Chords for Lorage - Château De Cartes (clip officiel)
Tempo:
180 bpm
Chords used:
C
Em
D
E
Bm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Em] Si [C] vous laissez passer [D] cette chance, [E] c'est votre cœur [Em] qui va devenir [C] aussi sec [D] et cassant [E] que mon squelette.
C [Em]'est l'automne, l'année [C] prend des rites, quand j'écris ces rimes, les [D] feuilles mortes me [E] rappellent le blues que l'hiver apporte.
[Em] Ma vie est un navire sans [C] gouvernail et je vois pas l'avenir sans qu'on [D] s'en aille, parce qu'ici [E] je vois pas la rive à l'horizon sans [Em] maille.
J'ai pas [C] retourné ma veste mais j'change les tiapes, j'ai [D] répété chaque étape [E] jusqu'à ce que je m'éclate avec ce château de [Em] cartes.
Ma plume au [C] bord du coufre et quand le vent souffle [D] je doute mais un gamin [E] de ma ville m'a dit qu'il m'écoutait en [Em] boucle.
J'ai pas de [C] majeur en l'air, je vais tirer la langue de [D] Molière, j'ai pas de master en [E] lettres mais j'ai un alphabet à [Em] démolir.
Et c'est écrit [C] que le bonheur est temporaire, celui [D] qui sait pas lire [E] forcément va pas lire avec ce temps [Em] polaire.
Fini les [C] somnifères et pour une fois je me rappelle [D] de mes textes, merde, [E] ils racontent tous à quel point je le [Em] déteste.
Dur à [C] décrire mes vieux comme un homme de néant d [D]'hortales, dur de t'écrire [E] comme si la poste avait un an de [Em] retard.
Sans jamais [C] te parler j'apprends à te connaître, croiser [D] tes yeux clairs était [E] la plus belle faute à ne jamais [Em] commettre.
Cher [C] Lara, voilà mon message à ton [D] égard, à l'harmonie de [E] ton regard, à ton violon sur le [Em] boulevard.
Moi après [C] moi tu montes un piédestal dans ma [D] conscience et conséquence, [E] y tomber de l'escalier de ma [Em] confiance.
Mon [C] esprit t'analysa et t [D]'idéalisa, l'image de ton [E] regard parle à mon âme, fait ma Mona [Em] Lisa.
J'avais peur [C] du chaos mais j'ai fini par t [D]'approcher pour que l'effet [E] papillon laissait battement nous [Em] rapprocher.
Qu'est-ce que t'en [C] penses ma belle ?
J'aimerais qu'on parte [D] ensemble, parler la langue [E] de Babel avant que la tour parte en cendres.
[C]
[D] [Em] C 'est l'automne, l'année [C] prend des rites quand j'écris ces rimes.
[D] Si autant on emporte [E] le vent, rien emportera mes [Em] cris.
[C]
[D] [E]
[Em] L'énergie circule là [C] où la pensée va, nous on y pensait [D] pas, mais l'amour s [Em]'évapore, un instant de guerre et six mois de paix s'effacent.
Ma plus grande peur c'est [C] devenir un numéro que plus personne [D] appelle dans la descente ou [E] ma peine appelle à l'aide à un pieds de [Em] raleine.
Beaucoup [C] sont partis mais toi t'es toujours là, t'as [D] beaucoup d'empathie même [E] quand le coup de la vie joue au jeu du [Em] foulard.
J'me sens comme [C] cette tante rouge qui nous a jamais [D] lâchés, qui nous a vu nous [E] enlacer, qui nous a vu nous [Em] embrasser.
Rappelle-toi [C] ce matelas neuf dans ce vieux van [D] dans lequel on dormait [E] pas mais où j'ai pu rêver dans tes yeux [Em] vagues, [C] enlacés dans mes bras.
Viens on [D] oublie qu'une fois on sera [E] vieux et on fait des cabanes avec les [Em] draps.
