Laisse pas traîner ton fils (Live au Zénith de Paris 1998) Chords

Je voudrais voir tout le monde, tout le monde la main en l'air sur le prochain.
Dédicacé à [Bbm] tous les gens [Fm] qui sont notre contenance,
la [Bbm] rue qui nous regarde depuis le temps,
[C] les gens qui élèvent des enfants [Fm] tout seuls.
Dédicacé aux gens [Bbm] qui subissent cette époque aussi, même si je l'ai déjà dit.
[Db] Dédicacé à tous les gens qui sont là [Fm] ce soir.
Eh [Bbm] eh, je vous entends tout le monde, il faut avoir la main, tout le monde la main.
[Fm] À l'aube de l'an 2000, pour les jeunes c'est plus [Bbm] le même deal,
pour celui qui traîne comme pour [Fm] celui qui fait le tour.
De toute façon, il n'y a plus de [Bbm] boulot, la boucle est ouverte, le système à la tête sous l'eau.
[Fm] Les jeunes sont saoulés, tâlis sous le silence, [Bbm] seuls sur la rue,
le côté les pensants, [Fm] ceux qui se disent qu'ils sont préparés.
[Bbm] Si ça se trouve, certains d'entre eux même s'en sortiront [Fm] mieux.
Mais bon, un jour, c'est clair, ça sera [Bbm] pas facile.
Faut pas se voiler la face et ne suivez pas le [Fm] monde des kids.
Faut tenir le terrain pour le lendemain, s'assurer [Bbm] au plaisir et bien éviter les gouttes.
[Fm] Apprends à garder son pied intact, son équipe compacte,
[Bbm] se douter, écoute de son arrière pour garder le [Fm] contact.
Houder, décider de bouger, éviter les [Bbm] zones rouges,
surtout où je dois m'éprouver de congés.
C'est [Fm] ça que tu veux pour ton fils ?
C'est comme ça que tu veux qu'il [Bbm] grandisse ?
Hé oh, j'ai pas de conseil à donner, si tu veux pas qu'il [Fm] glisse, regarde-le,
toi qui parles et goûte, [Bbm] laisse-moi chercher ailleurs,
la mort qui devrait y avoir dans tes [Fm] yeux.
T'as le droit de [Bbm] me rendre, _ _
_ [Fm] pour pas te glisser.
[Bbm] _ _ _
[Fm] On laisse pas créer des conflits, on laisse pas créer des [Bbm] conflits.
On laisse, [Fm] pour pas te glisser.
_ _ [Bbm] _ _ _
[Fm] Dans ces temps pétissants, j'ai jamais demandé à [Bbm] ta voix,
de t'abriquer, c'est que pour me consoler, enfin, faut [Fm] croire,
que mon art a contribué à me lier avec la [Bbm] lune.
J'ai vu une illusion, j'ai trouvé le mur, j'ai vu [Fm] le mur,
j'ai su qu'un gamin de 14 ans avait un [Bbm] décalage de l'âge.
Je l'ai revoi, c'était comme un [Fm] miracle,
j'ai eu d'interdit juste à avoir les dents [Bbm] assez longues.
Pour conquérir la vie, faut profiter de tout [Fm] ce qui te manque.
La relation me prenait car elle me faisait confiance,
[Bbm] tout ce qui est lié avec mon art était comme de l'animaison.
[Fm] Aucun d'entre nous n'en a voulu recoller les [Bbm] morceaux,
toute tentative nous montrait qu'on avait vraiment trop [Fm] d'égo.
Mon art n'était pas chaud, j'ai réélémané sa langue,
[Bbm] surtout celle qui m'autre comme un grand couturant.
On [Fm] venait de poitrer, croyant à la jouette,
mais l'influence [Bbm] m'a refléchie, j'ai même pas arrangé ce [Fm] putain d'arguet
qui me croit dans les liens, pas vidéo.
J'avais un peu peur, mais aussi, [Bbm] j'avais pas l'impression
d'être d'un côté qu'une pièce à l'arguer.
[Fm] C'est à dire renoncer, prouver mes propres [Bbm] complices,
et partir à une aire de glisse, désolé [C] si je me nuis.
Mais laisse pas [Fm] traîner ton fils, laisse pas traîner ton [Bbm] fils. _
La [Fm] main en l'air _ _ [Bbm] !
La main en l'air !
La main en l'air [Fm] !
La main en l'air !
La [Bbm] main en l'air _ [Fm] !
La main en l'air !
La main [Bbm] en l'air !
La main en l'air !
La main en l'air !
Que [Fm] voulais-tu pour ton fils après dans la [Bbm] rue ?
Quelle vertu croyais-tu qu'on lui enseigne ?
[Fm] Comment ça pue l'or et comment ça [Bbm] sent la mort ?
Quand tu respires, ça met qu'une clame [Fm] au nez.
Tu fais les bornes et à force tu [Bbm] tournes.
Ton cerveau te fait des bons, fait des [Fm] bons.
Et c'est vraiment pas bon quand on perd le [Bbm] contrôle.
Dans l'esprit des autres, tu joues de mieux en [Fm] mieux ton rôle.
Tu [Bbm] te couvres, comme je te dis ce fois-là,
tout fait plus partie de la [Fm] vie, va dans le bas.
C'est dingue, mais c'est comme ça.
[Bbm] La moustache qui s'y va plus qu'ailleurs, la survie est un [Fm] combat.
À base de pouvoir, de coups de [Bbm] boule,
tu es qui ?
Tu te fous d'un dos, [Fm] mon gars, laisse pas traîner ton fils.
Si tu veux pas [Bbm] kiker, si tu veux pas ramener tes fils,
t'en laisses pas traîner ton [Fm] fils.
_ _ [Bbm] _ _ [Bb] _
[Fm] La main en l'air _ _ [Bbm] _ _ _
[Fm] !
Laisse pas traîner ton fils.
_ [Bbm] _ _
Tu veux [Fm] pas qu'il glisse.
[F] _ _ [Bbm] _ _ [C] _
Laisse pas traîner ton _ [G] fils.
Si tu veux pas qu'il [N] glisse. _ _ _ _ _
C'était NJ, faites du bruit pour eux _ !
_ _ _ _ Je suis fatigué, _ je les entends pas.
On est à Paris, [E] les sénateurs.
C'est vous notre énergie.
Il a dit on est à Paris, on se croira à Lorient un dimanche.
[E] Je te jure.
_ Maintenant Lorient un dimanche, je suis pour [Gb] le pouce de prière, papa.
_ _ [N] Eh, vous refroidissez vite. _
_ _ Je crois qu'il y a un bar là-bas derrière.
Si y a des gens qui sentent que_
Tous les gens qui sont assis là.
_ C'est quoi ?
Allume la lumière.
C'est quoi ?
C'est le club du 3ème âge, vous pouvez pas vous lever.
On est là pour mouiller le maillot.
C'est pas assis que ça se passe.
Là-bas aussi, les gars.
Là-bas aussi. _ _ _
Dans la fosse, y a pas de problème, on vous aime.
Eux, ils font du bruit.
C'est ça qu'on appelle faire du bruit. _
_ _ Non, non, mais c'est pas_
Je m'élève tout de suite, je lève les bras.
Au fond, y a du monde !
_ _ [C] Ok, alors avant qu'on