Chords for Putains vous m'aurez plus - Damien Saez
Tempo:
110.775 bpm
Chords used:
Am
C
G
A
D
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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Je ne suis pas un grand chanteur, mais je suis un grand chanteur.
[G] [Eb]
[A] Amie, prends ma lenteur, [E] car j'ai perdu ma femme.
[Am] Mon amour est parti, elle a jeté mon âme.
[C] A bouffer au néant, me laissant le cœur vide.
[G] Elle a fait de fertiles tes avarces la ride.
[Am] Elle aura où tout le monde, n'est rien, n'a pas raison.
A ce que l'amour fait, à ceux qui dans l'union
[C] Pensent, oublièrent un peu, qu'on est triste ici bas.
[G] Et qu'ici, solitude est le dernier [Am] repas.
Elle avait les yeux noirs, desquels on voit du bleu.
Qu'on prend pour l'océan, dans lequel on voit Dieu.
[C] Qui font toucher du beau, des doigts, des horizons.
[G] Mais toujours à la fin, on est seul au milieu.
[A] Des vagues de [Am] sanglots, et du sale dans la gorge.
Et du sale sur la plaie, de ce cœur tatoué.
[G] A son [C] nom, que l'on crie, au fond des vars de vin.
Se dire que la vie, oui, n'était qu'une putain.
[Am] Amie, regarde-moi, j'sais le cœur qui renverse.
La mémoire de ses yeux, qui me colle à la peau.
[C] Et dans les bars du port, je cherche magie noire.
[G] Pour délivrer mon corps, du sort qu'on m'a jeté.
[Am] Elle, le sourire des filles, non, ne me fait plus rien.
Et je commence à croire, que les hommes qui ont pris.
D'autres [C] hommes, pour amour, ont réglé la question.
[G] Après tout, dis-moi, qu'est-ce qu'elles ont de plus que nous [Am] ?
Si ce n'est cette force, qui fait qu'elles vous oublient.
Cette horreur au fond d'elles, ouais, ce monstre qui [C] crie.
Quand elles vous font la houle, tu sais, qu [G]'il n'y a qu'à la nature.
Qu'elles ne tiennent parole, [Am] à tous ceux dans la rue.
Qui sont faits prisonniers, j'ai l'âme solidaire.
Et puis ma [D] sympathie, à ces fous, qui comme moi.
[C] Finiront pas la nuit, [G] je vous le dis.
Putain, putain, vous m'aurez plu.
[Am]
[C]
[G]
[Am]
[C] Aaaaah
[G]
Au [Am] montage.
Je meurs, à l'instant, si l'envie me reprend.
De remettre ma tête, dans la gueule du serpent.
[C] De me laisser encore creuser, via le coeur.
[G] Pour un joli sourire au parfum de leurs fleurs,
[A] Marguerite où tu l'es, paie de roses à [Am] lilas.
Tu sais l'ami pour moi, elles ont tout ici [C]-bas,
Quand elles vous montrent le ciel, qu'elles vous disent qu'elles vous [G] aiment,
Elles ont toutes pour moi l'odeur des [Am] chrysanthèmes.
Adieu les gentils, adieu les gens pleurs,
Adieu les maudites qui ont pris ma lueur,
[C] Qui ont jeté dans le noir mes [N] yeux,
Et puis les tiens contre le chant du Seigneur,
Les [D] beautés qu'elles crèvent,
[Am] D'autres j'en peux plus de ces jeux qui nous tuent,
J'en ai marre de ce [A] cœur mon Dieu qui ne bat plus,
Et [C] qui toujours s'incline aux pieds de fausses blondes,
Qui nous mène à la cime, [D] qui nous traîne à la tombe.
[Am]
[A]
[C] Hé hé hé hé hé [G] hé hé hé hé hé [N] hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé
Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org
[G] [Eb]
[A] Amie, prends ma lenteur, [E] car j'ai perdu ma femme.
[Am] Mon amour est parti, elle a jeté mon âme.
[C] A bouffer au néant, me laissant le cœur vide.
[G] Elle a fait de fertiles tes avarces la ride.
[Am] Elle aura où tout le monde, n'est rien, n'a pas raison.
A ce que l'amour fait, à ceux qui dans l'union
[C] Pensent, oublièrent un peu, qu'on est triste ici bas.
[G] Et qu'ici, solitude est le dernier [Am] repas.
Elle avait les yeux noirs, desquels on voit du bleu.
Qu'on prend pour l'océan, dans lequel on voit Dieu.
[C] Qui font toucher du beau, des doigts, des horizons.
[G] Mais toujours à la fin, on est seul au milieu.
[A] Des vagues de [Am] sanglots, et du sale dans la gorge.
Et du sale sur la plaie, de ce cœur tatoué.
