Chords for Natasha St Pier interprète Hallelujah au JT de 13H sur France 2 - 1 mars 2010

_ _ _ _ _ _ Elle n'avait que 18 ans lorsque le public français la découvert dans Notre-Dame de Paris.
Dix ans plus tard, la jeune Canadienne s'est affirmée.
Elle vient de démarrer une tournée plus intimiste avec juste sur scène un piano voix.
Elle défend aussi un album auquel elle a participé au profit de l'association AIDE.
Voici maintenant l'invité des [Dm] 5 dernières minutes. _ _ _ _ _ _
_ _ [N] Et cet invité c'est Natacha Saint-Pierre.
Bonjour Natacha.
On est ravie de vous recevoir ici sur le plateau du Trésor de France 2 pour ces deux actualités.
Cette tournée que vous avez démarrée début février, je crois, beaucoup plus intimiste.
On va en parler dans un instant.
Et puis cet album qui est au profit de l'association AIDE et donc pour la lutte contre le sida.
On revient d'abord, cet album s'intitule Message, on le voit.
On revient d'abord sur votre tournée.
Pourquoi est-ce que vous aviez envie de cette formation plus intimiste maintenant ?
J'ai déjà présenté quatre tournées en France, quatre très belles tournées, des gros spectacles avec beaucoup de gens. _
Là je sortais un best-of et j'avais envie de représenter ces chansons-là aux gens, mais différemment.
Pas de la même façon qu'ils les avaient entendues dans les quatre précédentes tournées.
Et nous est venue l'idée d'un piano-voix, d'un concert très intimiste.
Un peu comme si les gens venaient à la maison m'entendre jouer mes propres chansons comme ça avec un ami et ils sont là dans le salon.
Mais ça peut être risqué.
J'avais très très peur.
C'était la tournée qui m'a fait le plus peur parce que j'avais peur que ce soit clair, qu'il manque de rythme avec juste un piano.
Et finalement, dès la première, j'ai été assez surprise parce que le public embarque vraiment. _
Et _ ça bouge presque plus finalement que quand on avait tout le monde.
On dirait que les gens ne sont pas intimidés, ont envie de jouer avec nous et on s'amuse bien.
Alors vous parlez de cette tournée un petit peu comme un spectacle _ autobiographique.
Si je vous demandais de retenir trois chansons ou trois dates, je sais que ce n'est pas facile.
Trois chansons, il n'y aurait forcément que « Mon âme », celle avec laquelle est françaisment découverte.
« Tu trouveras » où je pense que les gens m'ont identifié un style, ont identifié ma voix.
Et « Un an, je ne ferai pas ma porte » qui reste une chanson magique.
Après, il y en a plein d'autres qui me tiennent à cœur.
Mais si je veux faire un amalgame de ce qui a touché le maximum de gens, je pense que c'est ces trois-là.
Est-ce que ça veut dire, parce que là on voit bien, votre concert est très différent des précédents.
Vous êtes très jeune encore.
Mais est-ce que ça veut dire qu'après dix ans de carrière, vous faites déjà un premier bilan, un premier virage peut-être ?
Comme j'ai commencé à chanter étant enfant, pour moi c'est un peu avec ce best-of-life, cette tournée-là,
je l'ai appelée « Acte 1 » parce que je clôt l'acte de mon enfance.
Tout ce que j'ai fait en tant qu'enfant, adolescent, très jeune adulte.
Et là, je vais entamer ma vie de femme et musicalement, ce sera aussi la même chose.
Je pense que comme notre vie perso _ influence énormément notre musique, ça va aller de pair.
Alors on vous invite aussi, parce qu'il y a la sortie du CD, de l'album « Message » au profit de l'association AIDES.
Pourquoi est-ce que c'était si important pour vous de vous impliquer dans la réalisation de cet album ?
Vous y chantez une chanson que vous avez chantée en direct sur le plateau.
C'était important parce que d'abord c'est un projet très intéressant où on a proposé aux artistes, pas de faire une reprise imposée,
mais on nous a proposé de chanter notre chanson préférée, français-anglais.
Et donc il y a ces artistes qui viennent chanter leur chanson préférée.
Je trouvais ça assez intéressant et que surtout l'association AIDES aide les gens déjà atteints, travaille beaucoup pour le dépistage.
Et ça c'est très important parce qu'à partir du moment où on dépiste les gens, on peut grandement diminuer la propagation.
Est-ce que vous avez le sentiment, vous qui êtes artiste, qu'en ce qui concerne la lutte contre le sida,
on fait passer plus de choses avec des chansons, avec de la musique qu'avec de grands messages ?
Il y a tellement de choses tristes et dramatiques qui se passent dans le monde
que je pense que si on arrive à sortir du positif de ces choses-là et de faire en sorte que la cause comme le sida,
comme le dépistage de cette maladie reste _ un sujet principal, mais qui ne va pas nous rendre morose et nous briser toute notre journée. _
C'est peut-être la bonne façon d'en faire parler.
En tout cas vous en parlez très bien.
Vous allez nous faire le plaisir d'interpréter justement la chanson que vous interprétez sur cet album.
Je vais vous demander de rejoindre votre guitariste Fabrice Rago et vous allez nous interpréter « Hallelujah » qui est sur cet album « Message ».
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_ _ _ _ [A] _ _ [D] « Hallelujah » de Fabrice Rago
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_ _ « Hallelujah _ _ [G] _ _
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de Fabrice Rago _ _ _ _ _ _
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[D] « Hallelujah _ _ [C] _ _ » de