Jeunesse Lève-Toi Chords by Saez
Tempo:
99.8 bpm
Chords used:
C
D
Bb
F
Dm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[D]
Comme un éclat de rire vient consoler la tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver [Bb] les brasses,
Comme un parfum de saufre qui fait [C] naître la flamme,
Jeunesse, [D] lève-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui s'éteint,
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, mais qui tient [Bb] pas,
Contre la trace qui s'efface, t [C]'as rien de soi,
Jeunesse, [Dm] lève-toi !
Moi, contre ton épaule, je repars à la lutte,
Contre les gravités qui nous mènent [Bb] à la chute,
Pour faire du bruit encore, à réveiller [C] les morts,
Pour [F] redonner [C] éclat à l'amoureux [D] dans le coin,
Pour rendre au [Dm] crépuscule la beauté des auras,
Dis-moi qu'on brûle encore, dis-moi qu'on [Bb] brûle encore,
Cet espoir que tu tiens, parce que tu n'en [C] sais rien,
De [F] la fougue et du [C] faim que je vois dans [Dm] tes yeux,
[C] Jeunesse, [D] lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure à chaque ruse à peine,
Comment on nous écarte, perfusion [Bb] dans la veine,
À l'ombre du faisceau, mon vieux, tu [C] m'auras plu,
Un mythe, il conviendra [D] la crue,
Contre-courant toujours sont les [Dm] contre-cultures,
Au gré des émissions, leur gâte [Bb] fit d'ordures,
Puisque s'en est sonné la mort du [C] politique,
L'art [F] est au [C] rêve aux [D] utopies,
Pour faire nos ADN un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière un peu plus [Bb] que du sable,
Dans ce triste pays, tu sais, un [C] jour ou l'autre,
Faudra [F] tuer le [C] père, faire entendre [D] ta voix,
[F] [C] Jeunesse, [D] lève-toi !
En clair que l'unin tient, toujours s'a fait [Dm] la vague,
À l'âme, au creux des reins, faut aiguiser [Bb] la lame,
Puisqu'ici il n'y a que [D] combat, qu [C]'on est libre,
De ton [F] triste [C] sommeil, je t'en prie, [D] libère-toi,
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre,
Sont [Dm] nos amours toujours hors du [Bb] précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant [C] des morts,
Le vois [F]-tu pas le ciel [C] à la portée des [D] doigts,
[F] [C] Jeunesse, lève [D]-toi !
Comme un éclat de rire vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir vient [Bb] raviver les presses,
Comme un parfum de soufre qui fait naître [C] la flamme,
Quand [F] plongée dans le gros, [C] on sait plus où [D] est l'âme,
[F] [D] Jeunesse, lève-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui nous part,
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, [Bb] puis qu'on entart,
Contre la trace qui s'efface, [C] t'as rien de soi,
[F]
[C] [Dm] Jeunesse, lève-toi !
[D] Jeunesse, lève-toi
[Dm]
[Bb]
[C] [F]
[C] [D] !
[Dm] [Bb]
[C] [F]
[C] [D]
[C] [D]
Comme un éclat de rire vient consoler la tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver [Bb] les brasses,
Comme un parfum de saufre qui fait [C] naître la flamme,
Jeunesse, [D] lève-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui s'éteint,
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, mais qui tient [Bb] pas,
Contre la trace qui s'efface, t [C]'as rien de soi,
Jeunesse, [Dm] lève-toi !
Moi, contre ton épaule, je repars à la lutte,
Contre les gravités qui nous mènent [Bb] à la chute,
Pour faire du bruit encore, à réveiller [C] les morts,
Pour [F] redonner [C] éclat à l'amoureux [D] dans le coin,
Pour rendre au [Dm] crépuscule la beauté des auras,
Dis-moi qu'on brûle encore, dis-moi qu'on [Bb] brûle encore,
Cet espoir que tu tiens, parce que tu n'en [C] sais rien,
De [F] la fougue et du [C] faim que je vois dans [Dm] tes yeux,
[C] Jeunesse, [D] lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure à chaque ruse à peine,
Comment on nous écarte, perfusion [Bb] dans la veine,
À l'ombre du faisceau, mon vieux, tu [C] m'auras plu,
Un mythe, il conviendra [D] la crue,
Contre-courant toujours sont les [Dm] contre-cultures,
Au gré des émissions, leur gâte [Bb] fit d'ordures,
Puisque s'en est sonné la mort du [C] politique,
L'art [F] est au [C] rêve aux [D] utopies,
Pour faire nos ADN un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière un peu plus [Bb] que du sable,
Dans ce triste pays, tu sais, un [C] jour ou l'autre,
Faudra [F] tuer le [C] père, faire entendre [D] ta voix,
[F] [C] Jeunesse, [D] lève-toi !
