Chords for Gérard Lenorman - Ne me quittes pas (Jacques Brel)
Tempo:
89.35 bpm
Chords used:
Dm
A
Gm
F
G
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret

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Alors Amaland, on parlait d'un auteur, compositeur, interprète.
Et quelle interprète, quel auteur que vous avez bien connu, mon cher Charles, il s'agit de Jacques Brel.
Et c'est Gérard Lenormand qui a eu envie de reprendre une de ses chansons emblématiques.
Mon cher Gérard, allez-y, rejoignez la scène.
Jacques Brel voulait absolument écrire une chanson en 5 ans.
Il avait les premières notes et les premières paroles, mais ça ne venait pas.
Et c'est en travaillant avec son pianiste Gérard Ronès que le reste vient.
20 même.
C'est une de leurs premières collaborations.
Et ça donne « Ne me quitte pas ».
[A]
[Dm] Ne me quitte pas, il faut tout oublier, tout peut s [Gm]'oublier,
qui s'en fuit déjà, oublier [C] le temps du malentendu et le temps [F] perdu.
À savoir comment oublier [Gm] ces heures qui tuent [A] parfois à coups [Dm] le cœur du bonheur.
Ne me quitte [Gm] pas, ne [A] me quitte pas, [G] ne [Dm] me quitte pas, ne me quitte pas.
Moi, moi je t'offrirai des perles [G] de pluie venues [A] de pays où il ne pleut [Dm] pas.
Je creuserai la terre jusqu'après [G] ma mort pour couvrir [C] ton corps d'or.
[F] Je viendrai où je [A] ferai un [Dm] domaine où l'amour [Cm] sera roi, où l'amour sera [Bb] loi.
Et tu [Dm] seras reine.
Ne me [F] quitte pas, ne me quitte pas, [Gm]
ne me quitte [A] pas, ne me quitte pas, ne me quitte [Dm] pas.
Je t [F]
'inventerai des mots [Gm] insensés que tu comprendras.
Je te [C] parlerai de ces amants-là [Am] qui ont vu [F] deux fois leur cœur s'embraser.
Je te [Gm] raconterai l'histoire de ce [A] roi mort de n'avoir [Dm] pas pu te rencontrer.
Ne me [Gm] quitte pas, ne me [A] quitte pas, ne me quitte [Dm] pas, ne me quitte pas.
On a vu souvent rejaillir [G] le feu de l'ancien [Cm] volcan qu'on [Am] croyait trop [Dm] vieux.
Il est, paraît-il, des terres [G] brûlées, donnant plus [C] de blé qu'un meilleur [F] avril.
Et quand [Dm] vient le soir pour qu'un [Cm] ciel flamboie le rouge et le [Bb] noir, ne s'y pose [Dm]-t-il pas ?
Ne me [F] quitte pas, ne me quitte pas, [Gm]
ne me quitte [A] pas, ne me quitte pas, ne me quitte pas.
Je ne vais plus [Dm] parler,
[Dm] je ne vais [Gm] plus parler.
Je me cacherai là à te [C] regarder danser et sourire [Bb] et à t'écouter [D] [Dm] chanter et puis [F] rire.
Oh, laisse-moi [G] devenir l'ombre,
[Bb] l'ombre, l'ombre [Dm] de ta main, l'ombre [B] de ton chien.
Ne me quitte pas,
[A] ne me quitte pas,
[D] ne me [Dm]
[N]
quitte pas.
Gérard le Normand, ne me quittez pas.
Merci.
Je suis tellement heureuse de vous voir.
Vous voyez ce qu'il y a d'extraordinaire ?
Dites-moi.
Tous ces artistes qui ont un répertoire, qui ont un costume, qui ont un maquillage,
ils viennent et ils se donnent et ils donnent une image différente de la chanson,
différente de leur propre tour de chant.
Et c'est ça qui fait justement la beauté de ce spectacle que nous avons ici.
Sublimin.
Je vous ai vu, je vous ai tous regardés.
Les uns, les autres.
Mimi, vous êtes bouleversée, je le vois.
Je vous en reviens de dire, c'est magnifique.
Je vous sens bouleversée.
C'est ce que disait Charles.
Je trouve magnifique de s'approprier une chanson
parce qu'il ne s'agit pas d'imiter Brel, il est inimitable.
Mais Gérard a fait quelque chose de magnifique.
Il a chanté à la façon Gérard et il nous a collé les frissons à tout le monde.
Je pense parler au monde public.
