Chords for Lynda Lemay - Surtout Vous [Live]
Tempo:
87.95 bpm
Chords used:
G
A
Am
C
F
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Am] [F] [C] [G]
[Am] [G]
Il y a [C] des poètes qui [G] torturent les mots, qui menacent [Am] les lettres du bout de leurs mégots,
des [F] griffonneux, des cancres, des [Dm] fraudeurs de la prose,
qui bavent de toute leur encre pour ne pas dire [G] grand chose.
[F] Et [G] il y a vous,
oui, il n'y [C] a que vous,
[G] ignorant ceux qui trichent,
écrivant avec [Am] goût
d'immondes [A] perruches.
Mais en [Dm] tout cas, j'ai lu que de gens qui vous récitent,
et [G] quand ils vous imitent, ils vous arrivent pas au genou.
Oui, il n [C]'y a que vous,
[G] maîtrisant le crayon et [Gm] devenant du coup plus grand [A] que l'émotion,
[G] plus grand que les [Dm] pays qui plantent vos reflets au [B] creux de leur jardin,
qui embaument [G] l'esprit.
[C]
[G] [Em] [Am] [G]
Il y [C] a des chanteurs qui [G] souillent des coins de scènes,
quand les semaines [Am] qu'ils traînent lancent une temps mineure.
Ils [F] cachent leurs yeux vides,
se [D] tordent et puis se plaignent
d'une sourde voix qui saigne de longs [G] couplets liquides.
[F] Et il y [G] a vous,
oui, il [C] n'y a que vous, la [G] voix comme un récif,
l'esprit au [Am] garde-à-vous, le sourcil [A] expressif.
Vous tendez [Dm] vos yeux pleins aux foules qui se pâment,
et vous avez [G] soudain la [A] taille [G] de votre âme.
Vous êtes [C] plus grand que vous, vous [G] trônez comme un roi.
Les [Gm] mots sont des bijoux qui vous [A] tombent des doigts,
et on [Dm] les porte en nous, ce qui fait que voilà,
quand vous [B] rentrez chez vous, [Am] vous ne nous [G] quittez pas.
[C] Puis il y a des hommes, des [G] hommes par millions,
[F] qui tristement plafonnent dans leur [G] évolution.
[F] Et il y [G] a vous, [A]
[C#m] vous si [D] intemporel,
si grand [A] mais si fagile,
penché [Bm] comme un bon ciel au-dessus de [B] votre famille.
Il y [Em] a surtout vous, [G] ruisselant sous vos cils,
quand vous [A] frôlez la joue de votre petite fille.
Il y a [D] surtout vous, lucide [A] comme une sagesse,
gagnée [Am] par petits bouts, par [B] petites faiblesses,
par [Em] excès d'une jeunesse que vous [G] avez décrite,
avec tant [C#] de justesse que ça rend [F#] nostalgique.
Il y a [G] surtout vous, vingt ans et tant de [A] poussière,
[Em] que vos [D] cheveux du coup [Am] sont tous de blanc [B] couvert.
Il y [Em] a surtout vous, qui m'ouvrez votre cœur.
[G] Il y [C#m] a surtout [A] vous,
[B] [A]
pour mon plus grand bonheur.
[D] [A] [Bm]
[G] [D] [A] [Bm]
[G] [D]
[B]
[N]
[Am] [G]
Il y a [C] des poètes qui [G] torturent les mots, qui menacent [Am] les lettres du bout de leurs mégots,
des [F] griffonneux, des cancres, des [Dm] fraudeurs de la prose,
qui bavent de toute leur encre pour ne pas dire [G] grand chose.
[F] Et [G] il y a vous,
oui, il n'y [C] a que vous,
[G] ignorant ceux qui trichent,
écrivant avec [Am] goût
d'immondes [A] perruches.
Mais en [Dm] tout cas, j'ai lu que de gens qui vous récitent,
et [G] quand ils vous imitent, ils vous arrivent pas au genou.
Oui, il n [C]'y a que vous,
[G] maîtrisant le crayon et [Gm] devenant du coup plus grand [A] que l'émotion,
[G] plus grand que les [Dm] pays qui plantent vos reflets au [B] creux de leur jardin,
qui embaument [G] l'esprit.
[C]
[G] [Em] [Am] [G]
Il y [C] a des chanteurs qui [G] souillent des coins de scènes,
quand les semaines [Am] qu'ils traînent lancent une temps mineure.
Ils [F] cachent leurs yeux vides,
se [D] tordent et puis se plaignent
d'une sourde voix qui saigne de longs [G] couplets liquides.
[F] Et il y [G] a vous,
oui, il [C] n'y a que vous, la [G] voix comme un récif,
l'esprit au [Am] garde-à-vous, le sourcil [A] expressif.
Vous tendez [Dm] vos yeux pleins aux foules qui se pâment,
et vous avez [G] soudain la [A] taille [G] de votre âme.
Vous êtes [C] plus grand que vous, vous [G] trônez comme un roi.
Les [Gm] mots sont des bijoux qui vous [A] tombent des doigts,
et on [Dm] les porte en nous, ce qui fait que voilà,
quand vous [B] rentrez chez vous, [Am] vous ne nous [G] quittez pas.
[C] Puis il y a des hommes, des [G] hommes par millions,
[F] qui tristement plafonnent dans leur [G] évolution.
[F] Et il y [G] a vous, [A]
[C#m] vous si [D] intemporel,
si grand [A] mais si fagile,
penché [Bm] comme un bon ciel au-dessus de [B] votre famille.
Il y [Em] a surtout vous, [G] ruisselant sous vos cils,
quand vous [A] frôlez la joue de votre petite fille.
Il y a [D] surtout vous, lucide [A] comme une sagesse,
gagnée [Am] par petits bouts, par [B] petites faiblesses,
par [Em] excès d'une jeunesse que vous [G] avez décrite,
avec tant [C#] de justesse que ça rend [F#] nostalgique.
Il y a [G] surtout vous, vingt ans et tant de [A] poussière,
[Em] que vos [D] cheveux du coup [Am] sont tous de blanc [B] couvert.
Il y [Em] a surtout vous, qui m'ouvrez votre cœur.
[G] Il y [C#m] a surtout [A] vous,
[B] [A]
pour mon plus grand bonheur.
[D] [A] [Bm]
[G] [D] [A] [Bm]
[G] [D]
[B]
[N]
Key:
G
A
Am
C
F
G
A
Am
[Am] _ _ [F] _ _ [C] _ _ _ [G] _
_ _ [Am] _ _ [G] _ _ _ _
Il y a [C] des poètes qui [G] torturent les mots, qui menacent [Am] les lettres du bout de leurs mégots,
des [F] griffonneux, des cancres, des [Dm] fraudeurs de la prose,
qui bavent de toute leur encre pour ne pas dire [G] grand chose.
[F] Et [G] il y a vous,
oui, il n'y [C] a que vous,
[G] ignorant ceux qui trichent,
écrivant avec [Am] goût
d'immondes [A] perruches.
Mais en [Dm] tout cas, j'ai lu que de gens qui vous récitent,
et [G] quand ils vous imitent, ils vous arrivent pas au genou.
Oui, il n [C]'y a que vous,
[G] maîtrisant le crayon et [Gm] devenant du coup plus grand [A] que l'émotion,
[G] plus grand que les [Dm] pays qui plantent vos reflets au [B] creux de leur jardin,
qui embaument [G] l'esprit.
_ [C] _ _ _ _
[G] _ _ [Em] _ _ [Am] _ _ [G] _ _
Il y [C] a des chanteurs qui [G] souillent des coins de scènes,
quand les semaines [Am] qu'ils traînent lancent une temps mineure.
Ils [F] cachent leurs yeux vides,
se [D] tordent et puis se plaignent
d'une sourde voix qui saigne de longs [G] couplets liquides.
[F] Et il y [G] a vous, _ _
oui, il [C] n'y a que vous, la [G] voix comme un récif,
l'esprit au [Am] garde-à-vous, le sourcil [A] expressif.
Vous tendez [Dm] vos yeux pleins aux foules qui se pâment,
et vous avez [G] soudain la [A] taille [G] de votre âme.
Vous êtes [C] plus grand que vous, vous [G] trônez comme un roi.
Les [Gm] mots sont des bijoux qui vous [A] tombent des doigts,
et on [Dm] les porte en nous, ce qui fait que voilà,
quand vous [B] rentrez chez vous, [Am] vous ne nous [G] quittez pas.
_ _ [C] Puis il y a des hommes, des [G] hommes par millions,
_ [F] qui tristement plafonnent dans leur [G] évolution.
[F] Et il y [G] a vous, _ [A] _
_ [C#m] vous si [D] intemporel,
si grand [A] mais si fagile,
penché [Bm] comme un bon ciel au-dessus de [B] votre famille.
