Chords for Les Ogres de Barback - "Ma fille" [clip officiel]
Tempo:
100.5 bpm
Chords used:
G
Em
D
C
B
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Em]
J'ai creusé la terre, j'ai découpé la lune, puis y gratte le soleil en marchant
sur l'espace.
[G] C'est une fille, [Em] je n'y ai rien trouvé.
J'ai foulé les poubelles, trempé dans les égouts, j'ai fait les catacombes, [D] paré
les quatre roues, [C] de tous les coins [D] de terre, [C] des plaines et [D] du désert, [C] les [D] montagnes,
les mers, tout près [Em] des continents.
J'y ai vu ma [G] fille, l'été et le [Em] printemps, l'automne et puis [G] l'hiver, la brume sur
l [Em]'océan, un orage en [G] colère, un vol de [Em] corps mourant, des millions [G] [B] éphémères, de
gouttes [Em] d'eau, du vent.
[G] Où as-tu ma [D#] fille ?
Je n'y ai rien vu [Em] de mieux.
Là, des âmes [D] imbéciles qui se [Em] battaient pour eux, et d'autres plus [D] tranquilles qui
m'ont [Em] offert [G] du temps, j'en ai gardé l'odeur d'une [D] épice qui [G] grille.
J'ai goûté la saveur [D] lorsque le feu glitille, [C] lorsque le feu [D] divore, [C] sous un ciel [D] qui [C] brille,
deux mille [D] étoiles [C] filantes, une [D] main dans ma main, pour une [Em] nuit pétante.
Amène [G] le prétentieux, l'envie d'une autre [Em] vie, la volonté discrète de se poser enfin,
d'oublier les conquêtes [B] et fouiller le [Em] chemin.
[G] Je te le dis ma [D] fille, je n'y ai rien vu [Em] de mieux.
Et je suis reparti, continuer sans arrêt, à fouiller [G] dans les trains, à retourner
la terre, à [G] perdre des matins, à boire dans tous les pays.
Si l'alcool s [Em]'ennuie pour être su du goût, [G] du goût de mon dégoût, quand l'ivresse
s'enfuit, je me suis [Em] retrouvé, de situation drôle, [G] à être plus violent, prince et plus
poète, clochard et sans [Em] issue, paumé, analphabète, roi [D] du monde [G] indécis, de rendre le bonheur
à des gens plus petits, ni dévoiler l'horreur d'une [E] vie malhonnête.
[Em] [G] Entends-tu ma [B] fille, je n'y ai rien vu [Em] de mieux.
[D] Les volets de mes doigts, l'épaule les [E] plus [D] sensuelle, j'ai tenté au hasard pour l'amour
[Em] éternel, [D] traînant dans les [G] quartiers où vivent les [D] étoiles, qui m'ont appris d [G]'essu,
qu'être [D] [G] superficiel, convivable pour le cul, dans un décor de miel, le savoir dans la
soie, [C] le luxe [D] et l'importance, derrière chacun pour [C] soi, lâche [D] encore la souffrance,
se laissez [C] saluer, et là [D] encore, j'ai pluie, je me suis réfluché, empermé, pour me faire
des pensées, des idées, des réflexes, des leçons, le savoir en parfait, la culture
à [G] foison, j'en ai veillé des nuits, [D#] avacé en [G] revue, les couleurs de ma vie, je me suis
aperçu, au terme du bilan, si c'était réussi, que je parle dix langues, j'ai sur le bout
des doigts, la culture et les lois, et [G] cette main qui tend, à coucher au papier tous [B] ces
mots [G] inutiles, où je parle de moi [D#] pour mieux parler [Em] de toi, [G] à coucher au papier tous ces
mots inutiles, où je parle de [F#m] moi pour mieux [Em] parler de toi, [G] où je parle de moi [F#m] pour mieux
[Em] parler de toi.
J'ai creusé la terre, j'ai découpé la lune, puis y gratte le soleil en marchant
sur l'espace.
[G] C'est une fille, [Em] je n'y ai rien trouvé.
J'ai foulé les poubelles, trempé dans les égouts, j'ai fait les catacombes, [D] paré
les quatre roues, [C] de tous les coins [D] de terre, [C] des plaines et [D] du désert, [C] les [D] montagnes,
les mers, tout près [Em] des continents.
J'y ai vu ma [G] fille, l'été et le [Em] printemps, l'automne et puis [G] l'hiver, la brume sur
l [Em]'océan, un orage en [G] colère, un vol de [Em] corps mourant, des millions [G] [B] éphémères, de
gouttes [Em] d'eau, du vent.
[G] Où as-tu ma [D#] fille ?
Je n'y ai rien vu [Em] de mieux.
Là, des âmes [D] imbéciles qui se [Em] battaient pour eux, et d'autres plus [D] tranquilles qui
m'ont [Em] offert [G] du temps, j'en ai gardé l'odeur d'une [D] épice qui [G] grille.
J'ai goûté la saveur [D] lorsque le feu glitille, [C] lorsque le feu [D] divore, [C] sous un ciel [D] qui [C] brille,
deux mille [D] étoiles [C] filantes, une [D] main dans ma main, pour une [Em] nuit pétante.
Amène [G] le prétentieux, l'envie d'une autre [Em] vie, la volonté discrète de se poser enfin,
d'oublier les conquêtes [B] et fouiller le [Em] chemin.
[G] Je te le dis ma [D] fille, je n'y ai rien vu [Em] de mieux.
Et je suis reparti, continuer sans arrêt, à fouiller [G] dans les trains, à retourner
la terre, à [G] perdre des matins, à boire dans tous les pays.
Si l'alcool s [Em]'ennuie pour être su du goût, [G] du goût de mon dégoût, quand l'ivresse
s'enfuit, je me suis [Em] retrouvé, de situation drôle, [G] à être plus violent, prince et plus
poète, clochard et sans [Em] issue, paumé, analphabète, roi [D] du monde [G] indécis, de rendre le bonheur
à des gens plus petits, ni dévoiler l'horreur d'une [E] vie malhonnête.
[Em] [G] Entends-tu ma [B] fille, je n'y ai rien vu [Em] de mieux.
[D] Les volets de mes doigts, l'épaule les [E] plus [D] sensuelle, j'ai tenté au hasard pour l'amour
[Em] éternel, [D] traînant dans les [G] quartiers où vivent les [D] étoiles, qui m'ont appris d [G]'essu,
qu'être [D] [G] superficiel, convivable pour le cul, dans un décor de miel, le savoir dans la
soie, [C] le luxe [D] et l'importance, derrière chacun pour [C] soi, lâche [D] encore la souffrance,
se laissez [C] saluer, et là [D] encore, j'ai pluie, je me suis réfluché, empermé, pour me faire
des pensées, des idées, des réflexes, des leçons, le savoir en parfait, la culture
à [G] foison, j'en ai veillé des nuits, [D#] avacé en [G] revue, les couleurs de ma vie, je me suis
aperçu, au terme du bilan, si c'était réussi, que je parle dix langues, j'ai sur le bout
des doigts, la culture et les lois, et [G] cette main qui tend, à coucher au papier tous [B] ces
mots [G] inutiles, où je parle de moi [D#] pour mieux parler [Em] de toi, [G] à coucher au papier tous ces
mots inutiles, où je parle de [F#m] moi pour mieux [Em] parler de toi, [G] où je parle de moi [F#m] pour mieux
[Em] parler de toi.
Key:
G
Em
D
C
B
G
Em
D
[Em] _ _ _ _ _ _ _ _
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_ _ _ _ _ _ J'ai creusé la terre, j'ai découpé la lune, puis y gratte le soleil en marchant
sur l'espace.
_ _ _ [G] C'est une fille, [Em] je n'y ai rien trouvé.
_ J'ai foulé les poubelles, trempé dans les égouts, j'ai fait les catacombes, [D] paré
les quatre roues, [C] de tous les coins [D] de terre, [C] des plaines et [D] du désert, [C] les [D] montagnes,
les mers, tout près [Em] des continents.
J'y ai vu ma [G] fille, l'été et le [Em] printemps, l'automne et puis [G] l'hiver, la brume sur
l [Em]'océan, un orage en [G] colère, un vol de [Em] corps mourant, des millions [G] [B] éphémères, de
gouttes [Em] d'eau, du vent. _
[G] Où as-tu ma [D#] fille ?
Je n'y ai rien vu [Em] de mieux. _ _
Là, des âmes [D] imbéciles qui se [Em] battaient pour eux, et d'autres plus [D] tranquilles qui
m'ont [Em] offert [G] du temps, j'en ai gardé l'odeur d'une [D] épice qui [G] grille.
J'ai goûté la saveur [D] lorsque le feu glitille, [C] lorsque le feu [D] divore, [C] sous un ciel [D] qui [C] brille,
deux mille [D] étoiles [C] filantes, une [D] main dans ma main, pour une [Em] nuit pétante.
Amène [G] le prétentieux, l'envie d'une autre [Em] vie, la volonté discrète de se poser enfin,
d'oublier les conquêtes [B] et fouiller le [Em] chemin.
_ _ [G] Je te le dis ma [D] fille, je n'y ai rien vu [Em] de mieux.
_ _ Et je suis reparti, continuer sans arrêt, à fouiller [G] dans les trains, à retourner
la terre, à [G] perdre des matins, à boire dans tous les pays.
Si l'alcool s [Em]'ennuie pour être su du goût, [G] du goût de mon dégoût, quand l'ivresse
s'enfuit, je me suis [Em] retrouvé, de situation drôle, [G] à être plus violent, prince et plus
poète, clochard et sans [Em] issue, paumé, analphabète, roi [D] du monde [G] indécis, de rendre le bonheur
à des gens plus petits, ni dévoiler l'horreur d'une [E] vie malhonnête.
[Em] _ _ [G] Entends-tu ma [B] fille, je n'y ai rien vu [Em] de mieux.
