Jeunesse Lève-Toi Chords by Saez
Tempo:
100 bpm
Chords used:
C
D
Bb
Dm
F
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
Comme un éclat de rire vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver [Bb] les braises,
Comme un parfum de saufre qui fait naître [C] la flamme.
Jeunesse, lève [D]-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui s'éteint,
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, mais qui tient [Bb] pas,
Contre la trace qui s'efface, d'un rien [C] de soi.
Jeunesse, [Dm] lève-toi !
Moi, contre ton épaule, je repars à la lutte,
Contre les gravités qui nous mènent [Bb] à la chute,
Pour faire du bruit encore, à réveiller [C] les morts,
Pour [F] redonner [Em] éclat à l'amoureux [D] dans toi,
Pour rendre au [Dm] crépuscule la beauté des auras,
Dis-moi qu'on brûle encore, dis-moi qu'on [Bb] brûle encore,
Cet espoir que tu tiens, parce que tu n [C]'en sais rien,
De [F] la faugue et du [C] feu que je vois dans [Dm] tes yeux.
Jeunesse, [D] lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure à chaque ruse à peine,
Comment on nous écarte, perfusion [Bb] dans la veine,
À l'ombre du faisceau, mon vieux, tu [C] m'auras plus,
Un mythe qui [D] conviendra à la crue.
Contre-courant toujours sont les contre [Dm]-cultures,
Au gré des émissions, leur gâle te [Bb] fit d'ordures,
Puisque s'en est sonné la mort du [C] politique,
L [F]'art aux rêves, aux [D] utopies,
Pour faire nos ADN un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière un peu plus [Bb] que du sable,
Dans ce triste pays, tu sais, [C] un jour ou l'autre,
[F] Faudra tuer le [C] père, faire [D] entendre ta voix.
Jeunesse, lève-toi !
Au clair de l'unin, tiens, toujours ça fait la [Dm] vague,
À l'âme, au creux des reins, faut aiguiser [Bb] la lame,
Puisqu'ici il n'y a que combat, [Dm] qu'on est [C] libre,
De [F] ton triste [C] sommeil, je t'en prie, [D] libère-toi,
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre,
Sont nos [Dm] amours toujours hors du [Bb] précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le [C] chant des morts ?
[F] Vois-tu pas le [C] ciel à la portée [D] des doigts ?
[F] Jeunesse, [D] lève-toi !
Comme un éclat de rire vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver [Bb] les presses,
Comme un parfum de soufre qui fait [C] naître la flamme,
Quand [F] plongée dans le [C] beau, on ne sait plus [D] où est l'âme,
[Dm] Jeunesse, [D] lève-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui nous part,
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, puis [Bb] qu'on enterre,
Contre la trace qui s'efface [C] derrière de soi,
Jeunesse, [Dm] lève-toi !
[D]
[Dm]
[Bb]
[C] [F] [C]
[D] Contre la vie qui vient, qui vient, puis qui [Dm]
nous part,
[Bb] Contre la trace qui s'efface derrière de soi,
Jeunesse,
[C] [F] [C]
[D] [F] [D]
lève
Comme un souffle à venir vient raviver [Bb] les braises,
Comme un parfum de saufre qui fait naître [C] la flamme.
Jeunesse, lève [D]-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui s'éteint,
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, mais qui tient [Bb] pas,
Contre la trace qui s'efface, d'un rien [C] de soi.
Jeunesse, [Dm] lève-toi !
Moi, contre ton épaule, je repars à la lutte,
Contre les gravités qui nous mènent [Bb] à la chute,
Pour faire du bruit encore, à réveiller [C] les morts,
Pour [F] redonner [Em] éclat à l'amoureux [D] dans toi,
Pour rendre au [Dm] crépuscule la beauté des auras,
Dis-moi qu'on brûle encore, dis-moi qu'on [Bb] brûle encore,
Cet espoir que tu tiens, parce que tu n [C]'en sais rien,
De [F] la faugue et du [C] feu que je vois dans [Dm] tes yeux.
Jeunesse, [D] lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure à chaque ruse à peine,
Comment on nous écarte, perfusion [Bb] dans la veine,
À l'ombre du faisceau, mon vieux, tu [C] m'auras plus,
Un mythe qui [D] conviendra à la crue.