Il y [Em] a surtout vous, [G] ruisselant sous vos cils,
quand vous [A] frôlez la joue de votre petite fille.
Il y a [D] surtout vous, lucide [A] comme une sagesse,
gagnée [Am] par petits bouts, par [B] petites faiblesses,
par [Em] excès d'une jeunesse que vous [G] avez décrite,
avec tant [C#] de justesse que ça rend [F#] nostalgique.
Il y a [G] surtout vous, vingt ans et tant de [A] poussière,
[Em] que vos [D] cheveux du coup [Am] sont tous de blanc [B] couvert.
_ Il y [Em] a surtout vous, qui m'ouvrez votre cœur.
[G] Il y [C#m] a surtout [A] vous,
[B] _ [A] _
pour mon plus grand bonheur.
[D] _ _ _ _ [A] _ _ _ [Bm] _ _ _
[G] _ _ [D] _ _ _ [A] _ _ [Bm] _
_ _ [G] _ _ _ _ [D] _ _
_ _ _ _ _ [B] _ _ _
_ [N] _ _ _ _ _ _ _
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_ _ [Am] _ _ [G] _ _ _ _
Il y a [C] des poètes qui [G] torturent les mots, qui menacent [Am] les lettres du bout de leurs mégots,
des [F] griffonneux, des cancres, des [Dm] fraudeurs de la prose,
qui bavent de toute leur encre pour ne pas dire [G] grand chose.
[F] Et [G] il y a vous,
oui, il n'y [C] a que vous,
[G] ignorant ceux qui trichent,
écrivant avec [Am] goût
d'immondes [A] perruches.
Mais en [Dm] tout cas, j'ai lu que de gens qui vous récitent,
et [G] quand ils vous imitent, ils vous arrivent pas au genou.
Oui, il n [C]'y a que vous,
[G] maîtrisant le crayon et [Gm] devenant du coup plus grand [A] que l'émotion,
[G] plus grand que les [Dm] pays qui plantent vos reflets au [B] creux de leur jardin,
qui embaument [G] l'esprit.
_ [C] _ _ _ _
[G] _ _ [Em] _ _ [Am] _ _ [G] _ _
Il y [C] a des chanteurs qui [G] souillent des coins de scènes,
quand les semaines [Am] qu'ils traînent lancent une temps mineure.
Ils [F] cachent leurs yeux vides,
se [D] tordent et puis se plaignent
d'une sourde voix qui saigne de longs [G] couplets liquides.
[F] Et il y [G] a vous, _ _
oui, il [C] n'y a que vous, la [G] voix comme un récif,
l'esprit au [Am] garde-à-vous, le sourcil [A] expressif.
Vous tendez [Dm] vos yeux pleins aux foules qui se pâment,
et vous avez [G] soudain la [A] taille [G] de votre âme.
Vous êtes [C] plus grand que vous, vous [G] trônez comme un roi.
Les [Gm] mots sont des bijoux qui vous [A] tombent des doigts,
et on [Dm] les porte en nous, ce qui fait que voilà,
quand vous [B] rentrez chez vous, [Am] vous ne nous [G] quittez pas.
_ _ [C] Puis il y a des hommes, des [G] hommes par millions,
_ [F] qui tristement plafonnent dans leur [G] évolution.
[F] Et il y [G] a vous, _ [A] _
_ [C#m] vous si [D] intemporel,
si grand [A] mais si fagile,
penché [Bm] comme un bon ciel au-dessus de [B] votre famille.
Il y [Em] a surtout vous, [G] ruisselant sous vos cils,
quand vous [A] frôlez la joue de votre petite fille.
Il y a [D] surtout vous, lucide [A] comme une sagesse,
gagnée [Am] par petits bouts, par [B] petites faiblesses,
par [Em] excès d'une jeunesse que vous [G] avez décrite,
avec tant [C#] de justesse que ça rend [F#] nostalgique.
Il y a [G] surtout vous, vingt ans et tant de [A] poussière,
[Em] que vos [D] cheveux du coup [Am] sont tous de blanc [B] couvert.
_ Il y [Em] a surtout vous, qui m'ouvrez votre cœur.
[G] Il y [C#m] a surtout [A] vous,
[B] _ [A] _
pour mon plus grand bonheur.
[D] _ _ _ _ [A] _ _ _ [Bm] _ _ _
[G] _ _ [D] _ _ _ [A] _ _ [Bm] _
_ _ [G] _ _ _ _ [D] _ _
_ _ _ _ _ [B] _ _ _
_ [N] _ _ _ _ _ _ _
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