En clair que l'unin tient, toujours s'a fait [Dm] la vague,
À l'âme, au creux des reins, faut aiguiser [Bb] la lame,
Puisqu'ici il n'y a que [D] combat, qu [C]'on est libre,
De ton [F] triste [C] sommeil, je t'en prie, [D] libère-toi,
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre,
Sont [Dm] nos amours toujours hors du [Bb] précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant [C] des morts,
Le vois [F]-tu pas le ciel [C] à la portée des [D] doigts,
[F] [C] Jeunesse, lève [D]-toi !
Comme un éclat de rire vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir vient [Bb] raviver les presses,
Comme un parfum de soufre qui fait naître [C] la flamme,
Quand [F] plongée dans le gros, [C] on sait plus où [D] est l'âme,
[F] [D] Jeunesse, lève-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui nous part,
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, [Bb] puis qu'on entart,
Contre la trace qui s'efface, [C] t'as rien de soi,
[F]
[C] [Dm] Jeunesse, lève-toi !
[D] Jeunesse, lève-toi
[Dm]
[Bb]
[C] [F]
[C] [D] !
[Dm] [Bb]
[C] [F]
[C] [D]
[C] [D]
Key:
C
D
Bb
F
Dm
C
D
Bb
[D] _ _ _ _ _ _ _
Comme un éclat de rire vient consoler la tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver [Bb] les brasses, _
Comme un parfum de saufre qui fait [C] naître la flamme, _ _
Jeunesse, [D] lève-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui s'éteint,
_ Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, mais qui tient [Bb] pas,
_ Contre la trace qui s'efface, t [C]'as rien de soi,
_ _ Jeunesse, [Dm] lève-toi !
Moi, contre ton épaule, je repars à la lutte,
_ Contre les gravités qui nous mènent [Bb] à la chute,
Pour faire du bruit encore, à réveiller [C] les morts,
Pour [F] redonner [C] éclat à l'amoureux [D] dans le coin,
_ Pour rendre au [Dm] crépuscule la beauté des auras,
_ Dis-moi qu'on brûle encore, dis-moi qu'on [Bb] brûle encore,
Cet espoir que tu tiens, parce que tu n'en [C] sais rien,
De [F] la fougue et du [C] faim que je vois dans [Dm] tes yeux,
_ _ [C] Jeunesse, [D] lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure à chaque ruse à peine,
Comment on nous écarte, perfusion [Bb] dans la veine,
À l'ombre du faisceau, mon vieux, tu [C] m'auras plu,
Un mythe, il conviendra [D] la crue,
Contre-courant toujours sont les [Dm] contre-cultures,
Au gré des émissions, leur gâte [Bb] fit d'ordures, _
Puisque s'en est sonné la mort du [C] politique,
L'art [F] est au [C] rêve aux [D] utopies,
Pour faire nos ADN un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière un peu plus [Bb] que du sable,
Dans ce triste pays, tu sais, un [C] jour ou l'autre,
Faudra [F] tuer le [C] père, faire entendre [D] ta voix,
_ _ [F] [C] Jeunesse, [D] lève-toi !
En clair que l'unin tient, toujours s'a fait [Dm] la vague,
À l'âme, au creux des reins, faut aiguiser [Bb] la lame,
Puisqu'ici il n'y a que [D] combat, qu [C]'on est libre,
De ton [F] triste [C] sommeil, je t'en prie, [D] libère-toi,
_ Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre,
Sont [Dm] nos amours toujours hors du [Bb] précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant [C] des morts,
Le vois [F]-tu pas le ciel [C] à la portée des [D] doigts,
_ _ _ [F] [C] Jeunesse, lève [D]-toi !