Contre-courant toujours sont les contre [Dm]-cultures,
Au gré des émissions, leur gâle te [Bb] fit d'ordures,
Puisque s'en est sonné la mort du [C] politique,
L [F]'art aux rêves, aux [D] utopies,
Pour faire nos ADN un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière un peu plus [Bb] que du sable,
Dans ce triste pays, tu sais, [C] un jour ou l'autre,
[F] Faudra tuer le [C] père, faire [D] entendre ta voix.
Jeunesse, lève-toi !
Au clair de l'unin, tiens, toujours ça fait la [Dm] vague,
À l'âme, au creux des reins, faut aiguiser [Bb] la lame,
Puisqu'ici il n'y a que combat, [Dm] qu'on est [C] libre,
De [F] ton triste [C] sommeil, je t'en prie, [D] libère-toi,
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre,
Sont nos [Dm] amours toujours hors du [Bb] précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le [C] chant des morts ?
[F] Vois-tu pas le [C] ciel à la portée [D] des doigts ?
[F] Jeunesse, [D] lève-toi !
Comme un éclat de rire vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver [Bb] les presses,
Comme un parfum de soufre qui fait [C] naître la flamme,
Quand [F] plongée dans le [C] beau, on ne sait plus [D] où est l'âme,
[Dm] Jeunesse, [D] lève-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui nous part,
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, puis [Bb] qu'on enterre,
Contre la trace qui s'efface [C] derrière de soi,
Jeunesse, [Dm] lève-toi !
[D]
[Dm]
[Bb]
[C] [F] [C]
[D] Contre la vie qui vient, qui vient, puis qui [Dm]
nous part,
[Bb] Contre la trace qui s'efface derrière de soi,
Jeunesse,
[C] [F] [C]
[D] [F] [D]
lève
Key:
C
D
Bb
Dm
F
C
D
Bb
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_ _ _ Comme un éclat de rire vient consoler _ tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver [Bb] les braises,
Comme un parfum de saufre qui fait naître [C] la flamme.
_ Jeunesse, lève [D]-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui s'éteint,
_ Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, mais qui tient [Bb] pas,
_ Contre la trace qui s'efface, d'un rien [C] de soi.
_ _ Jeunesse, [Dm] lève-toi !
Moi, contre ton épaule, je repars à la lutte,
Contre les gravités qui nous mènent [Bb] à la chute,
Pour faire du bruit encore, à réveiller [C] les morts,
Pour [F] redonner [Em] éclat à l'amoureux [D] dans toi,
_ Pour rendre au [Dm] crépuscule la beauté des auras,
Dis-moi qu'on brûle encore, dis-moi qu'on [Bb] brûle encore,
Cet espoir que tu tiens, parce que tu n [C]'en sais rien,
De [F] la faugue et du [C] feu que je vois dans [Dm] tes yeux. _ _
Jeunesse, [D] lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure à chaque ruse à peine,
Comment on nous écarte, perfusion [Bb] dans la veine,
À l'ombre du faisceau, mon vieux, tu [C] m'auras plus,
Un mythe qui [D] conviendra à la crue.
_ Contre-courant toujours sont les contre [Dm]-cultures,
Au gré des émissions, leur gâle te [Bb] fit d'ordures,
_ Puisque s'en est sonné la mort du [C] politique,
L [F]'art aux rêves, aux [D] utopies,
Pour faire nos ADN un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière un peu plus [Bb] que du sable,
Dans ce triste pays, tu sais, [C] un jour ou l'autre,
_ [F] Faudra tuer le [C] père, faire [D] entendre ta voix.
_ _ Jeunesse, lève-toi !
Au clair de l'unin, tiens, toujours ça fait la [Dm] vague,
À l'âme, au creux des reins, faut aiguiser [Bb] la lame, _
Puisqu'ici il n'y a que combat, [Dm] qu'on est [C] libre,
De [F] ton triste [C] sommeil, je t'en prie, [D] libère-toi, _
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre,
Sont nos [Dm] amours toujours hors du [Bb] précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le [C] chant des morts ?
[F] Vois-tu pas le [C] ciel à la portée [D] des doigts ? _
[F] Jeunesse, [D] lève-toi !