L'amour est [C] si fragile et le casser c'est si [D] facile, difficile, tiens les [E] racines, j'aimerais de toi tout ce qui me [Em] fascine.
T'es ma [C] bataille qui n'a plus rien à perdre, j [D]'imagine un esprit dans [E] lequel la guerre qui n'a peur est la [Em] paix.
J'te [C] croyais mais aujourd'hui je doute de toi et [D] toi et moi on est les [E] mêmes alors j'comprends pourquoi je doute de [Em] moi.
T'as ma [C] rionnette sur la corde raide [D] manipulée par des [E] cordelettes et pris d'un démon dans un corps de [Em] rêve.
J'ai [C] pédalé à en crever sans avancer, plus [D] on est de couple, plus j'me sens [E] seul, j'me sens piégé dans un [Em] ascenseur.
T'as tout [C] retourné en moi comme un cambriolage et [D] moi j'ai perdu les [E] pédales comme un cycliste dans un [Em] carambolage.
Et le temps [C] passe et l'amour tient pas en place, [D] les sentiments cassent, [E] de nos jours on répare plus, on les [Em] remplace.
[C]
[D] [E]
[Em] C'est l'automne, l'année [C] prend des rites, quand j'écris ces rimes, [D] si autant on emporte [E] le vent, rien emportera mes [Em] cris.
[C]
[D] [E]
[Em] L'énergie circule là [C] où la pensée va, nous on y pensait [Bm] pas, mais l'amour s [Em]'évapore, un instant de guerre et six mois de paix s'effaflent.
Les femmes et leur beauté sont [C] l'origine de tout ce que je fais, n'en pas [D] épargné, il reste des [E] cicatrices, de leur menottes sur mes [Em] poignets.
J'ai des tâches, j'ai qu'argent, [C] les bavés, j'ai un parcours en djanty, [D] j'écrache et mon [E] dentier sur les pavés, boxant le monde [Em] entier.
J'articule [C] sexe sur une instrumentale à 2000 [D] e, vengeance par le [E] succès, replique le 7 de la loi du [Em] milieu.
J'devrais [C] défendre mon précaré si j'veux qu'mon cercle [D] soit vertueux, quitte [E] à me faire tuer et retourner vers [Em] Dieu.
Un gêne, [C] ceci l'vert, mais j'aime la vie, faut pas qu'ça [D] gêne, le spin de [E] Baudelaire passe comme une irritation [Em] passagère.
Mon masque est [C] si charmant, j'comprends qu't'es peur de mon [D] vrai visage, les [E] turbulences font place aux pleurs à l [Em]'atterrissage.
Jaloux de [C] la manière dont t'es heureux sans moi, [D] j'me rends flou sur mon [E] manque de confiance en moi qui me rend [Em] fou.
J'ai [C] slalomé entre bien et mal, entre [D] connard et bien aimable, entre [E] désir d'être humain et d [Em]'animal.
Et j'ai brûlé [C] mon cahier d'rime, un soir de rage où [D] j'ai perdu la foi, j'ai [E] crié dans l'orage en perdant la [Em] voix.
Chaque défi [C] de la vie est là pour t'apprendre une [D] leçon, c'est pour apprécier [E] un sourire qu'on avance tous en grimace [Em] tant.
Être [C] adulte c'est accepter qu'on sera toujours des [D] mots, mais être en France c'est [E] nier que les adultes n'ont pas toujours les [Em] mots.
Pour mon [C] passé j'suis panafré, j'suis balafré par [D] les regrets, pas la peine [E] de parler racines, j'vais replanter les graines.
[Em] C'est l'automne, année [C] prend des rites, quand j'écris ces rimes, [D] les feuilles mortes me [E] rappellent le blues que l'hiver apporte.
Et [Em] c'est l'automne, l'amour [C] part à la dérive, si autant on [D] emporte le vent, [E] un rien emportera mes [Em] cris.
[C] [D] [E]
[Em] [C]
[D] [E]
[Em] [C]
[D] [E]
C [Em]'est l'automne, l'année [C] prend des rites, quand j'écris ces rimes, les [D] feuilles mortes me [E] rappellent le blues que l'hiver apporte.
[Em] Ma vie est un navire sans [C] gouvernail et je vois pas l'avenir sans qu'on [D] s'en aille, parce qu'ici [E] je vois pas la rive à l'horizon sans [Em] maille.
J'ai pas [C] retourné ma veste mais j'change les tiapes, j'ai [D] répété chaque étape [E] jusqu'à ce que je m'éclate avec ce château de [Em] cartes.
Ma plume au [C] bord du coufre et quand le vent souffle [D] je doute mais un gamin [E] de ma ville m'a dit qu'il m'écoutait en [Em] boucle.
J'ai pas de [C] majeur en l'air, je vais tirer la langue de [D] Molière, j'ai pas de master en [E] lettres mais j'ai un alphabet à [Em] démolir.
Et c'est écrit [C] que le bonheur est temporaire, celui [D] qui sait pas lire [E] forcément va pas lire avec ce temps [Em] polaire.
Fini les [C] somnifères et pour une fois je me rappelle [D] de mes textes, merde, [E] ils racontent tous à quel point je le [Em] déteste.
Dur à [C] décrire mes vieux comme un homme de néant d [D]'hortales, dur de t'écrire [E] comme si la poste avait un an de [Em] retard.
Sans jamais [C] te parler j'apprends à te connaître, croiser [D] tes yeux clairs était [E] la plus belle faute à ne jamais [Em] commettre.
Cher [C] Lara, voilà mon message à ton [D] égard, à l'harmonie de [E] ton regard, à ton violon sur le [Em] boulevard.
Moi après [C] moi tu montes un piédestal dans ma [D] conscience et conséquence, [E] y tomber de l'escalier de ma [Em] confiance.
Mon [C] esprit t'analysa et t [D]'idéalisa, l'image de ton [E] regard parle à mon âme, fait ma Mona [Em] Lisa.
J'avais peur [C] du chaos mais j'ai fini par t [D]'approcher pour que l'effet [E] papillon laissait battement nous [Em] rapprocher.
Qu'est-ce que t'en [C] penses ma belle ?
J'aimerais qu'on parte [D] ensemble, parler la langue [E] de Babel avant que la tour parte en cendres.
[C]
[D] [Em] C 'est l'automne, l'année [C] prend des rites quand j'écris ces rimes.
[D] Si autant on emporte [E] le vent, rien emportera mes [Em] cris.
[C]
[D] [E]
[Em] L'énergie circule là [C] où la pensée va, nous on y pensait [D] pas, mais l'amour s [Em]'évapore, un instant de guerre et six mois de paix s'effacent.
Ma plus grande peur c'est [C] devenir un numéro que plus personne [D] appelle dans la descente ou [E] ma peine appelle à l'aide à un pieds de [Em] raleine.
Beaucoup [C] sont partis mais toi t'es toujours là, t'as [D] beaucoup d'empathie même [E] quand le coup de la vie joue au jeu du [Em] foulard.
J'me sens comme [C] cette tante rouge qui nous a jamais [D] lâchés, qui nous a vu nous [E] enlacer, qui nous a vu nous [Em] embrasser.
Rappelle-toi [C] ce matelas neuf dans ce vieux van [D] dans lequel on dormait [E] pas mais où j'ai pu rêver dans tes yeux [Em] vagues, [C] enlacés dans mes bras.
Viens on [D] oublie qu'une fois on sera [E] vieux et on fait des cabanes avec les [Em] draps.
L'amour est [C] si fragile et le casser c'est si [D] facile, difficile, tiens les [E] racines, j'aimerais de toi tout ce qui me [Em] fascine.
T'es ma [C] bataille qui n'a plus rien à perdre, j [D]'imagine un esprit dans [E] lequel la guerre qui n'a peur est la [Em] paix.
J'te [C] croyais mais aujourd'hui je doute de toi et [D] toi et moi on est les [E] mêmes alors j'comprends pourquoi je doute de [Em] moi.
T'as ma [C] rionnette sur la corde raide [D] manipulée par des [E] cordelettes et pris d'un démon dans un corps de [Em] rêve.
J'ai [C] pédalé à en crever sans avancer, plus [D] on est de couple, plus j'me sens [E] seul, j'me sens piégé dans un [Em] ascenseur.
T'as tout [C] retourné en moi comme un cambriolage et [D] moi j'ai perdu les [E] pédales comme un cycliste dans un [Em] carambolage.
Et le temps [C] passe et l'amour tient pas en place, [D] les sentiments cassent, [E] de nos jours on répare plus, on les [Em] remplace.
[C]
[D] [E]
[Em] C'est l'automne, l'année [C] prend des rites, quand j'écris ces rimes, [D] si autant on emporte [E] le vent, rien emportera mes [Em] cris.
[C]
[D] [E]
[Em] L'énergie circule là [C] où la pensée va, nous on y pensait [Bm] pas, mais l'amour s [Em]'évapore, un instant de guerre et six mois de paix s'effaflent.
Les femmes et leur beauté sont [C] l'origine de tout ce que je fais, n'en pas [D] épargné, il reste des [E] cicatrices, de leur menottes sur mes [Em] poignets.
J'ai des tâches, j'ai qu'argent, [C] les bavés, j'ai un parcours en djanty, [D] j'écrache et mon [E] dentier sur les pavés, boxant le monde [Em] entier.
J'articule [C] sexe sur une instrumentale à 2000 [D] e, vengeance par le [E] succès, replique le 7 de la loi du [Em] milieu.
J'devrais [C] défendre mon précaré si j'veux qu'mon cercle [D] soit vertueux, quitte [E] à me faire tuer et retourner vers [Em] Dieu.
Un gêne, [C] ceci l'vert, mais j'aime la vie, faut pas qu'ça [D] gêne, le spin de [E] Baudelaire passe comme une irritation [Em] passagère.
Mon masque est [C] si charmant, j'comprends qu't'es peur de mon [D] vrai visage, les [E] turbulences font place aux pleurs à l [Em]'atterrissage.
Jaloux de [C] la manière dont t'es heureux sans moi, [D] j'me rends flou sur mon [E] manque de confiance en moi qui me rend [Em] fou.
J'ai [C] slalomé entre bien et mal, entre [D] connard et bien aimable, entre [E] désir d'être humain et d [Em]'animal.
Et j'ai brûlé [C] mon cahier d'rime, un soir de rage où [D] j'ai perdu la foi, j'ai [E] crié dans l'orage en perdant la [Em] voix.
Chaque défi [C] de la vie est là pour t'apprendre une [D] leçon, c'est pour apprécier [E] un sourire qu'on avance tous en grimace [Em] tant.
Être [C] adulte c'est accepter qu'on sera toujours des [D] mots, mais être en France c'est [E] nier que les adultes n'ont pas toujours les [Em] mots.
Pour mon [C] passé j'suis panafré, j'suis balafré par [D] les regrets, pas la peine [E] de parler racines, j'vais replanter les graines.
[Em] C'est l'automne, année [C] prend des rites, quand j'écris ces rimes, [D] les feuilles mortes me [E] rappellent le blues que l'hiver apporte.
Et [Em] c'est l'automne, l'amour [C] part à la dérive, si autant on [D] emporte le vent, [E] un rien emportera mes [Em] cris.
[C] [D] [E]
[Em] [C]
[D] [E]
[Em] [C]
[D] [E]
Key:
C
Em
D
E
Bm
C
Em
D
[Em] _ _ _ Si [C] vous laissez _ passer [D] cette chance, _ [E] c'est votre cœur [Em] qui va devenir [C] aussi sec [D] et cassant [E] que mon squelette.
C [Em]'est l'automne, l'année [C] prend des rites, quand j'écris ces rimes, les [D] feuilles mortes me [E] rappellent le blues que l'hiver apporte.
[Em] Ma vie est un navire sans [C] gouvernail et je vois pas l'avenir sans qu'on [D] s'en aille, parce qu'ici [E] je vois pas la rive à l'horizon sans [Em] maille.
J'ai pas [C] retourné ma veste mais j'change les tiapes, j'ai [D] répété chaque étape [E] jusqu'à ce que je m'éclate avec ce château de [Em] cartes.
Ma plume au [C] bord du coufre et quand le vent souffle [D] je doute mais un gamin [E] de ma ville m'a dit qu'il m'écoutait en [Em] boucle.
J'ai pas de [C] majeur en l'air, je vais tirer la langue de [D] Molière, j'ai pas de master en [E] lettres mais j'ai un alphabet à [Em] démolir.
Et c'est écrit [C] que le bonheur est temporaire, celui [D] qui sait pas lire [E] forcément va pas lire avec ce temps [Em] polaire.
Fini les [C] somnifères et pour une fois je me rappelle [D] de mes textes, merde, [E] ils racontent tous à quel point je le [Em] déteste.
Dur à [C] décrire mes vieux comme un homme de néant d [D]'hortales, dur de t'écrire [E] comme si la poste avait un an de [Em] retard.
Sans jamais [C] te parler j'apprends à te connaître, croiser [D] tes yeux clairs était [E] la plus belle faute à ne jamais [Em] commettre.
Cher [C] Lara, voilà mon message à ton [D] égard, à l'harmonie de [E] ton regard, à ton violon sur le [Em] boulevard.
Moi après [C] moi tu montes un piédestal dans ma [D] conscience et conséquence, [E] y tomber de l'escalier de ma [Em] confiance.
Mon [C] esprit t'analysa et t [D]'idéalisa, l'image de ton [E] regard parle à mon âme, fait ma Mona [Em] Lisa.
J'avais peur [C] du chaos mais j'ai fini par t [D]'approcher pour que l'effet [E] papillon laissait battement nous [Em] rapprocher.
Qu'est-ce que t'en [C] penses ma belle ?
J'aimerais qu'on parte [D] ensemble, parler la langue [E] de Babel avant que la tour parte en cendres.
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_ _ [D] _ _ [Em] C _ _ _ 'est l'automne, l'année [C] prend des rites quand j'écris ces rimes.
[D] Si autant on emporte [E] le vent, rien emportera mes [Em] cris.
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_ [Em] L'énergie circule là [C] où la pensée va, nous on y pensait [D] pas, mais l'amour s [Em]'évapore, un instant de guerre et six mois de paix s'effacent.
Ma plus grande peur c'est [C] devenir un numéro que plus personne [D] appelle dans la descente ou [E] ma peine appelle à l'aide à un pieds de [Em] raleine.
Beaucoup [C] sont partis mais toi t'es toujours là, t'as [D] beaucoup d'empathie même [E] quand le coup de la vie joue au jeu du [Em] foulard.
J'me sens comme [C] cette tante rouge qui nous a jamais [D] lâchés, qui nous a vu nous [E] enlacer, qui nous a vu nous [Em] embrasser.
Rappelle-toi [C] ce matelas neuf dans ce vieux van [D] dans lequel on dormait [E] pas mais où j'ai pu rêver dans tes yeux [Em] vagues, _ [C] enlacés dans mes bras.
Viens on [D] oublie qu'une fois on sera [E] vieux et on fait des cabanes avec les [Em] draps.
L'amour est [C] si fragile et le casser c'est si [D] facile, difficile, tiens les [E] racines, j'aimerais de toi tout ce qui me [Em] fascine.
T'es ma [C] bataille qui n'a plus rien à perdre, j [D]'imagine un esprit dans [E] lequel la guerre qui n'a peur est la [Em] paix.
J'te [C] croyais mais aujourd'hui je doute de toi et [D] toi et moi on est les [E] mêmes alors j'comprends pourquoi je doute de [Em] moi.
T'as ma [C] rionnette sur la corde raide [D] manipulée par des [E] cordelettes et pris d'un démon dans un corps de [Em] rêve.
J'ai [C] pédalé à en crever sans avancer, plus [D] on est de couple, plus j'me sens [E] seul, j'me sens piégé dans un [Em] ascenseur.
T'as tout [C] retourné en moi comme un cambriolage et [D] moi j'ai perdu les [E] pédales comme un cycliste dans un [Em] carambolage.
Et le temps [C] passe et l'amour tient pas en place, [D] les sentiments cassent, [E] de nos jours on répare plus, on les [Em] remplace.
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_ [Em] C'est l'automne, l'année [C] prend des rites, quand j'écris ces rimes, [D] si autant on emporte [E] le vent, rien emportera mes [Em] cris.
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_ [Em] L'énergie circule là [C] où la pensée va, nous on y pensait [Bm] pas, mais l'amour s [Em]'évapore, un instant de guerre et six mois de paix s'effaflent.
Les femmes et leur beauté sont [C] l'origine de tout ce que je fais, n'en pas [D] épargné, il reste des [E] cicatrices, de leur menottes sur mes [Em] poignets.
J'ai des tâches, j'ai qu'argent, [C] les bavés, j'ai un parcours en djanty, [D] j'écrache et mon [E] dentier sur les pavés, boxant le monde [Em] entier.
J'articule [C] sexe sur une instrumentale à 2000 [D] e, vengeance par le [E] succès, replique le 7 de la loi du [Em] milieu.
J'devrais [C] défendre mon précaré si j'veux qu'mon cercle [D] soit vertueux, quitte [E] à me faire tuer et retourner vers [Em] Dieu.
Un gêne, [C] ceci l'vert, mais j'aime la vie, faut pas qu'ça [D] gêne, le spin de [E] Baudelaire passe comme une irritation [Em] passagère.
Mon masque est [C] si charmant, j'comprends qu't'es peur de mon [D] vrai visage, les [E] turbulences font place aux pleurs à l [Em]'atterrissage.
Jaloux de [C] la manière dont t'es heureux sans moi, [D] j'me rends flou sur mon [E] manque de confiance en moi qui me rend [Em] fou.
J'ai [C] slalomé entre bien et mal, entre [D] connard et bien aimable, entre [E] désir d'être humain et d [Em]'animal.
Et j'ai brûlé [C] mon cahier d'rime, un soir de rage où [D] j'ai perdu la foi, j'ai [E] crié dans l'orage en perdant la [Em] voix.
Chaque défi [C] de la vie est là pour t'apprendre une [D] leçon, c'est pour apprécier [E] un sourire qu'on avance tous en grimace [Em] tant.
Être [C] adulte c'est accepter qu'on sera toujours des [D] mots, mais être en France c'est [E] nier que les adultes n'ont pas toujours les [Em] mots.
Pour mon [C] passé j'suis panafré, j'suis balafré par [D] les regrets, pas la peine [E] de parler racines, j'vais replanter les _ graines. _ _ _
_ [Em] C'est l'automne, année [C] prend des rites, quand j'écris ces rimes, [D] les feuilles mortes me [E] rappellent le blues que l'hiver apporte.
Et [Em] c'est l'automne, l'amour [C] part à la dérive, si autant on [D] emporte le vent, [E] un rien emportera mes [Em] cris.
_ _ [C] _ _ _ _ _ [D] _ _ _ [E] _ _ _
_ _ [Em] _ _ _ [C] _ _ _
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C [Em]'est l'automne, l'année [C] prend des rites, quand j'écris ces rimes, les [D] feuilles mortes me [E] rappellent le blues que l'hiver apporte.
[Em] Ma vie est un navire sans [C] gouvernail et je vois pas l'avenir sans qu'on [D] s'en aille, parce qu'ici [E] je vois pas la rive à l'horizon sans [Em] maille.
J'ai pas [C] retourné ma veste mais j'change les tiapes, j'ai [D] répété chaque étape [E] jusqu'à ce que je m'éclate avec ce château de [Em] cartes.
Ma plume au [C] bord du coufre et quand le vent souffle [D] je doute mais un gamin [E] de ma ville m'a dit qu'il m'écoutait en [Em] boucle.
J'ai pas de [C] majeur en l'air, je vais tirer la langue de [D] Molière, j'ai pas de master en [E] lettres mais j'ai un alphabet à [Em] démolir.
Et c'est écrit [C] que le bonheur est temporaire, celui [D] qui sait pas lire [E] forcément va pas lire avec ce temps [Em] polaire.
Fini les [C] somnifères et pour une fois je me rappelle [D] de mes textes, merde, [E] ils racontent tous à quel point je le [Em] déteste.
Dur à [C] décrire mes vieux comme un homme de néant d [D]'hortales, dur de t'écrire [E] comme si la poste avait un an de [Em] retard.
Sans jamais [C] te parler j'apprends à te connaître, croiser [D] tes yeux clairs était [E] la plus belle faute à ne jamais [Em] commettre.
Cher [C] Lara, voilà mon message à ton [D] égard, à l'harmonie de [E] ton regard, à ton violon sur le [Em] boulevard.
Moi après [C] moi tu montes un piédestal dans ma [D] conscience et conséquence, [E] y tomber de l'escalier de ma [Em] confiance.
Mon [C] esprit t'analysa et t [D]'idéalisa, l'image de ton [E] regard parle à mon âme, fait ma Mona [Em] Lisa.
J'avais peur [C] du chaos mais j'ai fini par t [D]'approcher pour que l'effet [E] papillon laissait battement nous [Em] rapprocher.
Qu'est-ce que t'en [C] penses ma belle ?
J'aimerais qu'on parte [D] ensemble, parler la langue [E] de Babel avant que la tour parte en cendres.
_ [C] _ _ _ _
_ _ [D] _ _ [Em] C _ _ _ 'est l'automne, l'année [C] prend des rites quand j'écris ces rimes.
[D] Si autant on emporte [E] le vent, rien emportera mes [Em] cris.
_ _ [C] _ _ _
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_ [Em] L'énergie circule là [C] où la pensée va, nous on y pensait [D] pas, mais l'amour s [Em]'évapore, un instant de guerre et six mois de paix s'effacent.
Ma plus grande peur c'est [C] devenir un numéro que plus personne [D] appelle dans la descente ou [E] ma peine appelle à l'aide à un pieds de [Em] raleine.
Beaucoup [C] sont partis mais toi t'es toujours là, t'as [D] beaucoup d'empathie même [E] quand le coup de la vie joue au jeu du [Em] foulard.
J'me sens comme [C] cette tante rouge qui nous a jamais [D] lâchés, qui nous a vu nous [E] enlacer, qui nous a vu nous [Em] embrasser.
Rappelle-toi [C] ce matelas neuf dans ce vieux van [D] dans lequel on dormait [E] pas mais où j'ai pu rêver dans tes yeux [Em] vagues, _ [C] enlacés dans mes bras.
Viens on [D] oublie qu'une fois on sera [E] vieux et on fait des cabanes avec les [Em] draps.
L'amour est [C] si fragile et le casser c'est si [D] facile, difficile, tiens les [E] racines, j'aimerais de toi tout ce qui me [Em] fascine.
T'es ma [C] bataille qui n'a plus rien à perdre, j [D]'imagine un esprit dans [E] lequel la guerre qui n'a peur est la [Em] paix.
J'te [C] croyais mais aujourd'hui je doute de toi et [D] toi et moi on est les [E] mêmes alors j'comprends pourquoi je doute de [Em] moi.
T'as ma [C] rionnette sur la corde raide [D] manipulée par des [E] cordelettes et pris d'un démon dans un corps de [Em] rêve.
J'ai [C] pédalé à en crever sans avancer, plus [D] on est de couple, plus j'me sens [E] seul, j'me sens piégé dans un [Em] ascenseur.
T'as tout [C] retourné en moi comme un cambriolage et [D] moi j'ai perdu les [E] pédales comme un cycliste dans un [Em] carambolage.
Et le temps [C] passe et l'amour tient pas en place, [D] les sentiments cassent, [E] de nos jours on répare plus, on les [Em] remplace.
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_ [Em] C'est l'automne, l'année [C] prend des rites, quand j'écris ces rimes, [D] si autant on emporte [E] le vent, rien emportera mes [Em] cris.
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_ [Em] L'énergie circule là [C] où la pensée va, nous on y pensait [Bm] pas, mais l'amour s [Em]'évapore, un instant de guerre et six mois de paix s'effaflent.
Les femmes et leur beauté sont [C] l'origine de tout ce que je fais, n'en pas [D] épargné, il reste des [E] cicatrices, de leur menottes sur mes [Em] poignets.
J'ai des tâches, j'ai qu'argent, [C] les bavés, j'ai un parcours en djanty, [D] j'écrache et mon [E] dentier sur les pavés, boxant le monde [Em] entier.
J'articule [C] sexe sur une instrumentale à 2000 [D] e, vengeance par le [E] succès, replique le 7 de la loi du [Em] milieu.
J'devrais [C] défendre mon précaré si j'veux qu'mon cercle [D] soit vertueux, quitte [E] à me faire tuer et retourner vers [Em] Dieu.
Un gêne, [C] ceci l'vert, mais j'aime la vie, faut pas qu'ça [D] gêne, le spin de [E] Baudelaire passe comme une irritation [Em] passagère.
Mon masque est [C] si charmant, j'comprends qu't'es peur de mon [D] vrai visage, les [E] turbulences font place aux pleurs à l [Em]'atterrissage.
Jaloux de [C] la manière dont t'es heureux sans moi, [D] j'me rends flou sur mon [E] manque de confiance en moi qui me rend [Em] fou.
J'ai [C] slalomé entre bien et mal, entre [D] connard et bien aimable, entre [E] désir d'être humain et d [Em]'animal.
Et j'ai brûlé [C] mon cahier d'rime, un soir de rage où [D] j'ai perdu la foi, j'ai [E] crié dans l'orage en perdant la [Em] voix.
Chaque défi [C] de la vie est là pour t'apprendre une [D] leçon, c'est pour apprécier [E] un sourire qu'on avance tous en grimace [Em] tant.
Être [C] adulte c'est accepter qu'on sera toujours des [D] mots, mais être en France c'est [E] nier que les adultes n'ont pas toujours les [Em] mots.
Pour mon [C] passé j'suis panafré, j'suis balafré par [D] les regrets, pas la peine [E] de parler racines, j'vais replanter les _ graines. _ _ _
_ [Em] C'est l'automne, année [C] prend des rites, quand j'écris ces rimes, [D] les feuilles mortes me [E] rappellent le blues que l'hiver apporte.
Et [Em] c'est l'automne, l'amour [C] part à la dérive, si autant on [D] emporte le vent, [E] un rien emportera mes [Em] cris.
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_ _ [Em] _ _ _ [C] _ _ _
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_ _ [Em] _ _ _ [C] _ _ _
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