_ [D] Les volets de mes doigts, l'épaule les [E] plus [D] sensuelle, j'ai tenté au hasard pour l'amour
[Em] éternel, [D] traînant dans les [G] quartiers où vivent les [D] étoiles, qui m'ont appris d [G]'essu,
qu'être [D] [G] superficiel, convivable pour le cul, dans un décor de miel, le savoir dans la
soie, [C] le luxe [D] et l'importance, derrière chacun pour [C] soi, lâche [D] encore la souffrance,
se laissez [C] saluer, et là [D] encore, j'ai pluie, je me suis réfluché, empermé, pour me faire
des pensées, des idées, des réflexes, des leçons, le savoir en parfait, la culture
à [G] foison, j'en ai veillé des nuits, [D#] avacé en [G] revue, les couleurs de ma vie, je me suis
aperçu, au terme du bilan, si c'était réussi, que je parle dix langues, j'ai sur le bout
des doigts, la culture et les lois, et [G] cette main qui tend, à coucher au papier tous [B] ces
mots [G] inutiles, où je parle de moi [D#] pour mieux parler [Em] de toi, [G] à coucher au papier tous ces
mots inutiles, où je parle de [F#m] moi pour mieux [Em] parler de toi, _ [G] où je parle de moi [F#m] pour mieux
[Em] parler de toi. _
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_ _ _ _ _ _ J'ai creusé la terre, j'ai découpé la lune, puis y gratte le soleil en marchant
sur l'espace.
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_ J'ai foulé les poubelles, trempé dans les égouts, j'ai fait les catacombes, [D] paré
les quatre roues, [C] de tous les coins [D] de terre, [C] des plaines et [D] du désert, [C] les [D] montagnes,
les mers, tout près [Em] des continents.
J'y ai vu ma [G] fille, l'été et le [Em] printemps, l'automne et puis [G] l'hiver, la brume sur
l [Em]'océan, un orage en [G] colère, un vol de [Em] corps mourant, des millions [G] [B] éphémères, de
gouttes [Em] d'eau, du vent. _
[G] Où as-tu ma [D#] fille ?
Je n'y ai rien vu [Em] de mieux. _ _
Là, des âmes [D] imbéciles qui se [Em] battaient pour eux, et d'autres plus [D] tranquilles qui
m'ont [Em] offert [G] du temps, j'en ai gardé l'odeur d'une [D] épice qui [G] grille.
J'ai goûté la saveur [D] lorsque le feu glitille, [C] lorsque le feu [D] divore, [C] sous un ciel [D] qui [C] brille,
deux mille [D] étoiles [C] filantes, une [D] main dans ma main, pour une [Em] nuit pétante.
Amène [G] le prétentieux, l'envie d'une autre [Em] vie, la volonté discrète de se poser enfin,
d'oublier les conquêtes [B] et fouiller le [Em] chemin.
_ _ [G] Je te le dis ma [D] fille, je n'y ai rien vu [Em] de mieux.
_ _ Et je suis reparti, continuer sans arrêt, à fouiller [G] dans les trains, à retourner
la terre, à [G] perdre des matins, à boire dans tous les pays.
Si l'alcool s [Em]'ennuie pour être su du goût, [G] du goût de mon dégoût, quand l'ivresse
s'enfuit, je me suis [Em] retrouvé, de situation drôle, [G] à être plus violent, prince et plus
poète, clochard et sans [Em] issue, paumé, analphabète, roi [D] du monde [G] indécis, de rendre le bonheur
à des gens plus petits, ni dévoiler l'horreur d'une [E] vie malhonnête.
[Em] _ _ [G] Entends-tu ma [B] fille, je n'y ai rien vu [Em] de mieux.
_ [D] Les volets de mes doigts, l'épaule les [E] plus [D] sensuelle, j'ai tenté au hasard pour l'amour
[Em] éternel, [D] traînant dans les [G] quartiers où vivent les [D] étoiles, qui m'ont appris d [G]'essu,
qu'être [D] [G] superficiel, convivable pour le cul, dans un décor de miel, le savoir dans la
soie, [C] le luxe [D] et l'importance, derrière chacun pour [C] soi, lâche [D] encore la souffrance,
se laissez [C] saluer, et là [D] encore, j'ai pluie, je me suis réfluché, empermé, pour me faire
des pensées, des idées, des réflexes, des leçons, le savoir en parfait, la culture
à [G] foison, j'en ai veillé des nuits, [D#] avacé en [G] revue, les couleurs de ma vie, je me suis
aperçu, au terme du bilan, si c'était réussi, que je parle dix langues, j'ai sur le bout
des doigts, la culture et les lois, et [G] cette main qui tend, à coucher au papier tous [B] ces
mots [G] inutiles, où je parle de moi [D#] pour mieux parler [Em] de toi, [G] à coucher au papier tous ces
mots inutiles, où je parle de [F#m] moi pour mieux [Em] parler de toi, _ [G] où je parle de moi [F#m] pour mieux
[Em] parler de toi. _