, mais c'est [Gm] trop tard, les gens ne sortent plus le soir.
[F] Trop peur qu'un jeune loup les frappe dans le noir, lors ils vivent dans une [Gm] isoloir abîmée.
La télé, y'a pas [Dm] de temps à gaspiller, à saluer le voisin de palier, [Gm] après ça va critiquer.
Ils parlent de délinquance, [F] je parle de pauvres mecs perdus, pour qui il est toute chose,
l'opulence, l [Gm]'essence, un tuyau, une bonne cage d'or si [Dm] quelques litres, on joue à
l'homme qui tombe à pique [Gm] pour briser le cycle.
Les cascades sont pas doublées, les dérapages [F] incontrôlés, toujours dépassés, les fautes
passées, les ressassées, c'est insensé, [Gm] mais c'est le seul moyen d'exister, une
ligne [Dm] intracée, qui dit que tu vis, on sait jamais, t'es sûr de rien ici.
T'es sûr de rien [Gm] là où je vis, ce que nous vivons [F] c'est pas une vie, ici ou ailleurs,
y'a pas de saison, la guine suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible sous [Dm] le néant, pour
pas finir marrant combien je voulais nuisible.
T'es sûr de rien [Gm] là où je vis, ce que nous vivons [F] c'est pas une vie, ici ou ailleurs,
y'a pas de saison, la guine suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible sous [Dm] le néant, pour
pas finir marrant combien je voulais [Gm] nuisible.
Certains trouvent, certains cherchent, [F] ceux-là chercheront toujours, si personne ne leur tend
la perche, c'est [Gm] perdu d'avant, on persévère avec un père [Dm] sévère, on s'en sort parfois
sinon les [Gm] chimères hantent les esprits, quand ils sont clairs c'est la guerre, dans les
maisons rien ne va [F] plus, mais y'a que là qu'on se sent contré, le mai a jamais eu
malgré les [Gm] méfaits, heureux on se marque pour faire assurer, [Dm] une mère c'est une mère
tu sais, [Gm] et c'est tant mieux, la spiritualité manque, le vital pèse, avoir [F] un toit, un
chez soi, l'abstraction du moi c'est dur, à la fin du mois l [Gm]'exemple est partout, du
coup on met tous les [Dm] atouts, et malgré ça pas moyen de mettre [Gm] la poisse à genoux, laisser
la trace d'un passage éphémère, dire qu [F]'on a vécu ne pas finir comme une chanson qui
meurt parce qu'on la chante plus, [Gm] c'est le graal que chacun poursuit, sans [Dm] répit, souvent
pendant plus d'une vie, mais bon [Gm] t'es sûr de rien ici.
T'es sûr de rien là où je vis, ce que nous vivons c'est [F] pas une vie, ici ou ailleurs,
y'a pas de saison, la guigne suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible sous [Dm] le néant, pour
pas finir marrant comme un joulet nuisible, t'es sûr de rien [Gm] là où je vis, ce que nous
vivons [F] c'est pas une vie, ici ou ailleurs, y'a pas de saison, la guigne [Gm] suit nos talents,
rien n'est prévisible [Dm] sous le néant, pour pas finir marrant comme un joulet nuisible.
L [Gm]'incertitude déballe son inquiétude, son mot [F] de solitude, la paranoïa dans toute
son plénitude, bientôt Iqbal veillira [Gm] d'un jour, aussi sûrement que les doigts [Dm] d'une
âme doivent s'arrêter de briller, au plein [Gm] milieu d'un passage tout est accepté, ça
fait pousser les mecs à risquer [F] le tout pour le coup, à rendre coup pour coup, au
sonne ne peut pousser le génie [Gm] confiance de l'amour, le sourire s [Dm]'égare tout le
coeur, le manque de je t'aime [Gm] donne la rage au coeur, en sueur, voyant la fin les pleurs
devant un [F] faible pourcentage de bonheur, les gosses deviennent des terror-dealer, on
[Gm] peut pas dire ce qu'on a jamais entendu, [Dm] alors on grandit seul, on vieillit seul, on
meurt seul, tout ça sans avoir [Gm] vécu, planté devant le miroir, [F] le temps qui passe laisse
des marques sur le visage, vite faut laisser la trace d'un [Gm] passage, quelqu'un verra un
nom gravé [Dm] sur un banc public, à moins que tout ne soit qu'un [Gm] rêve, t'es sûr de rien
ici ?
T'es sûr de rien là où je vis, ce que nous vivons c [F]'est pas une ville, ici
ou ailleurs, y'a pas de saison, la guerre suit [Gm] nos talents, rien n'est prévisible
sous [Dm] les néants, pour pas finir marrant, [Gm] combien je voulais nuisible.
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