[G] A son [C] nom, que l'on crie, au fond des vars de vin.
Se dire que la vie, oui, n'était qu'une putain.
[Am] Amie, regarde-moi, j'sais le cœur qui renverse.
La mémoire de ses yeux, qui me colle à la peau.
[C] Et dans les bars du port, je cherche magie noire.
[G] Pour délivrer mon corps, du sort qu'on m'a jeté.
[Am] Elle, le sourire des filles, non, ne me fait plus rien.
Et je commence à croire, que les hommes qui ont pris.
D'autres [C] hommes, pour amour, ont réglé la question.
[G] Après tout, dis-moi, qu'est-ce qu'elles ont de plus que nous [Am] ?
Si ce n'est cette force, qui fait qu'elles vous oublient.
Cette horreur au fond d'elles, ouais, ce monstre qui [C] crie.
Quand elles vous font la houle, tu sais, qu [G]'il n'y a qu'à la nature.
Qu'elles ne tiennent parole, [Am] à tous ceux dans la rue.
Qui sont faits prisonniers, j'ai l'âme solidaire.
Et puis ma [D] sympathie, à ces fous, qui comme moi.
[C] Finiront pas la nuit, [G] je vous le dis.
Putain, putain, vous m'aurez plu.
[Am]
[C]
[G]
[Am]
[C] Aaaaah
[G]
Au [Am] montage.
Je meurs, à l'instant, si l'envie me reprend.
De remettre ma tête, dans la gueule du serpent.
[C] De me laisser encore creuser, via le coeur.
[G] Pour un joli sourire au parfum de leurs fleurs,
[A] Marguerite où tu l'es, paie de roses à [Am] lilas.
Tu sais l'ami pour moi, elles ont tout ici [C]-bas,
Quand elles vous montrent le ciel, qu'elles vous disent qu'elles vous [G] aiment,
Elles ont toutes pour moi l'odeur des [Am] chrysanthèmes.
Adieu les gentils, adieu les gens pleurs,
Adieu les maudites qui ont pris ma lueur,
[C] Qui ont jeté dans le noir mes [N] yeux,
Et puis les tiens contre le chant du Seigneur,
Les [D] beautés qu'elles crèvent,
[Am] D'autres j'en peux plus de ces jeux qui nous tuent,
J'en ai marre de ce [A] cœur mon Dieu qui ne bat plus,
Et [C] qui toujours s'incline aux pieds de fausses blondes,
Qui nous mène à la cime, [D] qui nous traîne à la tombe.
[Am]
[A]
[C] Hé hé hé hé hé [G] hé hé hé hé hé [N] hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé hé
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Key:
Am
C
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A
D
Am
C
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Je ne suis pas un grand chanteur, mais je suis un grand chanteur. _ _ _
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[A] Amie, prends ma lenteur, [E] car j'ai perdu ma femme.
[Am] Mon amour est parti, elle a jeté mon âme.
[C] A bouffer au néant, me laissant le cœur vide.
[G] Elle a fait de fertiles tes avarces la ride.
[Am] Elle aura où tout le monde, n'est rien, n'a pas raison.
A ce que l'amour fait, à ceux qui dans l'union
[C] Pensent, oublièrent un peu, qu'on est triste ici bas.
[G] Et qu'ici, _ solitude est le dernier [Am] repas.
Elle avait les yeux noirs, desquels on voit du bleu.
Qu'on prend pour l'océan, dans lequel on voit Dieu.
[C] Qui font toucher du beau, des doigts, des horizons.
[G] Mais toujours à la fin, on est seul au milieu.
[A] Des vagues de [Am] sanglots, et du sale dans la gorge.
Et du sale sur la plaie, de ce cœur tatoué.
[G] A son [C] nom, que l'on crie, au fond des vars de vin.
Se dire que la vie, oui, n'était qu'une putain.
[Am] Amie, regarde-moi, j'sais le cœur qui renverse.
La mémoire de ses yeux, qui me colle à la peau.
[C] Et dans les bars du port, je cherche magie noire.
[G] Pour délivrer mon corps, du sort qu'on m'a jeté.
[Am] Elle, le sourire des filles, non, ne me fait plus rien.
Et je commence à croire, que les hommes qui ont pris.
D'autres [C] hommes, pour amour, ont réglé la question.
[G] Après tout, dis-moi, qu'est-ce qu'elles ont de plus que nous [Am] ?
Si ce n'est cette force, qui fait qu'elles vous oublient.
Cette horreur au fond d'elles, ouais, ce monstre qui [C] crie.
Quand elles vous font la houle, tu sais, qu [G]'il n'y a qu'à la nature.
Qu'elles ne tiennent parole, [Am] à tous ceux dans la rue.
Qui sont faits prisonniers, j'ai l'âme _ solidaire.
Et puis ma [D] sympathie, à ces fous, qui comme moi.
[C] Finiront pas la nuit, [G] je vous le dis.
Putain, putain, vous m'aurez plu.
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[C] Aaaaah_
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_ _ _ _ Au [Am] montage.
Je meurs, à l'instant, si l'envie me reprend.
De remettre ma tête, dans la gueule du serpent.
[C] De me laisser encore creuser, via le coeur.
[G] Pour un joli sourire au parfum de leurs fleurs,
[A] Marguerite où tu l'es, paie de roses à [Am] lilas.
Tu sais l'ami pour moi, elles ont tout ici [C]-bas,
Quand elles vous montrent le ciel, qu'elles vous disent qu'elles vous [G] aiment,
Elles ont toutes pour moi l'odeur des [Am] chrysanthèmes.
Adieu les gentils, adieu les gens pleurs,
Adieu les maudites qui ont pris ma lueur,
[C] Qui ont jeté dans le noir mes [N] yeux,
Et puis les tiens contre le chant du Seigneur,
Les [D] beautés qu'elles crèvent,
[Am] D'autres j'en peux plus de ces jeux qui nous tuent,
J'en ai marre de ce [A] cœur mon Dieu qui ne bat plus,
Et [C] qui toujours s'incline aux pieds de fausses blondes,
Qui nous mène à la cime, [D] qui nous traîne à la tombe.
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[A] Amie, prends ma lenteur, [E] car j'ai perdu ma femme.
[Am] Mon amour est parti, elle a jeté mon âme.
[C] A bouffer au néant, me laissant le cœur vide.
[G] Elle a fait de fertiles tes avarces la ride.
[Am] Elle aura où tout le monde, n'est rien, n'a pas raison.
A ce que l'amour fait, à ceux qui dans l'union
[C] Pensent, oublièrent un peu, qu'on est triste ici bas.
[G] Et qu'ici, _ solitude est le dernier [Am] repas.
Elle avait les yeux noirs, desquels on voit du bleu.
Qu'on prend pour l'océan, dans lequel on voit Dieu.
[C] Qui font toucher du beau, des doigts, des horizons.
[G] Mais toujours à la fin, on est seul au milieu.
[A] Des vagues de [Am] sanglots, et du sale dans la gorge.
Et du sale sur la plaie, de ce cœur tatoué.
[G] A son [C] nom, que l'on crie, au fond des vars de vin.
Se dire que la vie, oui, n'était qu'une putain.
[Am] Amie, regarde-moi, j'sais le cœur qui renverse.
La mémoire de ses yeux, qui me colle à la peau.
[C] Et dans les bars du port, je cherche magie noire.
[G] Pour délivrer mon corps, du sort qu'on m'a jeté.
[Am] Elle, le sourire des filles, non, ne me fait plus rien.
Et je commence à croire, que les hommes qui ont pris.
D'autres [C] hommes, pour amour, ont réglé la question.
[G] Après tout, dis-moi, qu'est-ce qu'elles ont de plus que nous [Am] ?
Si ce n'est cette force, qui fait qu'elles vous oublient.
Cette horreur au fond d'elles, ouais, ce monstre qui [C] crie.
Quand elles vous font la houle, tu sais, qu [G]'il n'y a qu'à la nature.
Qu'elles ne tiennent parole, [Am] à tous ceux dans la rue.
Qui sont faits prisonniers, j'ai l'âme _ solidaire.
Et puis ma [D] sympathie, à ces fous, qui comme moi.
[C] Finiront pas la nuit, [G] je vous le dis.
Putain, putain, vous m'aurez plu.
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[C] Aaaaah_
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_ _ _ _ Au [Am] montage.
Je meurs, à l'instant, si l'envie me reprend.
De remettre ma tête, dans la gueule du serpent.
[C] De me laisser encore creuser, via le coeur.
[G] Pour un joli sourire au parfum de leurs fleurs,
[A] Marguerite où tu l'es, paie de roses à [Am] lilas.
Tu sais l'ami pour moi, elles ont tout ici [C]-bas,
Quand elles vous montrent le ciel, qu'elles vous disent qu'elles vous [G] aiment,
Elles ont toutes pour moi l'odeur des [Am] chrysanthèmes.
Adieu les gentils, adieu les gens pleurs,
Adieu les maudites qui ont pris ma lueur,
[C] Qui ont jeté dans le noir mes [N] yeux,
Et puis les tiens contre le chant du Seigneur,
Les [D] beautés qu'elles crèvent,
[Am] D'autres j'en peux plus de ces jeux qui nous tuent,
J'en ai marre de ce [A] cœur mon Dieu qui ne bat plus,
Et [C] qui toujours s'incline aux pieds de fausses blondes,
Qui nous mène à la cime, [D] qui nous traîne à la tombe.
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