Chords for EUPHONIK - LE GOÛT DU NÉANT (CLIP) (Prod. Euphonik)
Tempo:
87.7 bpm
Chords used:
G
Bm
D
Em
C#
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Bm] Comment [G] vous le décrire ?
Je ne sais [Bm] même plus parler.
[G] Je suis en [Bm] deuil.
Je [G] pleure.
J'ai peur.
[Bm] Un peu [C#] de fraîcheur.
[Bm] Seigneur, si vous voulez, [G] si vous voulez bien,
[Bm] [G] la vraie vie est absente.
[Bm]
Nous ne [G] sommes pas au monde.
Le [Bm] démon, [C#] c'est un démon, vous savez, [Bm] ce n'est pas un homme.
[G] Il dit, [Bm] [G] je n'aime pas les femmes.
[Bm]
L'amour [G] est à réinventer.
Je suis de race lointaine.
Dites-moi, me fûche-tu ?
Je pleure comme je pleure.
Et je crois que je me fûche un peu plus à chaque fois.
Combien de fois me fûche-tu ?
Quand j'aurais du casser des gueules,
on est [D] assez pour s'enlacer, [Em] pour s'en souper,
pour être [D#m] seul, l [G]'impression d'étouffer,
comme on reste illicite.
Vois chaque bouge souffler comme une tentative de [Bm] suicide.
C'est toujours les mêmes [Em] môles, les mêmes pédures [D] infimes.
L'impression de tourner un [Em] film, tellement on joue des [Bm] rôles.
Chaque fois mieux qu'une [G] percepone,
chaque homme un sage bourré,
comme l'art qui perd ses feuilles.
Plus je me sens seul, même en tuer,
plus rien n'éclaire nos routes,
ni savoir, ni prière.
La certitude est une lumière continue.
Tu sais, plus je me regarde, plus je me [Bm] déteste.
Plus je connais les [G] hommes, plus je aime apprendre respect.
[Bm] J'ai essayé d'être [G] moi, à l'heure où le faux [Bm]-fime
à l'ombre d'un sacroi, [C#] avant ma silhouette au noir d [Bm]'éprime.
J'ai le goût du néant, [G] je me late.
[Bm] [G] Imagine un trou puant.
[Bm]
Fermer les yeux, [G] fuir l'amour, rester nonsens.
[Bm] [G] J'ai le goût du néant, je me late.
Un bonheur à la place de mon cœur.
Imagine un trou puant.
[A#] Je préfère fermer les yeux, [G] fuir l'amour, rester [D] nonsens.
Et faire partie de ceux [G] qui meurent chaque jour en [Bm] silence.
A l'heure où ça déblatère, [G] sois sûr que la lutte est longue.
Un rappeur sincère, c'est rare comme une pute à son tronc.
Je fais le mort quand ça m'arrange de vous aimer.
Moi j'en rêvais, mais les amis, les vrais,
je les compte encore sur mes palanges.
On meurt tous de solitude, et sois sûr que je le sentirais.
Nos cœurs ont pris l'habitude de ne plus rien ressentir.
Comment vivre de la sorte ?
Le mal-être nous ronge, de [Bm] vous porter, c'est à la mode.
[Em] Alors je m'interroge, [G#] on sourit à [G] nos névroses.
Un autre pot s'assiétait, vivre dans cette société.
C'est mourir à hausse, on se remplit de vide.
[G] Gloire à l'obli banalisé, [Bm] et si tout est mécanisé.
[Em] Puis chacun son guide, [D#] fondu et [G] croyant stupide.
Ravement, on fait les prix, [Bm] alors plutôt vivre raté.
Que de râler ma vie, de la tristesse à expier.
[G] Une dépression artérielle, [D] aucune richesse entière.
[C#] Dans leur prison matérielle, [Bm] j'ai le goût du néant.
Je [G] me [Bm] [G] [D] [Bm]
[G] [Bm] [G] lâche, j'ai le goût du néant.
Et je me lâte dans le bonheur, à la place de mon cœur.
Imagine un groupe B1, je préfère fermer les yeux,
Fuir l'amour et les contentes, [D] et faire partie [G] de ceux qui meurent chaque jour.
Je ne sais [Bm] même plus parler.
[G] Je suis en [Bm] deuil.
Je [G] pleure.
J'ai peur.
[Bm] Un peu [C#] de fraîcheur.
[Bm] Seigneur, si vous voulez, [G] si vous voulez bien,
[Bm] [G] la vraie vie est absente.
[Bm]
Nous ne [G] sommes pas au monde.
Le [Bm] démon, [C#] c'est un démon, vous savez, [Bm] ce n'est pas un homme.
[G] Il dit, [Bm] [G] je n'aime pas les femmes.
[Bm]
L'amour [G] est à réinventer.
Je suis de race lointaine.
Dites-moi, me fûche-tu ?
Je pleure comme je pleure.
Et je crois que je me fûche un peu plus à chaque fois.
Combien de fois me fûche-tu ?
Quand j'aurais du casser des gueules,
on est [D] assez pour s'enlacer, [Em] pour s'en souper,
pour être [D#m] seul, l [G]'impression d'étouffer,
comme on reste illicite.
Vois chaque bouge souffler comme une tentative de [Bm] suicide.
C'est toujours les mêmes [Em] môles, les mêmes pédures [D] infimes.
L'impression de tourner un [Em] film, tellement on joue des [Bm] rôles.
Chaque fois mieux qu'une [G] percepone,
chaque homme un sage bourré,
comme l'art qui perd ses feuilles.
Plus je me sens seul, même en tuer,
plus rien n'éclaire nos routes,
ni savoir, ni prière.
La certitude est une lumière continue.
Tu sais, plus je me regarde, plus je me [Bm] déteste.
Plus je connais les [G] hommes, plus je aime apprendre respect.
[Bm] J'ai essayé d'être [G] moi, à l'heure où le faux [Bm]-fime
à l'ombre d'un sacroi, [C#] avant ma silhouette au noir d [Bm]'éprime.
J'ai le goût du néant, [G] je me late.
[Bm] [G] Imagine un trou puant.
[Bm]
Fermer les yeux, [G] fuir l'amour, rester nonsens.
[Bm] [G] J'ai le goût du néant, je me late.
Un bonheur à la place de mon cœur.
Imagine un trou puant.
[A#] Je préfère fermer les yeux, [G] fuir l'amour, rester [D] nonsens.
Et faire partie de ceux [G] qui meurent chaque jour en [Bm] silence.
A l'heure où ça déblatère, [G] sois sûr que la lutte est longue.
Un rappeur sincère, c'est rare comme une pute à son tronc.
Je fais le mort quand ça m'arrange de vous aimer.
Moi j'en rêvais, mais les amis, les vrais,
je les compte encore sur mes palanges.
On meurt tous de solitude, et sois sûr que je le sentirais.
Nos cœurs ont pris l'habitude de ne plus rien ressentir.
Comment vivre de la sorte ?
Le mal-être nous ronge, de [Bm] vous porter, c'est à la mode.
[Em] Alors je m'interroge, [G#] on sourit à [G] nos névroses.
Un autre pot s'assiétait, vivre dans cette société.
C'est mourir à hausse, on se remplit de vide.
[G] Gloire à l'obli banalisé, [Bm] et si tout est mécanisé.
[Em] Puis chacun son guide, [D#] fondu et [G] croyant stupide.
Ravement, on fait les prix, [Bm] alors plutôt vivre raté.
Que de râler ma vie, de la tristesse à expier.
[G] Une dépression artérielle, [D] aucune richesse entière.
[C#] Dans leur prison matérielle, [Bm] j'ai le goût du néant.
Je [G] me [Bm] [G] [D] [Bm]
[G] [Bm] [G] lâche, j'ai le goût du néant.
Et je me lâte dans le bonheur, à la place de mon cœur.
Imagine un groupe B1, je préfère fermer les yeux,
Fuir l'amour et les contentes, [D] et faire partie [G] de ceux qui meurent chaque jour.
Key:
G
Bm
D
Em
C#
G
Bm
D
[Bm] Comment [G] vous le décrire ?
Je ne sais [Bm] même plus parler.
[G] Je suis en [Bm] deuil.
Je [G] pleure.
J'ai peur.
[Bm] Un peu [C#] de fraîcheur.
[Bm] Seigneur, si vous voulez, [G] si vous voulez bien,
[Bm] [G] la vraie vie est absente.
[Bm]
Nous ne [G] sommes pas au monde.
Le [Bm] démon, [C#] c'est un démon, vous savez, [Bm] ce n'est pas un homme.
[G] Il dit, _ [Bm] [G] je n'aime pas les femmes.
[Bm]
L'amour [G] est à réinventer.
_ Je suis de race lointaine.
Dites-moi, me fûche-tu ?
Je pleure comme je pleure.
Et je crois que je me fûche un peu plus à chaque fois.
Combien de fois me fûche-tu ?
Quand j'aurais du casser des gueules,
on est [D] assez pour s'enlacer, [Em] pour s'en souper,
pour être [D#m] seul, l [G]'impression d'étouffer,
comme on reste illicite.
Vois chaque bouge souffler comme une tentative de [Bm] suicide.
C'est toujours les mêmes [Em] môles, les mêmes pédures [D] infimes.
L'impression de tourner un [Em] film, tellement on joue des [Bm] rôles.
Chaque fois mieux qu'une [G] percepone,
chaque homme un sage bourré,
comme l'art qui perd ses feuilles.
Plus je me sens seul, même en tuer,
plus rien n'éclaire nos routes,
ni savoir, ni prière.
La certitude est une lumière continue.
Tu sais, plus je me regarde, plus je me [Bm] déteste.
Plus je connais les [G] hommes, plus je aime apprendre respect.
[Bm] J'ai essayé d'être [G] moi, à l'heure où le faux [Bm]-fime
à l'ombre d'un sacroi, [C#] avant ma silhouette au noir d [Bm]'éprime.
J'ai le goût du néant, [G] je me late.
[Bm] _ [G] Imagine un trou puant.
[Bm]
Fermer les yeux, [G] fuir l'amour, rester nonsens.
[Bm] _ _ [G] _ J'ai le goût du néant, je me late.
Un bonheur à la place de mon cœur.
Imagine un trou puant.
[A#] Je préfère fermer les yeux, [G] fuir l'amour, rester [D] nonsens.
Et faire partie de ceux [G] qui meurent chaque jour en [Bm] silence.
A l'heure où ça déblatère, [G] sois sûr que la lutte est longue.
Un rappeur sincère, c'est rare comme une pute à son tronc.
Je fais le mort quand ça m'arrange de vous aimer.
Moi j'en rêvais, mais les amis, les vrais,
je les compte encore sur mes palanges.
On meurt tous de solitude, et sois sûr que je le sentirais.
Nos cœurs ont pris l'habitude de ne plus rien ressentir.
Comment vivre de la sorte ?
Le mal-être nous ronge, de [Bm] vous porter, c'est à la mode.
[Em] Alors je m'interroge, [G#] on sourit à [G] nos névroses.
Un autre pot s'assiétait, vivre dans cette société.
C'est mourir à hausse, on se remplit de vide.
[G] Gloire à l'obli banalisé, [Bm] et si tout est mécanisé.
[Em] Puis chacun son guide, [D#] fondu et [G] croyant stupide.
Ravement, on fait les prix, [Bm] alors plutôt vivre raté.
Que de râler ma vie, de la tristesse à expier.
[G] Une dépression artérielle, [D] aucune richesse entière.
[C#] Dans leur prison matérielle, [Bm] j'ai le goût du néant.
Je [G] me _ [Bm] _ _ [G] _ [D] _ [Bm] _
_ [G] _ _ [Bm] _ _ [G] _ lâche, j'ai le goût du néant.
Et je me lâte dans le bonheur, à la place de mon cœur.
Imagine un groupe B1, je préfère fermer les yeux,
Fuir l'amour et les contentes, [D] et faire partie [G] de ceux qui meurent chaque jour. _ _
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Je ne sais [Bm] même plus parler.
[G] Je suis en [Bm] deuil.
Je [G] pleure.
J'ai peur.
[Bm] Un peu [C#] de fraîcheur.
[Bm] Seigneur, si vous voulez, [G] si vous voulez bien,
[Bm] [G] la vraie vie est absente.
[Bm]
Nous ne [G] sommes pas au monde.
Le [Bm] démon, [C#] c'est un démon, vous savez, [Bm] ce n'est pas un homme.
[G] Il dit, _ [Bm] [G] je n'aime pas les femmes.
[Bm]
L'amour [G] est à réinventer.
_ Je suis de race lointaine.
Dites-moi, me fûche-tu ?
Je pleure comme je pleure.
Et je crois que je me fûche un peu plus à chaque fois.
Combien de fois me fûche-tu ?
Quand j'aurais du casser des gueules,
on est [D] assez pour s'enlacer, [Em] pour s'en souper,
pour être [D#m] seul, l [G]'impression d'étouffer,
comme on reste illicite.
Vois chaque bouge souffler comme une tentative de [Bm] suicide.
C'est toujours les mêmes [Em] môles, les mêmes pédures [D] infimes.
L'impression de tourner un [Em] film, tellement on joue des [Bm] rôles.
Chaque fois mieux qu'une [G] percepone,
chaque homme un sage bourré,
comme l'art qui perd ses feuilles.
Plus je me sens seul, même en tuer,
plus rien n'éclaire nos routes,
ni savoir, ni prière.
La certitude est une lumière continue.
Tu sais, plus je me regarde, plus je me [Bm] déteste.
Plus je connais les [G] hommes, plus je aime apprendre respect.
[Bm] J'ai essayé d'être [G] moi, à l'heure où le faux [Bm]-fime
à l'ombre d'un sacroi, [C#] avant ma silhouette au noir d [Bm]'éprime.
J'ai le goût du néant, [G] je me late.
[Bm] _ [G] Imagine un trou puant.
[Bm]
Fermer les yeux, [G] fuir l'amour, rester nonsens.
[Bm] _ _ [G] _ J'ai le goût du néant, je me late.
Un bonheur à la place de mon cœur.
Imagine un trou puant.
[A#] Je préfère fermer les yeux, [G] fuir l'amour, rester [D] nonsens.
Et faire partie de ceux [G] qui meurent chaque jour en [Bm] silence.
A l'heure où ça déblatère, [G] sois sûr que la lutte est longue.
Un rappeur sincère, c'est rare comme une pute à son tronc.
Je fais le mort quand ça m'arrange de vous aimer.
Moi j'en rêvais, mais les amis, les vrais,
je les compte encore sur mes palanges.
On meurt tous de solitude, et sois sûr que je le sentirais.
Nos cœurs ont pris l'habitude de ne plus rien ressentir.
Comment vivre de la sorte ?
Le mal-être nous ronge, de [Bm] vous porter, c'est à la mode.
[Em] Alors je m'interroge, [G#] on sourit à [G] nos névroses.
Un autre pot s'assiétait, vivre dans cette société.
C'est mourir à hausse, on se remplit de vide.
[G] Gloire à l'obli banalisé, [Bm] et si tout est mécanisé.
[Em] Puis chacun son guide, [D#] fondu et [G] croyant stupide.
Ravement, on fait les prix, [Bm] alors plutôt vivre raté.
Que de râler ma vie, de la tristesse à expier.
[G] Une dépression artérielle, [D] aucune richesse entière.
[C#] Dans leur prison matérielle, [Bm] j'ai le goût du néant.
Je [G] me _ [Bm] _ _ [G] _ [D] _ [Bm] _
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Et je me lâte dans le bonheur, à la place de mon cœur.
Imagine un groupe B1, je préfère fermer les yeux,
Fuir l'amour et les contentes, [D] et faire partie [G] de ceux qui meurent chaque jour. _ _
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