Chords for Damien Saez - Jeunesse lève-toi (version courte)
Tempo:
104.7 bpm
Chords used:
C
Bb
D
Dm
F
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
Comme un éclat de rire Vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir Vient raviver les [Bb] brasses,
Comme un parfum de saufre Qui fait naître la [C] flamme,
Jeunesse, lève [D]-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui s'éteint,
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, mais qui tient [Bb] pas,
Contre la trace qui s'efface derrière [C] toi,
Jeunesse, [D] lève-toi !
Moi, contre ton épaule, je [Dm] repars à la lutte,
Contre les gravités qui nous mènent à la [Bb] chute,
Pour faire du bruit encore, à réveiller [C] les morts,
Pour redonner [Em] éclat à l'amoureux dans le [D] toit,
Pour rendre crebuscules la [Dm] beauté des aurores,
Dis-moi qu'on brûle encore, dis-moi que [Bb] brûle encore
Cet espoir que tu tiens, parce que tu n'en sais [C] rien,
De la [F] fougue et du feu [C] que je vois dans tes yeux,
[Dm]
Jeunesse, [D] lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure à chaque ruse à peine,
Comment on nous égare, perfusion [Bb] dans la veine,
À l'ombre du faisceau, mon vieux, [C] tu m'auras plus,
Ta mythique conviendra à [D] la crue,
Contre-courant toujours sont les contre [Dm]-cultures,
Au gré des émissions, l'arcale [Bb] de vie d'ordure,
Puisque s'en est sonné la mort du [C] politique,
L'art est aux rêves, aux [D] utopies,
Pour faire nos ADN un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière un peu plus que [Bb] du sable,
Dans ce triste pays, tu sais, [C] un jour ou l'autre,
Faudra tuer le père, faire entendre ta [D] voix,
Jeunesse, lève-toi !
Au clair de l'unin, tiens, toujours s'a fait la [Dm] vague,
À l'âme, au creux des reins, faut aiguiser la [Bb] lame,
Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu [C]'on est libre,
Ton triste sommeil, je t'en prie, [D] libère-toi,
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre,
Sont nos amours [Dm] toujours hors du [Bb] précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des [C] morts ?
Le vois [F]-tu pas le ciel [C] à la portée des [D] doigts ?
Jeunesse, lève-toi !
Comme un éclat de rire vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver les [Bb] presses,
Comme un parfum de soufre qui fait [C] naître la flamme,
Quand plongée [F] dans le gaufre, [C] on ne sait plus où elle est [Dm] là.
Jeunesse, [D] lève-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui nous part,
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, puis qu'on [Bb] enterre,
Contre la grâce qui s'efface [C] derrière de soi.
Jeunesse, [Dm] lève-toi !
Jeunesse, lève [D]-toi !
Comme un souffle à venir Vient raviver les [Bb] brasses,
Comme un parfum de saufre Qui fait naître la [C] flamme,
Jeunesse, lève [D]-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui s'éteint,
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, mais qui tient [Bb] pas,
Contre la trace qui s'efface derrière [C] toi,
Jeunesse, [D] lève-toi !
Moi, contre ton épaule, je [Dm] repars à la lutte,
Contre les gravités qui nous mènent à la [Bb] chute,
Pour faire du bruit encore, à réveiller [C] les morts,
Pour redonner [Em] éclat à l'amoureux dans le [D] toit,
Pour rendre crebuscules la [Dm] beauté des aurores,
Dis-moi qu'on brûle encore, dis-moi que [Bb] brûle encore
Cet espoir que tu tiens, parce que tu n'en sais [C] rien,
De la [F] fougue et du feu [C] que je vois dans tes yeux,
[Dm]
Jeunesse, [D] lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure à chaque ruse à peine,
Comment on nous égare, perfusion [Bb] dans la veine,
À l'ombre du faisceau, mon vieux, [C] tu m'auras plus,
Ta mythique conviendra à [D] la crue,
Contre-courant toujours sont les contre [Dm]-cultures,
Au gré des émissions, l'arcale [Bb] de vie d'ordure,
Puisque s'en est sonné la mort du [C] politique,
L'art est aux rêves, aux [D] utopies,
Pour faire nos ADN un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière un peu plus que [Bb] du sable,
Dans ce triste pays, tu sais, [C] un jour ou l'autre,
Faudra tuer le père, faire entendre ta [D] voix,
Jeunesse, lève-toi !
Au clair de l'unin, tiens, toujours s'a fait la [Dm] vague,
À l'âme, au creux des reins, faut aiguiser la [Bb] lame,
Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu [C]'on est libre,
Ton triste sommeil, je t'en prie, [D] libère-toi,
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre,
Sont nos amours [Dm] toujours hors du [Bb] précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des [C] morts ?
Le vois [F]-tu pas le ciel [C] à la portée des [D] doigts ?
Jeunesse, lève-toi !
Comme un éclat de rire vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver les [Bb] presses,
Comme un parfum de soufre qui fait [C] naître la flamme,
Quand plongée [F] dans le gaufre, [C] on ne sait plus où elle est [Dm] là.
Jeunesse, [D] lève-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui nous part,
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, puis qu'on [Bb] enterre,
Contre la grâce qui s'efface [C] derrière de soi.
Jeunesse, [Dm] lève-toi !
Jeunesse, lève [D]-toi !
Key:
C
Bb
D
Dm
F
C
Bb
D
_ _ _ _ _ _ _
Comme un éclat de rire Vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir Vient raviver les [Bb] brasses,
Comme un parfum de saufre Qui fait naître la [C] flamme, _
_ _ Jeunesse, lève [D]-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui s'éteint, _
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, mais qui tient [Bb] pas, _
Contre la trace qui s'efface derrière [C] toi, _
_ Jeunesse, [D] lève-toi !
Moi, contre ton épaule, je [Dm] repars à la lutte,
_ Contre les gravités qui nous mènent à la [Bb] chute,
_ Pour faire du bruit encore, à réveiller [C] les morts,
Pour redonner [Em] éclat à l'amoureux dans le [D] toit, _
Pour rendre crebuscules la [Dm] beauté des aurores,
Dis-moi qu'on brûle encore, dis-moi que [Bb] brûle encore _
Cet espoir que tu tiens, parce que tu n'en sais [C] rien, _
De la [F] fougue et du feu [C] que je vois dans tes yeux,
[Dm] _
_ _ Jeunesse, [D] lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure à chaque ruse à peine,
Comment on nous égare, perfusion [Bb] dans la veine,
À l'ombre du faisceau, mon vieux, [C] tu m'auras plus,
Ta mythique conviendra à [D] la crue,
Contre-courant toujours sont les contre [Dm]-cultures,
Au gré des émissions, l'arcale [Bb] de vie d'ordure, _
Puisque s'en est sonné la mort du [C] politique,
L'art est aux rêves, aux [D] utopies,
Pour faire nos ADN un peu plus équitables,
_ Pour faire de la poussière un peu plus que [Bb] du sable,
Dans ce triste pays, tu sais, [C] un jour ou l'autre, _
Faudra tuer le père, faire entendre ta [D] voix, _ _
_ Jeunesse, lève-toi !
Au clair de l'unin, tiens, toujours s'a fait la [Dm] vague,
À l'âme, au creux des reins, faut aiguiser la [Bb] lame,
_ Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu [C]'on est libre,
Ton triste sommeil, je t'en prie, [D] libère-toi, _
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre,
Sont nos amours [Dm] toujours hors du [Bb] précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des [C] morts ?
Le vois [F]-tu pas le ciel [C] à la portée des [D] doigts ?
_ Jeunesse, lève-toi !
Comme un éclat de rire vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver les [Bb] presses,
Comme un parfum de soufre qui fait [C] naître la flamme,
Quand plongée [F] dans le gaufre, [C] on ne sait plus où elle est [Dm] là.
_ _ Jeunesse, [D] lève-toi ! _
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui nous part, _
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, puis qu'on [Bb] enterre,
Contre la grâce qui s'efface [C] derrière de soi. _
_ Jeunesse, [Dm] lève-toi ! _ _ _
Jeunesse, lève [D]-toi ! _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
Comme un éclat de rire Vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir Vient raviver les [Bb] brasses,
Comme un parfum de saufre Qui fait naître la [C] flamme, _
_ _ Jeunesse, lève [D]-toi !
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui s'éteint, _
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, mais qui tient [Bb] pas, _
Contre la trace qui s'efface derrière [C] toi, _
_ Jeunesse, [D] lève-toi !
Moi, contre ton épaule, je [Dm] repars à la lutte,
_ Contre les gravités qui nous mènent à la [Bb] chute,
_ Pour faire du bruit encore, à réveiller [C] les morts,
Pour redonner [Em] éclat à l'amoureux dans le [D] toit, _
Pour rendre crebuscules la [Dm] beauté des aurores,
Dis-moi qu'on brûle encore, dis-moi que [Bb] brûle encore _
Cet espoir que tu tiens, parce que tu n'en sais [C] rien, _
De la [F] fougue et du feu [C] que je vois dans tes yeux,
[Dm] _
_ _ Jeunesse, [D] lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure à chaque ruse à peine,
Comment on nous égare, perfusion [Bb] dans la veine,
À l'ombre du faisceau, mon vieux, [C] tu m'auras plus,
Ta mythique conviendra à [D] la crue,
Contre-courant toujours sont les contre [Dm]-cultures,
Au gré des émissions, l'arcale [Bb] de vie d'ordure, _
Puisque s'en est sonné la mort du [C] politique,
L'art est aux rêves, aux [D] utopies,
Pour faire nos ADN un peu plus équitables,
_ Pour faire de la poussière un peu plus que [Bb] du sable,
Dans ce triste pays, tu sais, [C] un jour ou l'autre, _
Faudra tuer le père, faire entendre ta [D] voix, _ _
_ Jeunesse, lève-toi !
Au clair de l'unin, tiens, toujours s'a fait la [Dm] vague,
À l'âme, au creux des reins, faut aiguiser la [Bb] lame,
_ Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu [C]'on est libre,
Ton triste sommeil, je t'en prie, [D] libère-toi, _
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre,
Sont nos amours [Dm] toujours hors du [Bb] précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des [C] morts ?
Le vois [F]-tu pas le ciel [C] à la portée des [D] doigts ?
_ Jeunesse, lève-toi !
Comme un éclat de rire vient consoler tristesse,
Comme un souffle à venir vient raviver les [Bb] presses,
Comme un parfum de soufre qui fait [C] naître la flamme,
Quand plongée [F] dans le gaufre, [C] on ne sait plus où elle est [Dm] là.
_ _ Jeunesse, [D] lève-toi ! _
Contre la vie qui va, qui vient, puis qui nous part, _
Contre l'amour qu'on prend, qu'on tient, puis qu'on [Bb] enterre,
Contre la grâce qui s'efface [C] derrière de soi. _
_ Jeunesse, [Dm] lève-toi ! _ _ _
Jeunesse, lève [D]-toi ! _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _