Chords for Loïc Nottet - Mr/Mme (Bruxelles)
Tempo:
150 bpm
Chords used:
Gb
Bb
Ebm
B
Eb
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[N] [Ab] [Eb]
[Gb]
[Bb]
[Ebm]
[B]
Bonsoir [Gb] Monsieur, Madame, aujourd'hui je te dis tout, je préfère [Bb] parler en dessus,
car je n'ai pas le vous, je [Ebm] trouve que ça vieillit, et moi je veux rester petit, un
gamin [B] pour la vie, sans mouchoir ni gris, [Gb] alors vas-y je te dis tout sur les drames
que je vis, oh [Bb] peux-tu dire en enfer, voilà où je suis, je [Ebm] voudrais m'en aller, mais
je vais aller loin de tout, de ce [B] monde de fou, et partir je ne sais où, sur [Gb] mes troncs
je m'écrase, et me brûle, [Bb] me détruit, j'ai honte de vivre dans ma bulle, alors je voudrais
[Ebm] partir, je ne sais pas où m'enfuir, laisse [B]-moi courir loin, laissant ce monde à bannir,
si Dieu dit que [Gb] le suicide est un péché, alors qu'il [Bb] discrètement je pars, il se
perd de tort, [Eb] qu'il me transforme en ce que les gens appellent le fou, et [B] peut-être qu'un
suicide irait dans le flot, alors [Gb] cher monsieur, aide-moi, et veux-moi, moi [Bb] je n'y arrive pas,
dans ce monde que je vois, dans ce [Ebm] monde où tu as la lutte, où l'homme n'est qu'une
brute, où la [B] mort que crée des putes, [Gb] je m'écrirai un mot, une planète, rien qu'à
moi, une planète [Bb] sur laquelle, je me sentirai moins, [Ebm] un renouveau s'enchaîne, dépourvu
de haine, une planète [B] sur laquelle, tu me donnerais des ailes, [Gb] un nouvel univers, où
les larmes, les peines, [F] ne seraient qu'un mythe, qu'une putain de légende urbaine,
[Ebm] alors laisse-moi partir, dis-moi comment m'enfuir à [B] cette question posée, laisse-moi, [Bm]
[Ebm] la seule
chose que j'aime, [Gb] quant à création, l'homme, c'est qu'il [Bb] peut rêver, chaque nuit, [Bbm] comme
les mûmes, [Eb] qu'on soit vieux, jeune, vilain, gentil, ou encore moche, on a le droit de
[Ebm] rêver, sans même [B] rien dans les poches, m'en [Gb] dérange, un pleure de soi, je m'en dis, de
l'espoir, mais [Bb] la nuit irradie, ma dernière [Bbm] amorphine, parce que j'ai [Ebm] pas payé, pas assez,
mes [B] parents sont fortunés, me refusent la lune, puisque [Gb] certes, dans ce monde, on peut
vivre sans ses nombres, [Fm] que tes enfants ont [Bb] transformés, en [Bbm] bûches, en monstres, chaque
[Eb] mois, tu en gagnes, chaque jour, tu en perds, ta diction [B] est sévère, je rends la neuf,
quitte l'enfer, c'est vrai, [Gb] je m'avoue, peut-être vaincu, je l'avoue, je la suppose,
[Bb]
des bouts d'envergure, [Ebm] un temps moindre, écherber toutes mes tripes, [B] dans ce son qui
compte la vie, d'un con pessimiste, je [Gb]
[Bb]
marche [Ebm] seule sur un chemin, qui s'en sort le lendemain,
[B] j'accélère, mais [Gb] chaque soir, je bois, je me tronche la gueule, pour [Bb] oublier qu'au fond,
le succès, ça renseigne, peu d'amis, [Ebm] peu de vie, je suis enfermée, sous vide, plein
d'ennemis, plus [B] de sorties, Dieu, j'ai besoin d'un gré, certains [Gb] mots, que j'appelle,
l'air, mais je gâte [Bb] en mer, car je suis jeune, et dans ma [Ebm] tête, c'est le portail, qu'a
éteint la lumière, maman, je n [B]'y vois plus l 'air, maman, c'est [Gb] le bonheur, quand tu
donnes à ton coeur, à [Bb] bouffer un amour, qui calme tes douleurs, tu [Ebm] opines son malheur,
mais au fond, c'est qu'un lard, dans cette [B] génération, qu'on remplit le monde, [Gb] on voit
le coeur briser, pas besoin de l'appeler, la [Bb] solitude débarque, elle vient vite te trouver,
elle n'attend [Ebm] pas que tu en ailles, elle entre sans traper, [B] tes coups de blouson pour
un cadre à rafraîchir, alors toi, qui [Gb] es-tu, au fond, le sais [Ebm]-tu, car moi, je ne sais [Bbm] plus
qui je suis, je suis [Ebm] perdue, mon ambition [Bb] est grande, [Ebm] dur à satisfaire, mon bonheur
a le goût [D] d'une serre en mer, alors [Gb] monsieur, madame, je l'avoue, je suis malheureuse, et
pourtant, [Db] je vis de même de [Eb] mortel, mais c'est plus fort que moi, il me manque encore
ça, [B] ça et ça, là-bas, toujours [Bb] plus, je suis comme ça, [Gb] alors j'espère qu'un jour,
je pourrai faire amour, à [Bb] une personne sincère, qui ne me jouera pas de tour, j'en ai vraiment
[Ebm] assez de donner, sans retour, je suis [B] saoulée, mais mes moifs, tant rien ne sort, c'est lourd,
mais [Gb] sachez, tout de même, que si je serais, grâce à vous, j'ai [Bb] l'impression d'être
loin de ce monde de fous, car j'ai cri, quand je [Ebm] me plantais de riz, quand je tentais de
vivre, quand je [B] chantais pour [Bm] tous, à chaque petit [Gb] merci.
[Bb]
[Ebm]
[B]
[Gb]
[Bb]
[Ebm]
[B] [Bm]
[Gb]
[Bb]
[Gb] [Ebm]
[B]
[Bm] [Gb]
[Bb]
[Ebm]
[B] [Gb]
[Bb]
[Ebm]
[Ab] [B]
[Db] [Gb]
[Eb]
[E]
[G] [C]
[F] [Bb]
[C] [Bb] [F]
[B]
[Gb]
[Gb]
[Bb]
[Ebm]
[B]
Bonsoir [Gb] Monsieur, Madame, aujourd'hui je te dis tout, je préfère [Bb] parler en dessus,
car je n'ai pas le vous, je [Ebm] trouve que ça vieillit, et moi je veux rester petit, un
gamin [B] pour la vie, sans mouchoir ni gris, [Gb] alors vas-y je te dis tout sur les drames
que je vis, oh [Bb] peux-tu dire en enfer, voilà où je suis, je [Ebm] voudrais m'en aller, mais
je vais aller loin de tout, de ce [B] monde de fou, et partir je ne sais où, sur [Gb] mes troncs
je m'écrase, et me brûle, [Bb] me détruit, j'ai honte de vivre dans ma bulle, alors je voudrais
[Ebm] partir, je ne sais pas où m'enfuir, laisse [B]-moi courir loin, laissant ce monde à bannir,
si Dieu dit que [Gb] le suicide est un péché, alors qu'il [Bb] discrètement je pars, il se
perd de tort, [Eb] qu'il me transforme en ce que les gens appellent le fou, et [B] peut-être qu'un
suicide irait dans le flot, alors [Gb] cher monsieur, aide-moi, et veux-moi, moi [Bb] je n'y arrive pas,
dans ce monde que je vois, dans ce [Ebm] monde où tu as la lutte, où l'homme n'est qu'une
brute, où la [B] mort que crée des putes, [Gb] je m'écrirai un mot, une planète, rien qu'à
moi, une planète [Bb] sur laquelle, je me sentirai moins, [Ebm] un renouveau s'enchaîne, dépourvu
de haine, une planète [B] sur laquelle, tu me donnerais des ailes, [Gb] un nouvel univers, où
les larmes, les peines, [F] ne seraient qu'un mythe, qu'une putain de légende urbaine,
[Ebm] alors laisse-moi partir, dis-moi comment m'enfuir à [B] cette question posée, laisse-moi, [Bm]
[Ebm] la seule
chose que j'aime, [Gb] quant à création, l'homme, c'est qu'il [Bb] peut rêver, chaque nuit, [Bbm] comme
les mûmes, [Eb] qu'on soit vieux, jeune, vilain, gentil, ou encore moche, on a le droit de
[Ebm] rêver, sans même [B] rien dans les poches, m'en [Gb] dérange, un pleure de soi, je m'en dis, de
l'espoir, mais [Bb] la nuit irradie, ma dernière [Bbm] amorphine, parce que j'ai [Ebm] pas payé, pas assez,
mes [B] parents sont fortunés, me refusent la lune, puisque [Gb] certes, dans ce monde, on peut
vivre sans ses nombres, [Fm] que tes enfants ont [Bb] transformés, en [Bbm] bûches, en monstres, chaque
[Eb] mois, tu en gagnes, chaque jour, tu en perds, ta diction [B] est sévère, je rends la neuf,
quitte l'enfer, c'est vrai, [Gb] je m'avoue, peut-être vaincu, je l'avoue, je la suppose,
[Bb]
des bouts d'envergure, [Ebm] un temps moindre, écherber toutes mes tripes, [B] dans ce son qui
compte la vie, d'un con pessimiste, je [Gb]
[Bb]
marche [Ebm] seule sur un chemin, qui s'en sort le lendemain,
[B] j'accélère, mais [Gb] chaque soir, je bois, je me tronche la gueule, pour [Bb] oublier qu'au fond,
le succès, ça renseigne, peu d'amis, [Ebm] peu de vie, je suis enfermée, sous vide, plein
d'ennemis, plus [B] de sorties, Dieu, j'ai besoin d'un gré, certains [Gb] mots, que j'appelle,
l'air, mais je gâte [Bb] en mer, car je suis jeune, et dans ma [Ebm] tête, c'est le portail, qu'a
éteint la lumière, maman, je n [B]'y vois plus l 'air, maman, c'est [Gb] le bonheur, quand tu
donnes à ton coeur, à [Bb] bouffer un amour, qui calme tes douleurs, tu [Ebm] opines son malheur,
mais au fond, c'est qu'un lard, dans cette [B] génération, qu'on remplit le monde, [Gb] on voit
le coeur briser, pas besoin de l'appeler, la [Bb] solitude débarque, elle vient vite te trouver,
elle n'attend [Ebm] pas que tu en ailles, elle entre sans traper, [B] tes coups de blouson pour
un cadre à rafraîchir, alors toi, qui [Gb] es-tu, au fond, le sais [Ebm]-tu, car moi, je ne sais [Bbm] plus
qui je suis, je suis [Ebm] perdue, mon ambition [Bb] est grande, [Ebm] dur à satisfaire, mon bonheur
a le goût [D] d'une serre en mer, alors [Gb] monsieur, madame, je l'avoue, je suis malheureuse, et
pourtant, [Db] je vis de même de [Eb] mortel, mais c'est plus fort que moi, il me manque encore
ça, [B] ça et ça, là-bas, toujours [Bb] plus, je suis comme ça, [Gb] alors j'espère qu'un jour,
je pourrai faire amour, à [Bb] une personne sincère, qui ne me jouera pas de tour, j'en ai vraiment
[Ebm] assez de donner, sans retour, je suis [B] saoulée, mais mes moifs, tant rien ne sort, c'est lourd,
mais [Gb] sachez, tout de même, que si je serais, grâce à vous, j'ai [Bb] l'impression d'être
loin de ce monde de fous, car j'ai cri, quand je [Ebm] me plantais de riz, quand je tentais de
vivre, quand je [B] chantais pour [Bm] tous, à chaque petit [Gb] merci.
[Bb]
[Ebm]
[B]
[Gb]
[Bb]
[Ebm]
[B] [Bm]
[Gb]
[Bb]
[Gb] [Ebm]
[B]
[Bm] [Gb]
[Bb]
[Ebm]
[B] [Gb]
[Bb]
[Ebm]
[Ab] [B]
[Db] [Gb]
[Eb]
[E]
[G] [C]
[F] [Bb]
[C] [Bb] [F]
[B]
[Gb]
Key:
Gb
Bb
Ebm
B
Eb
Gb
Bb
Ebm
[N] _ [Ab] _ _ _ _ [Eb] _ _ _
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[Bb] _ _ _ _ _ _ _ _
_ [Ebm] _ _ _ _ _ _ _
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_ Bonsoir [Gb] Monsieur, Madame, aujourd'hui je te dis tout, je préfère [Bb] parler en dessus,
car je n'ai pas le vous, je [Ebm] trouve que ça vieillit, et moi je veux rester petit, un
gamin [B] pour la vie, sans mouchoir ni gris, [Gb] alors vas-y je te dis tout sur les drames
que je vis, oh [Bb] peux-tu dire en enfer, voilà où je suis, je [Ebm] voudrais m'en aller, mais
je vais aller loin de tout, de ce [B] monde de fou, et partir je ne sais où, sur [Gb] mes troncs
je m'écrase, et me brûle, [Bb] me détruit, j'ai honte de vivre dans ma bulle, alors je voudrais
[Ebm] partir, je ne sais pas où m'enfuir, laisse [B]-moi courir loin, laissant ce monde à bannir,
si Dieu dit que [Gb] le suicide est un péché, alors qu'il [Bb] discrètement je pars, il se
perd de tort, [Eb] qu'il me transforme en ce que les gens appellent le fou, et [B] peut-être qu'un
suicide irait dans le flot, alors [Gb] cher monsieur, aide-moi, et veux-moi, moi [Bb] je n'y arrive pas,
dans ce monde que je vois, dans ce [Ebm] monde où tu as la lutte, où l'homme n'est qu'une
brute, où la [B] mort _ que crée des putes, [Gb] je m'écrirai un mot, une planète, rien qu'à
moi, une planète [Bb] sur laquelle, je me sentirai moins, [Ebm] un renouveau s'enchaîne, dépourvu
de haine, une planète [B] sur laquelle, tu me donnerais des ailes, [Gb] un nouvel univers, où
les larmes, les peines, [F] ne seraient qu'un mythe, qu'une putain de légende urbaine,
[Ebm] alors laisse-moi partir, dis-moi comment m'enfuir à [B] cette question posée, laisse-moi, [Bm] _ _
[Ebm] la seule
chose que j'aime, [Gb] quant à création, l'homme, c'est qu'il [Bb] peut rêver, chaque nuit, [Bbm] comme
les mûmes, [Eb] qu'on soit vieux, jeune, vilain, gentil, ou encore moche, on a le droit de
[Ebm] rêver, sans même [B] rien dans les poches, m'en [Gb] dérange, un pleure de soi, je m'en dis, de
l'espoir, mais [Bb] la nuit irradie, ma dernière [Bbm] _ amorphine, parce que j'ai [Ebm] pas payé, pas assez,
mes [B] parents sont fortunés, me refusent la lune, puisque [Gb] certes, dans ce monde, on peut
vivre sans ses nombres, [Fm] que tes enfants ont [Bb] transformés, en [Bbm] bûches, en monstres, chaque
[Eb] mois, tu en gagnes, chaque jour, tu en perds, ta diction [B] est sévère, je rends la neuf,
quitte l'enfer, c'est vrai, [Gb] je m'avoue, peut-être vaincu, je l'avoue, je la suppose,
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des bouts d'envergure, [Ebm] un temps moindre, écherber toutes mes tripes, [B] dans ce son qui
compte la vie, d'un con _ pessimiste, je [Gb] _ _
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_ _ _ _ _ _ marche [Ebm] seule sur un chemin, qui s'en sort le lendemain,
[B] j'accélère, mais _ _ _ _ _ _ [Gb] chaque soir, je bois, je me tronche la gueule, pour [Bb] oublier qu'au fond,
le succès, ça renseigne, peu d'amis, [Ebm] peu de vie, je suis enfermée, sous vide, plein
d'ennemis, plus [B] de sorties, Dieu, j'ai besoin d'un gré, certains [Gb] mots, _ que j'appelle,
_ l'air, mais je gâte [Bb] en mer, car je suis jeune, et _ dans ma [Ebm] tête, c'est le portail, qu'a
éteint la lumière, maman, je n [B]'y vois plus l _ _ 'air, maman, c'est [Gb] le bonheur, quand tu
donnes à ton coeur, à [Bb] bouffer un amour, qui calme tes douleurs, tu [Ebm] opines son malheur,
mais au fond, c'est qu'un lard, dans cette [B] génération, qu'on remplit le monde, [Gb] on voit
le coeur briser, pas besoin de l'appeler, la [Bb] solitude débarque, elle vient vite te trouver,
elle n'attend [Ebm] pas que tu en ailles, elle entre sans traper, [B] tes coups de blouson pour
un cadre à rafraîchir, alors toi, qui [Gb] es-tu, au fond, le sais [Ebm]-tu, car moi, je ne sais [Bbm] plus
qui je suis, je suis [Ebm] perdue, mon ambition [Bb] est grande, [Ebm] dur à satisfaire, mon bonheur
a le goût [D] d'une serre en mer, alors [Gb] monsieur, madame, je l'avoue, je suis _ malheureuse, et
pourtant, [Db] je vis de même de [Eb] mortel, mais c'est plus fort que moi, il me manque encore
ça, [B] ça et ça, là-bas, toujours [Bb] plus, je suis comme ça, [Gb] alors j'espère qu'un jour,
je pourrai faire amour, à [Bb] une personne sincère, qui ne me jouera pas de tour, j'en ai vraiment
[Ebm] assez de donner, sans retour, je suis [B] saoulée, mais mes moifs, tant rien ne sort, c'est lourd,
mais [Gb] sachez, tout de même, que si je serais, grâce à vous, j'ai [Bb] l'impression d'être
loin de ce monde de fous, car j'ai cri, quand je [Ebm] me plantais de riz, quand je tentais de
vivre, quand je [B] chantais pour [Bm] tous, à chaque petit [Gb] merci. _ _ _
_ _ _ _ _ [Bb] _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ [Ebm] _
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_ _ [B] _ _ _ _ _ [Bm] _
_ _ _ [Gb] _ _ _ _ _
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[Gb] _ _ _ [Ebm] _ _ _ _ _
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_ _ _ [Bm] _ _ _ [Gb] _ _
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_ _ _ _ _ _ _ [Ebm] _
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[B] _ _ _ _ [Gb] _ _ _ _
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_ _ [Bb] _ _ _ _ _ _
_ _ _ [Ebm] _ _ _ _ _
_ [Ab] _ _ [B] _ _ _ _ _
_ _ _ [Db] _ _ [Gb] _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ [Eb] _
_ _ _ _ _ [E] _ _ _
[G] _ _ _ _ _ [C] _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
[F] _ _ _ _ _ [Bb] _ _ _
[C] _ _ [Bb] _ _ _ _ [F] _ _
_ _ [B] _ _ _ _ _ _
[Gb] _ _ _ _ _ _ _ _
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_ _ _ _ _ _ [Gb] _ _
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[Bb] _ _ _ _ _ _ _ _
_ [Ebm] _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ [B] _ _ _ _ _
_ Bonsoir [Gb] Monsieur, Madame, aujourd'hui je te dis tout, je préfère [Bb] parler en dessus,
car je n'ai pas le vous, je [Ebm] trouve que ça vieillit, et moi je veux rester petit, un
gamin [B] pour la vie, sans mouchoir ni gris, [Gb] alors vas-y je te dis tout sur les drames
que je vis, oh [Bb] peux-tu dire en enfer, voilà où je suis, je [Ebm] voudrais m'en aller, mais
je vais aller loin de tout, de ce [B] monde de fou, et partir je ne sais où, sur [Gb] mes troncs
je m'écrase, et me brûle, [Bb] me détruit, j'ai honte de vivre dans ma bulle, alors je voudrais
[Ebm] partir, je ne sais pas où m'enfuir, laisse [B]-moi courir loin, laissant ce monde à bannir,
si Dieu dit que [Gb] le suicide est un péché, alors qu'il [Bb] discrètement je pars, il se
perd de tort, [Eb] qu'il me transforme en ce que les gens appellent le fou, et [B] peut-être qu'un
suicide irait dans le flot, alors [Gb] cher monsieur, aide-moi, et veux-moi, moi [Bb] je n'y arrive pas,
dans ce monde que je vois, dans ce [Ebm] monde où tu as la lutte, où l'homme n'est qu'une
brute, où la [B] mort _ que crée des putes, [Gb] je m'écrirai un mot, une planète, rien qu'à
moi, une planète [Bb] sur laquelle, je me sentirai moins, [Ebm] un renouveau s'enchaîne, dépourvu
de haine, une planète [B] sur laquelle, tu me donnerais des ailes, [Gb] un nouvel univers, où
les larmes, les peines, [F] ne seraient qu'un mythe, qu'une putain de légende urbaine,
[Ebm] alors laisse-moi partir, dis-moi comment m'enfuir à [B] cette question posée, laisse-moi, [Bm] _ _
[Ebm] la seule
chose que j'aime, [Gb] quant à création, l'homme, c'est qu'il [Bb] peut rêver, chaque nuit, [Bbm] comme
les mûmes, [Eb] qu'on soit vieux, jeune, vilain, gentil, ou encore moche, on a le droit de
[Ebm] rêver, sans même [B] rien dans les poches, m'en [Gb] dérange, un pleure de soi, je m'en dis, de
l'espoir, mais [Bb] la nuit irradie, ma dernière [Bbm] _ amorphine, parce que j'ai [Ebm] pas payé, pas assez,
mes [B] parents sont fortunés, me refusent la lune, puisque [Gb] certes, dans ce monde, on peut
vivre sans ses nombres, [Fm] que tes enfants ont [Bb] transformés, en [Bbm] bûches, en monstres, chaque
[Eb] mois, tu en gagnes, chaque jour, tu en perds, ta diction [B] est sévère, je rends la neuf,
quitte l'enfer, c'est vrai, [Gb] je m'avoue, peut-être vaincu, je l'avoue, je la suppose,
_ _ _ [Bb] _ _
des bouts d'envergure, [Ebm] un temps moindre, écherber toutes mes tripes, [B] dans ce son qui
compte la vie, d'un con _ pessimiste, je [Gb] _ _
_ _ _ _ _ _ _ [Bb] _
_ _ _ _ _ _ marche [Ebm] seule sur un chemin, qui s'en sort le lendemain,
[B] j'accélère, mais _ _ _ _ _ _ [Gb] chaque soir, je bois, je me tronche la gueule, pour [Bb] oublier qu'au fond,
le succès, ça renseigne, peu d'amis, [Ebm] peu de vie, je suis enfermée, sous vide, plein
d'ennemis, plus [B] de sorties, Dieu, j'ai besoin d'un gré, certains [Gb] mots, _ que j'appelle,
_ l'air, mais je gâte [Bb] en mer, car je suis jeune, et _ dans ma [Ebm] tête, c'est le portail, qu'a
éteint la lumière, maman, je n [B]'y vois plus l _ _ 'air, maman, c'est [Gb] le bonheur, quand tu
donnes à ton coeur, à [Bb] bouffer un amour, qui calme tes douleurs, tu [Ebm] opines son malheur,
mais au fond, c'est qu'un lard, dans cette [B] génération, qu'on remplit le monde, [Gb] on voit
le coeur briser, pas besoin de l'appeler, la [Bb] solitude débarque, elle vient vite te trouver,
elle n'attend [Ebm] pas que tu en ailles, elle entre sans traper, [B] tes coups de blouson pour
un cadre à rafraîchir, alors toi, qui [Gb] es-tu, au fond, le sais [Ebm]-tu, car moi, je ne sais [Bbm] plus
qui je suis, je suis [Ebm] perdue, mon ambition [Bb] est grande, [Ebm] dur à satisfaire, mon bonheur
a le goût [D] d'une serre en mer, alors [Gb] monsieur, madame, je l'avoue, je suis _ malheureuse, et
pourtant, [Db] je vis de même de [Eb] mortel, mais c'est plus fort que moi, il me manque encore
ça, [B] ça et ça, là-bas, toujours [Bb] plus, je suis comme ça, [Gb] alors j'espère qu'un jour,
je pourrai faire amour, à [Bb] une personne sincère, qui ne me jouera pas de tour, j'en ai vraiment
[Ebm] assez de donner, sans retour, je suis [B] saoulée, mais mes moifs, tant rien ne sort, c'est lourd,
mais [Gb] sachez, tout de même, que si je serais, grâce à vous, j'ai [Bb] l'impression d'être
loin de ce monde de fous, car j'ai cri, quand je [Ebm] me plantais de riz, quand je tentais de
vivre, quand je [B] chantais pour [Bm] tous, à chaque petit [Gb] merci. _ _ _
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