Hélène, même frisson, même sentiment, même émotion.
Je suis tombée dingue de Brel très jeune, de sa gestuelle, de ses mains.
Il a une façon de faire passer les émotions que personne n'a.
Et c'est très dur de s'attaquer.
Là, c'était une vraie interprétation.
C'est vrai.
Gérard, interprétation magnifique.
On le sent.
Tout le monde est extrêmement ému sur le plateau.
Vous êtes entouré dans toute la France.
C'est vrai qu'on vous a vu chanter « Ne me quitte pas » Brel, puis plus, puis à nouveau.
Cette version est magnifique.
Brel avait dit que « Ne me quitte pas » était un hymne à la lâcheté.
Vous pensez que c'est une chanson d'amour ?
Non, mais en ce qui me concerne, je n'ai pu chanter cette chanson que quand j'ai su à qui l'adresser.
Et à partir de ce moment-là, je ne me sentais pas lâche.
Je me sentais tout simplement désespéré.
Mais en fait, honnêtement, je vous le dis très franchement, j'ai toujours adressé cette chanson publique.
Merci.
Et quelle interprète, quel auteur que vous avez bien connu, mon cher Charles, il s'agit de Jacques Brel.
Et c'est Gérard Lenormand qui a eu envie de reprendre une de ses chansons emblématiques.
Mon cher Gérard, allez-y, rejoignez la scène.
Jacques Brel voulait absolument écrire une chanson en 5 ans.
Il avait les premières notes et les premières paroles, mais ça ne venait pas.
Et c'est en travaillant avec son pianiste Gérard Ronès que le reste vient.
20 même.
C'est une de leurs premières collaborations.
Et ça donne « Ne me quitte pas ».
[A]
[Dm] Ne me quitte pas, il faut tout oublier, tout peut s [Gm]'oublier,
qui s'en fuit déjà, oublier [C] le temps du malentendu et le temps [F] perdu.
À savoir comment oublier [Gm] ces heures qui tuent [A] parfois à coups [Dm] le cœur du bonheur.
Ne me quitte [Gm] pas, ne [A] me quitte pas, [G] ne [Dm] me quitte pas, ne me quitte pas.
Moi, moi je t'offrirai des perles [G] de pluie venues [A] de pays où il ne pleut [Dm] pas.
Je creuserai la terre jusqu'après [G] ma mort pour couvrir [C] ton corps d'or.
[F] Je viendrai où je [A] ferai un [Dm] domaine où l'amour [Cm] sera roi, où l'amour sera [Bb] loi.
Et tu [Dm] seras reine.
Ne me [F] quitte pas, ne me quitte pas, [Gm]
ne me quitte [A] pas, ne me quitte pas, ne me quitte [Dm] pas.
Je t [F]
'inventerai des mots [Gm] insensés que tu comprendras.
Je te [C] parlerai de ces amants-là [Am] qui ont vu [F] deux fois leur cœur s'embraser.
Je te [Gm] raconterai l'histoire de ce [A] roi mort de n'avoir [Dm] pas pu te rencontrer.
Ne me [Gm] quitte pas, ne me [A] quitte pas, ne me quitte [Dm] pas, ne me quitte pas.
On a vu souvent rejaillir [G] le feu de l'ancien [Cm] volcan qu'on [Am] croyait trop [Dm] vieux.
Il est, paraît-il, des terres [G] brûlées, donnant plus [C] de blé qu'un meilleur [F] avril.
Et quand [Dm] vient le soir pour qu'un [Cm] ciel flamboie le rouge et le [Bb] noir, ne s'y pose [Dm]-t-il pas ?
Ne me [F] quitte pas, ne me quitte pas, [Gm]
ne me quitte [A] pas, ne me quitte pas, ne me quitte pas.
Je ne vais plus [Dm] parler,
[Dm] je ne vais [Gm] plus parler.
Je me cacherai là à te [C] regarder danser et sourire [Bb] et à t'écouter [D] [Dm] chanter et puis [F] rire.
Oh, laisse-moi [G] devenir l'ombre,
[Bb] l'ombre, l'ombre [Dm] de ta main, l'ombre [B] de ton chien.
Ne me quitte pas,
[A] ne me quitte pas,
[D] ne me [Dm]
[N]
quitte pas.
Gérard le Normand, ne me quittez pas.
Merci.
Je suis tellement heureuse de vous voir.
Vous voyez ce qu'il y a d'extraordinaire ?
Dites-moi.