Comme un éclat de rire vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver [Bb] les presses,
Comme un parfum de soufre qui fait [C] naître la flamme,
Quand [F] plongée dans le [C] beau, on ne sait plus [D] où est l'âme,
[Dm] _ _ Jeunesse, [D] lève-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui nous part,
_ Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, puis [Bb] qu'on enterre,
_ Contre la trace qui s'efface [C] derrière de soi,
_ _ Jeunesse, [Dm] lève-toi _ !
_ _ [D] _ _ _ _
_ _ _ _ _ [Dm] _ _ _
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[Bb] _ _ _ _ _ _ _ _
_ [C] _ _ _ [F] _ _ [C] _
[D] Contre la vie qui vient, qui vient, puis qui [Dm] _ _ _
_ nous part, _ _ _ _
[Bb] _ _ _ Contre la trace qui s'efface derrière de soi,
Jeunesse, _ _
[C] _ _ _ _ [F] _ _ [C] _ _
[D] _ _ _ _ [F] _ _ [D] _ _
_ lève _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ Comme un éclat de rire vient consoler _ tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver [Bb] les braises,
Comme un parfum de saufre qui fait naître [C] la flamme.
_ Jeunesse, lève [D]-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui s'éteint,
_ Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, mais qui tient [Bb] pas,
_ Contre la trace qui s'efface, d'un rien [C] de soi.
_ _ Jeunesse, [Dm] lève-toi !
Moi, contre ton épaule, je repars à la lutte,
Contre les gravités qui nous mènent [Bb] à la chute,
Pour faire du bruit encore, à réveiller [C] les morts,
Pour [F] redonner [Em] éclat à l'amoureux [D] dans toi,
_ Pour rendre au [Dm] crépuscule la beauté des auras,
Dis-moi qu'on brûle encore, dis-moi qu'on [Bb] brûle encore,
Cet espoir que tu tiens, parce que tu n [C]'en sais rien,
De [F] la faugue et du [C] feu que je vois dans [Dm] tes yeux. _ _
Jeunesse, [D] lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure à chaque ruse à peine,
Comment on nous écarte, perfusion [Bb] dans la veine,
À l'ombre du faisceau, mon vieux, tu [C] m'auras plus,
Un mythe qui [D] conviendra à la crue.
_ Contre-courant toujours sont les contre [Dm]-cultures,
Au gré des émissions, leur gâle te [Bb] fit d'ordures,
_ Puisque s'en est sonné la mort du [C] politique,
L [F]'art aux rêves, aux [D] utopies,
Pour faire nos ADN un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière un peu plus [Bb] que du sable,
Dans ce triste pays, tu sais, [C] un jour ou l'autre,
_ [F] Faudra tuer le [C] père, faire [D] entendre ta voix.
_ _ Jeunesse, lève-toi !
Au clair de l'unin, tiens, toujours ça fait la [Dm] vague,
À l'âme, au creux des reins, faut aiguiser [Bb] la lame, _
Puisqu'ici il n'y a que combat, [Dm] qu'on est [C] libre,
De [F] ton triste [C] sommeil, je t'en prie, [D] libère-toi, _
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre,
Sont nos [Dm] amours toujours hors du [Bb] précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le [C] chant des morts ?
[F] Vois-tu pas le [C] ciel à la portée [D] des doigts ? _
[F] Jeunesse, [D] lève-toi !
Comme un éclat de rire vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver [Bb] les presses,
Comme un parfum de soufre qui fait [C] naître la flamme,
Quand [F] plongée dans le [C] beau, on ne sait plus [D] où est l'âme,
[Dm] _ _ Jeunesse, [D] lève-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui nous part,
_ Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, puis [Bb] qu'on enterre,
_ Contre la trace qui s'efface [C] derrière de soi,
_ _ Jeunesse, [Dm] lève-toi _ !
_ _ [D] _ _ _ _
_ _ _ _ _ [Dm] _ _ _
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[Bb] _ _ _ _ _ _ _ _
_ [C] _ _ _ [F] _ _ [C] _
[D] Contre la vie qui vient, qui vient, puis qui [Dm] _ _ _
_ nous part, _ _ _ _
[Bb] _ _ _ Contre la trace qui s'efface derrière de soi,
Jeunesse, _ _
[C] _ _ _ _ [F] _ _ [C] _ _
[D] _ _ _ _ [F] _ _ [D] _ _
_ lève _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _