IAM - Un cri court dans la nuit feat. Daddy Nuttea (Audio officiel) Chords

[C#m] _ _ _ _ [E] _ _ _ _
_ _ _ _ [F#] _ _ _ _
[C#m] _ _ _ _ [E] _ _ _ _
_ _ _ [F#] Il est rentré dans la maison où le jour baisse.
Il [C#m] est à l'au fond du métro où personne ne regarde et s'il en se faisant, quoi mec
montre visage menaçant avec son blavès.
On est à codel mais lui [F#] supplie comment s'appeler.
Son père lui a [C#m] offert à Noël, elle change de main.
[F#m] Il a beau dire que ses parents n'ont [C#m] pas un sou, au fond tout le monde s'en fout.
Les trois types, les gens autour, gratuitement, la lame est soudaine.
Nos pinelles pénètrent dix centimètres dans l'abdomen.
Ça lui est déjà un an, il aurait seize ans.
Son père ne s'en est jamais vraiment remis.
Lorsqu'il entre dans sa chambre, rien n'a changé.
Les jouets, les [F#] livres cependant, les murs sont tristes.
Pourquoi vivre [F#m] si tuer c'est facile ?
On veut tourner le [C#m] couteau quand tout s'écroule
d'un coup au fond du métro.
Il gîte la vie qu'enquête bouffe des sandwichs.
Même sourire raconte leur vie, ils parlent même pas de lui.
Il a du mal à s'imaginer, jadis son enfant innocent.
En une seconde pour quatre cents francs, mourant dans une flaque, le sang une flaque
de pleurs, une flaque de peur.
La bague du bonheur [F#] fouille de l'amour.
Fauché par le tronçon d'une [C#m] dague de malheur, [F#m] c'est pas l'heure de partir.
Il ne lui avait pas tout [C#m] dit, tant pis, ce sera au paradis.
Et des remords, la racine s'élève un arbre.
Et de l'arbre poussent des fleurs délicates qui viennent caresser le marbre.
La nuit on assassine et chacun crie à l'aide. _ _ _
La nuit on assassine et chacun crie à l'aide.
[A#] _ _ [F#] [C#m] Encore une bombe à fleurir, un ange part dans un dernier soupir.
Un fait déferle dans une ruelle, un cri court, personne [F#] n'entend la paix.
[C#m] Encore une bombe à fleurir, un ange part dans un dernier soupir.
Un fait déferle dans une ruelle, un cri court, personne n'entend la [F#] paix.
Rue [C#m] sombre, éclairée au néon, deux heures déjà qu'elle fait les cent pas.
Et dans le sac, toujours pas un rond.
Côtoir gloque, bar salle, bagarre tivronne, les talons frappent le coudron.
Au feu rouge, un mec l'accelère, elle en a marre de cet arc qui passe.
La condamne blesse son âme, et dix mètres plus loin ce mâle s'amalge.
Pas bien aujourd'hui, les mecs n'ont pas envie à cause de la pluie.
Où la vie, le sexe perd face aux soucis.
Un manteau, un parapluie, l'enfer en costume gris se rapproche.
Son regard fuit, elle dit son prix, c'est parti.
S'ouvre la porte, couloir vers le purgatoire.
Pour elle, l'histoire [F#] tourne, donne un train fantôme.
Le foire, sa rue [C#m] au glisse, dans les [F#m] banoirs.
Miroir, qui lui qui est la plus [C#m] belle ne la laisse pas croire.
Seul le soir, que les fées se foutent d'elle.
Belle au bois dormant, pour un matelas sans ressort.
Encrée à son sort, comme un bateau usé, jamais ne sort du [F#] port.
Blanche neige, accroquée de fruits amers.
[C#m] Sans amertume pour eux, elle n'est qu'une pute pour son fils.
Elle reste une mère, une peau d'âne, princesse le jour.
Esclaves la nuit, mais les escarpins sont maudits.
Ils ramènent Cendrillon vers son [F#m] taudis.
Les murs témoignent de l'étreinte, plus brève que [C#m] tendre d'Arthur.
Son regard, rêveur, seul remettre contre la témence.
Sorti par la fenêtre, un cri sans bruit.
Entre les rues, sans bise, sorti par la fenêtre, [Bm] un cri [C#m] tourne par la nuit.
La nuit, on associe, et chacun crie à l'aide. _ _ _
La nuit, on associe, et chacun crie à l'aide.
_ [F#] _ _ _
[C#m] _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ [F#] _ _ _ [C#m] _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ [F#] _ _
[C#m] _ _ _ Encore une tombe à fleurir, encore une tombe à _ fleurir
[F#] All right now, all right [A] now, all right now
_ _ [F] _ _ _ _ [C#m] _ _ _ _ _ _ _ _