Tous ces artistes qui ont un répertoire, qui ont un costume, qui ont un maquillage,
ils viennent et ils se donnent et ils donnent une image différente de la chanson,
différente de leur propre tour de chant.
Et c'est ça qui fait justement la beauté de ce spectacle que nous avons ici.
Sublimin.
Je vous ai vu, je vous ai tous regardés.
Les uns, les autres.
Mimi, vous êtes bouleversée, je le vois.
Je vous en reviens de dire, c'est magnifique.
Je vous sens bouleversée.
C'est ce que disait Charles.
Je trouve magnifique de s'approprier une chanson
parce qu'il ne s'agit pas d'imiter Brel, il est inimitable.
Mais Gérard a fait quelque chose de magnifique.
Il a chanté à la façon Gérard et il nous a collé les frissons à tout le monde.
Je pense parler au monde public.
Hélène, même frisson, même sentiment, même émotion.
Je suis tombée dingue de Brel très jeune, de sa gestuelle, de ses mains.
Il a une façon de faire passer les émotions que personne n'a.
Et c'est très dur de s'attaquer.
Là, c'était une vraie interprétation.
C'est vrai.
Gérard, interprétation magnifique.
On le sent.
Tout le monde est extrêmement ému sur le plateau.
Vous êtes entouré dans toute la France.
C'est vrai qu'on vous a vu chanter « Ne me quitte pas » Brel, puis plus, puis à nouveau.
Cette version est magnifique.
Brel avait dit que « Ne me quitte pas » était un hymne à la lâcheté.
Vous pensez que c'est une chanson d'amour ?
Non, mais en ce qui me concerne, je n'ai pu chanter cette chanson que quand j'ai su à qui l'adresser.
Et à partir de ce moment-là, je ne me sentais pas lâche.
Je me sentais tout simplement désespéré.
Mais en fait, honnêtement, je vous le dis très franchement, j'ai toujours adressé cette chanson publique.
Merci.
Key:
Dm
A
Gm
F
G
Dm
A
Gm
Alors Amaland, on parlait d'un auteur, compositeur, interprète.
Et quelle interprète, quel auteur que vous avez bien connu, mon cher Charles, il s'agit de Jacques Brel.
Et c'est Gérard Lenormand qui a eu envie de reprendre une de ses chansons emblématiques.
Mon cher Gérard, allez-y, rejoignez la scène.
Jacques Brel voulait absolument écrire une chanson en 5 ans.
Il avait les premières notes et les premières paroles, mais ça ne venait pas.
Et c'est en travaillant avec son pianiste Gérard Ronès que le reste vient.
20 même.
C'est une de leurs premières collaborations.
Et ça donne « Ne me quitte pas ». _
_ _ _ _ _ _ _ [A] _
_ _ _ _ _ _ _ _
[Dm] Ne me quitte pas, _ il faut tout oublier, _ _ tout peut s [Gm]'oublier,
qui s'en fuit déjà, _ oublier [C] le temps du malentendu et le temps [F] perdu.
À savoir comment _ oublier [Gm] ces heures qui tuent [A] parfois à coups [Dm] _ _ _ le cœur du bonheur.
_ _ Ne me quitte [Gm] pas, _ ne [A] me quitte pas, _ [G] ne [Dm] me quitte pas, _ ne me quitte pas.
Moi, moi je t'offrirai des perles [G] de pluie venues [A] de pays où il ne pleut [Dm] pas.
Je creuserai la terre jusqu'après [G] ma mort pour couvrir [C] ton corps d'or.
_ [F] Je viendrai où je [A] ferai un [Dm] domaine où l'amour [Cm] sera roi, où l'amour sera [Bb] loi.
Et tu [Dm] seras reine.
_ Ne me [F] quitte pas, _ ne me quitte pas, [Gm] _
ne me quitte [A] pas, ne me quitte pas, _ _ ne me quitte [Dm] pas.
Je t [F] _
'inventerai des mots [Gm] insensés que tu comprendras.
Je te [C] parlerai de ces amants-là [Am] qui ont vu [F] deux fois leur cœur s'embraser.
Je te [Gm] raconterai l'histoire de ce [A] roi mort de n'avoir [Dm] pas pu te rencontrer.
Ne me [Gm] quitte pas, _ _ ne me [A] quitte pas, _ ne me quitte [Dm] pas, _ ne me quitte pas.
_ On a vu souvent _ rejaillir [G] le feu de l'ancien [Cm] volcan qu'on [Am] croyait trop [Dm] vieux.
Il est, paraît-il, des terres [G] brûlées, donnant plus [C] de blé qu'un meilleur [F] avril.
Et quand [Dm] vient le soir pour qu'un [Cm] ciel flamboie le rouge et le [Bb] noir, ne s'y pose [Dm]-t-il pas ?
Ne me [F] quitte pas, _ ne me quitte pas, [Gm] _
ne me quitte [A] pas, ne me quitte pas, _ ne me quitte pas.
_ Je ne vais plus [Dm] parler, _
[Dm] je ne vais [Gm] plus parler.
_ Je me cacherai là _ à te [C] regarder danser et sourire [Bb] et à t'écouter [D] _ [Dm] chanter et puis [F] rire.
Oh, laisse-moi [G] devenir l'ombre, _ _
[Bb] l'ombre, l'ombre _ [Dm] de ta main, _ l'ombre [B] de ton chien. _ _
Ne me quitte pas, _ _ _ _ _ _
[A] _ _ _ ne me quitte pas, _
_ _ [D] ne me [Dm] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ [N] _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ quitte pas.
Gérard le Normand, ne me quittez pas. _
_ _ Merci.
_ _ Je suis tellement heureuse de vous voir. _ _ _ _ _ _
Vous voyez ce qu'il y a d'extraordinaire ?
Dites-moi.
Tous ces artistes qui ont un répertoire, qui ont un costume, qui ont un maquillage,
ils viennent et ils se donnent et ils donnent une image différente de la chanson,
différente de leur propre tour de chant.
Et c'est ça qui fait justement la beauté de ce spectacle que nous avons ici.
_ Sublimin.
Je vous ai vu, je vous ai tous regardés.
Les uns, les autres.
Mimi, vous êtes bouleversée, je le vois.
Je vous en reviens de dire, c'est magnifique.
Je vous sens bouleversée.
C'est ce que disait Charles.
Je trouve magnifique de s'approprier une chanson
parce qu'il ne s'agit pas d'imiter Brel, il est inimitable.
Mais Gérard a fait quelque chose de magnifique.
Il a chanté à la façon Gérard et il nous a collé les frissons à tout le monde.
Je pense parler au monde public.
Hélène, _ même frisson, même sentiment, même émotion.
Je suis tombée dingue de Brel très jeune, de sa gestuelle, de ses mains.
_ Il a une façon de faire passer les émotions que personne n'a.
Et c'est très dur de s'attaquer.
Là, c'était une vraie interprétation.
C'est vrai. _
Gérard, interprétation magnifique.
On le sent.
Tout le monde est extrêmement ému sur le plateau.
Vous êtes entouré dans toute la France.
C'est vrai qu'on vous a vu chanter « Ne me quitte pas » Brel, puis plus, puis à nouveau.
Cette version est magnifique.
Brel avait dit que « Ne me quitte pas » était un hymne à la lâcheté.
Vous pensez que c'est une chanson d'amour ?
Non, mais en ce qui me concerne, je n'ai pu chanter cette chanson que quand j'ai su à qui l'adresser.
Et à partir de ce moment-là, je ne me sentais pas lâche.
Je me sentais tout simplement désespéré.
Mais en fait, honnêtement, je vous le dis très franchement, j'ai toujours adressé cette chanson publique.
_ _ _ Merci.
Et quelle interprète, quel auteur que vous avez bien connu, mon cher Charles, il s'agit de Jacques Brel.
Et c'est Gérard Lenormand qui a eu envie de reprendre une de ses chansons emblématiques.
Mon cher Gérard, allez-y, rejoignez la scène.
Jacques Brel voulait absolument écrire une chanson en 5 ans.
Il avait les premières notes et les premières paroles, mais ça ne venait pas.
Et c'est en travaillant avec son pianiste Gérard Ronès que le reste vient.
20 même.
C'est une de leurs premières collaborations.
Et ça donne « Ne me quitte pas ». _
_ _ _ _ _ _ _ [A] _
_ _ _ _ _ _ _ _
[Dm] Ne me quitte pas, _ il faut tout oublier, _ _ tout peut s [Gm]'oublier,
qui s'en fuit déjà, _ oublier [C] le temps du malentendu et le temps [F] perdu.
À savoir comment _ oublier [Gm] ces heures qui tuent [A] parfois à coups [Dm] _ _ _ le cœur du bonheur.
_ _ Ne me quitte [Gm] pas, _ ne [A] me quitte pas, _ [G] ne [Dm] me quitte pas, _ ne me quitte pas.
Moi, moi je t'offrirai des perles [G] de pluie venues [A] de pays où il ne pleut [Dm] pas.
Je creuserai la terre jusqu'après [G] ma mort pour couvrir [C] ton corps d'or.
_ [F] Je viendrai où je [A] ferai un [Dm] domaine où l'amour [Cm] sera roi, où l'amour sera [Bb] loi.
Et tu [Dm] seras reine.
_ Ne me [F] quitte pas, _ ne me quitte pas, [Gm] _
ne me quitte [A] pas, ne me quitte pas, _ _ ne me quitte [Dm] pas.
Je t [F] _
'inventerai des mots [Gm] insensés que tu comprendras.
Je te [C] parlerai de ces amants-là [Am] qui ont vu [F] deux fois leur cœur s'embraser.
Je te [Gm] raconterai l'histoire de ce [A] roi mort de n'avoir [Dm] pas pu te rencontrer.
Ne me [Gm] quitte pas, _ _ ne me [A] quitte pas, _ ne me quitte [Dm] pas, _ ne me quitte pas.
_ On a vu souvent _ rejaillir [G] le feu de l'ancien [Cm] volcan qu'on [Am] croyait trop [Dm] vieux.
Il est, paraît-il, des terres [G] brûlées, donnant plus [C] de blé qu'un meilleur [F] avril.
Et quand [Dm] vient le soir pour qu'un [Cm] ciel flamboie le rouge et le [Bb] noir, ne s'y pose [Dm]-t-il pas ?
Ne me [F] quitte pas, _ ne me quitte pas, [Gm] _
ne me quitte [A] pas, ne me quitte pas, _ ne me quitte pas.
_ Je ne vais plus [Dm] parler, _
[Dm] je ne vais [Gm] plus parler.
_ Je me cacherai là _ à te [C] regarder danser et sourire [Bb] et à t'écouter [D] _ [Dm] chanter et puis [F] rire.
Oh, laisse-moi [G] devenir l'ombre, _ _
[Bb] l'ombre, l'ombre _ [Dm] de ta main, _ l'ombre [B] de ton chien. _ _
Ne me quitte pas, _ _ _ _ _ _
[A] _ _ _ ne me quitte pas, _
_ _ [D] ne me [Dm] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ [N] _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ quitte pas.
Gérard le Normand, ne me quittez pas. _
_ _ Merci.
_ _ Je suis tellement heureuse de vous voir. _ _ _ _ _ _
Vous voyez ce qu'il y a d'extraordinaire ?
Dites-moi.
Tous ces artistes qui ont un répertoire, qui ont un costume, qui ont un maquillage,
ils viennent et ils se donnent et ils donnent une image différente de la chanson,
différente de leur propre tour de chant.
Et c'est ça qui fait justement la beauté de ce spectacle que nous avons ici.
_ Sublimin.
Je vous ai vu, je vous ai tous regardés.
Les uns, les autres.
Mimi, vous êtes bouleversée, je le vois.
Je vous en reviens de dire, c'est magnifique.
Je vous sens bouleversée.
C'est ce que disait Charles.
Je trouve magnifique de s'approprier une chanson
parce qu'il ne s'agit pas d'imiter Brel, il est inimitable.
Mais Gérard a fait quelque chose de magnifique.
Il a chanté à la façon Gérard et il nous a collé les frissons à tout le monde.
Je pense parler au monde public.
Hélène, _ même frisson, même sentiment, même émotion.
Je suis tombée dingue de Brel très jeune, de sa gestuelle, de ses mains.
_ Il a une façon de faire passer les émotions que personne n'a.
Et c'est très dur de s'attaquer.
Là, c'était une vraie interprétation.
C'est vrai. _
Gérard, interprétation magnifique.
On le sent.
Tout le monde est extrêmement ému sur le plateau.
Vous êtes entouré dans toute la France.
C'est vrai qu'on vous a vu chanter « Ne me quitte pas » Brel, puis plus, puis à nouveau.
Cette version est magnifique.
Brel avait dit que « Ne me quitte pas » était un hymne à la lâcheté.
Vous pensez que c'est une chanson d'amour ?
Non, mais en ce qui me concerne, je n'ai pu chanter cette chanson que quand j'ai su à qui l'adresser.
Et à partir de ce moment-là, je ne me sentais pas lâche.
Je me sentais tout simplement désespéré.
Mais en fait, honnêtement, je vous le dis très franchement, j'ai toujours adressé cette chanson publique.
_ _ _ Merci.