Comme un éclat de rire vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir vient [Bb] raviver les _ presses,
Comme un parfum de soufre qui fait naître [C] la flamme,
Quand [F] plongée dans le gros, [C] on sait plus où [D] est l'âme,
[F] _ [D] Jeunesse, lève-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui nous part,
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, [Bb] puis qu'on entart,
Contre la trace qui s'efface, [C] t'as rien de soi,
_ [F] _
[C] [Dm] Jeunesse, lève-toi !
_ [D] Jeunesse, lève-toi _ _ _ _ _ _ _
[Dm] _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ [Bb] _ _ _ _ _
_ _ _ [C] _ _ _ _ [F] _
_ [C] _ _ _ [D] _ _ !
_ _ _ _ _ _ _ _
[Dm] _ _ _ [Bb] _ _ _ _ _
_ _ _ [C] _ _ _ _ [F] _
_ [C] _ _ [D] _ _ _ _ _
[C] _ [D] _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
Comme un éclat de rire vient consoler la tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver [Bb] les brasses, _
Comme un parfum de saufre qui fait [C] naître la flamme, _ _
Jeunesse, [D] lève-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui s'éteint,
_ Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, mais qui tient [Bb] pas,
_ Contre la trace qui s'efface, t [C]'as rien de soi,
_ _ Jeunesse, [Dm] lève-toi !
Moi, contre ton épaule, je repars à la lutte,
_ Contre les gravités qui nous mènent [Bb] à la chute,
Pour faire du bruit encore, à réveiller [C] les morts,
Pour [F] redonner [C] éclat à l'amoureux [D] dans le coin,
_ Pour rendre au [Dm] crépuscule la beauté des auras,
_ Dis-moi qu'on brûle encore, dis-moi qu'on [Bb] brûle encore,
Cet espoir que tu tiens, parce que tu n'en [C] sais rien,
De [F] la fougue et du [C] faim que je vois dans [Dm] tes yeux,
_ _ [C] Jeunesse, [D] lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure à chaque ruse à peine,
Comment on nous écarte, perfusion [Bb] dans la veine,
À l'ombre du faisceau, mon vieux, tu [C] m'auras plu,
Un mythe, il conviendra [D] la crue,
Contre-courant toujours sont les [Dm] contre-cultures,
Au gré des émissions, leur gâte [Bb] fit d'ordures, _
Puisque s'en est sonné la mort du [C] politique,
L'art [F] est au [C] rêve aux [D] utopies,
Pour faire nos ADN un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière un peu plus [Bb] que du sable,
Dans ce triste pays, tu sais, un [C] jour ou l'autre,
Faudra [F] tuer le [C] père, faire entendre [D] ta voix,
_ _ [F] [C] Jeunesse, [D] lève-toi !
En clair que l'unin tient, toujours s'a fait [Dm] la vague,
À l'âme, au creux des reins, faut aiguiser [Bb] la lame,
Puisqu'ici il n'y a que [D] combat, qu [C]'on est libre,
De ton [F] triste [C] sommeil, je t'en prie, [D] libère-toi,
_ Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre,
Sont [Dm] nos amours toujours hors du [Bb] précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant [C] des morts,
Le vois [F]-tu pas le ciel [C] à la portée des [D] doigts,
_ _ _ [F] [C] Jeunesse, lève [D]-toi !
Comme un éclat de rire vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir vient [Bb] raviver les _ presses,
Comme un parfum de soufre qui fait naître [C] la flamme,
Quand [F] plongée dans le gros, [C] on sait plus où [D] est l'âme,
[F] _ [D] Jeunesse, lève-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui nous part,
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, [Bb] puis qu'on entart,
Contre la trace qui s'efface, [C] t'as rien de soi,
_ [F] _
[C] [Dm] Jeunesse, lève-toi !
_ [D] Jeunesse, lève-toi _ _ _ _ _ _ _
[Dm] _ _ _ _ _ _ _ _
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_ [C] _ _ _ [D] _ _ !
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[Dm] _ _ _ [Bb] _ _ _ _ _
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[C] _ [D] _ _ _ _ _ _ _
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