Chords for Saez - Putains vous m'aurez plus
Tempo:
71.925 bpm
Chords used:
Db
Ab
Bbm
Bb
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Bbm]
[Db] [Ab]
[Bbm] Amie, prends ma lanterne, car j'ai perdu ma flamme,
Mon amour est parti, elle a jeté mon [Db] âme, A bouffer au néant, me laissant le cœur
[Ab] vide, Elle a fait des fertiles, des averses [Bbm] larides,
Et l'horreur du monde n'est rien en comparaison, A ce que l'amour fait, à ceux qui dans l [Db]'union
Pensent oublier un peu qu'on est triste ici [Ab]-bas, Et qu'ici, solitude est le dernier [Bbm] repas,
Elle avait les yeux noirs, desquels on voit du bleu,
Qu'on prend pour l'océan, dans lesquels on voit [Db] Dieu,
Qui font toucher du beau, des doigts, les [Ab] horizons, Mais toujours à la fin, on est seul au [Bbm] milieu,
Des vagues de sanglots, et du sel dans la gorge,
Et du sel sur la plaie de ce cœur [Db] tatoué, A son nom que l'on crie au fond des vars de
[Ab] vin, A se dire que la vie, oui, n'est qu'une [Bbm] putain.
Ami, regarde-moi, j'ai le cœur qui renverse, La mémoire de ces yeux qui me collent à
la [Db] peau, Et dans les bars du port, je cherche ma
[Ab] ginoire, Pour délivrer mon corps du sort qu'on m'a
[Bbm] jeté, Et le sourire des filles, non, ne me fait
plus rien, Et je commence à croire que les hommes qui
[Db] ont pris d'autres hommes pour amour, Ont réglé la [Ab] question, après tout,
Dis-moi, qu'est-ce qu'elles ont de mieux [Bbm] que nous,
Si ce n'est cette force qui fait qu'elles vous oublient,
Cette horreur au fond d'elles, ou à ce monstre qui [Db] crie,
Quand elles vous font l'amour, tu sais qu'elles n'oublient pas,
Qu'il n'y [Ab] a qu'à la nature qu'elles ne tiennent [Bbm] parole,
A ceux dans leurs bras qui sont faits prisonniers, J'ai l'âme solidaire, et puis ma [Db] sympathie
à ces fous, Qui comme moi, finiront pas la nuit,
[Ab] Je vous le dis, putain, putain, vous m'aurez [Bb] plu,
[Db] [Ab]
[Bb]
[Db] [Ab]
[Bbm] Je meurs à l'instant, si l'envie me reprend, De remettre ma tête dans la gueule du [Db] serpent,
Que me laissèrent encore, récipier le [Ab] coeur, Pour un joli sourire, au parfum de leurs
[Bbm] fleurs, Marguerite, où tu l'es, peine rose à lilas,
Tu sais, l'ami pour moi, elles vont toutes d'ici [Db] bas,
Quand elles vous montrent ciel, qu'elles vous disent qu'elles vous [Ab] aiment,
Elles vont toutes pour moi, l'odeur des [Bbm] chrysanthèmes,
Adieu les gentils, adieu les gens pleurs, Adieu les maudits, qui ont pris ma [Db] lueur,
Pour jeter dans le noir mes yeux, et puis les [Ab] tiens,
Contre le chant du cygne, les beautés qu'elles [Bbm] craquent,
J'en peux plus de ces jeux qui nous tuent, J'en ai marre de ce peur, mon Dieu, qu'il
va [Db] bleu, Et toujours s'incline au pied de fausses
[Ab] blondes, Qui nous mènent à la sous-cime, qui nous
traînent à la [Bbm] tombe,
Qui nous mènent à la tombe, qui nous traînent à [Db] la tombe,
[Ab] [Bbm]
[Db] [Ab]
[Bbm]
[Db] [Ab]
[Bbm]
[Db] [Ab]
[Bbm]
[Db] [Ab]
[Bbm]
[Db] [Ab]
[Bbm] Amie, prends ma lanterne, car j'ai perdu ma flamme,
Mon amour est parti, elle a jeté mon [Db] âme, A bouffer au néant, me laissant le cœur
[Ab] vide, Elle a fait des fertiles, des averses [Bbm] larides,
Et l'horreur du monde n'est rien en comparaison, A ce que l'amour fait, à ceux qui dans l [Db]'union
Pensent oublier un peu qu'on est triste ici [Ab]-bas, Et qu'ici, solitude est le dernier [Bbm] repas,
Elle avait les yeux noirs, desquels on voit du bleu,
Qu'on prend pour l'océan, dans lesquels on voit [Db] Dieu,
Qui font toucher du beau, des doigts, les [Ab] horizons, Mais toujours à la fin, on est seul au [Bbm] milieu,
Des vagues de sanglots, et du sel dans la gorge,
Et du sel sur la plaie de ce cœur [Db] tatoué, A son nom que l'on crie au fond des vars de
[Ab] vin, A se dire que la vie, oui, n'est qu'une [Bbm] putain.
Ami, regarde-moi, j'ai le cœur qui renverse, La mémoire de ces yeux qui me collent à
la [Db] peau, Et dans les bars du port, je cherche ma
[Ab] ginoire, Pour délivrer mon corps du sort qu'on m'a
[Bbm] jeté, Et le sourire des filles, non, ne me fait
plus rien, Et je commence à croire que les hommes qui
[Db] ont pris d'autres hommes pour amour, Ont réglé la [Ab] question, après tout,
Dis-moi, qu'est-ce qu'elles ont de mieux [Bbm] que nous,
Si ce n'est cette force qui fait qu'elles vous oublient,
Cette horreur au fond d'elles, ou à ce monstre qui [Db] crie,
Quand elles vous font l'amour, tu sais qu'elles n'oublient pas,
Qu'il n'y [Ab] a qu'à la nature qu'elles ne tiennent [Bbm] parole,
A ceux dans leurs bras qui sont faits prisonniers, J'ai l'âme solidaire, et puis ma [Db] sympathie
à ces fous, Qui comme moi, finiront pas la nuit,
[Ab] Je vous le dis, putain, putain, vous m'aurez [Bb] plu,
[Db] [Ab]
[Bb]
[Db] [Ab]
[Bbm] Je meurs à l'instant, si l'envie me reprend, De remettre ma tête dans la gueule du [Db] serpent,
Que me laissèrent encore, récipier le [Ab] coeur, Pour un joli sourire, au parfum de leurs
[Bbm] fleurs, Marguerite, où tu l'es, peine rose à lilas,
Tu sais, l'ami pour moi, elles vont toutes d'ici [Db] bas,
Quand elles vous montrent ciel, qu'elles vous disent qu'elles vous [Ab] aiment,
Elles vont toutes pour moi, l'odeur des [Bbm] chrysanthèmes,
Adieu les gentils, adieu les gens pleurs, Adieu les maudits, qui ont pris ma [Db] lueur,
Pour jeter dans le noir mes yeux, et puis les [Ab] tiens,
Contre le chant du cygne, les beautés qu'elles [Bbm] craquent,
J'en peux plus de ces jeux qui nous tuent, J'en ai marre de ce peur, mon Dieu, qu'il
va [Db] bleu, Et toujours s'incline au pied de fausses
[Ab] blondes, Qui nous mènent à la sous-cime, qui nous
traînent à la [Bbm] tombe,
Qui nous mènent à la tombe, qui nous traînent à [Db] la tombe,
[Ab] [Bbm]
[Db] [Ab]
[Bbm]
[Db] [Ab]
[Bbm]
[Db] [Ab]
[Bbm]
[Db] [Ab]
[Bbm]
Key:
Db
Ab
Bbm
Bb
Db
Ab
Bbm
Bb
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[Db] _ _ _ _ [Ab] _ _ _ _
[Bbm] Amie, prends ma lanterne, car j'ai perdu ma flamme,
Mon amour est parti, elle a jeté mon [Db] âme, A bouffer au néant, me laissant le cœur
[Ab] vide, Elle a fait des fertiles, des averses [Bbm] larides,
Et l'horreur du monde n'est rien en comparaison, A ce que l'amour fait, à ceux qui dans l [Db]'union
Pensent oublier un peu qu'on est triste ici [Ab]-bas, Et qu'ici, solitude est le dernier [Bbm] repas,
Elle avait les yeux noirs, desquels on voit du bleu,
Qu'on prend pour l'océan, dans lesquels on voit [Db] Dieu,
Qui font toucher du beau, des doigts, les [Ab] horizons, Mais toujours à la fin, on est seul au [Bbm] milieu,
Des vagues de sanglots, et du sel dans la gorge,
Et du sel sur la plaie de ce cœur [Db] tatoué, A son nom que l'on crie au fond des vars de
[Ab] vin, A se dire que la vie, oui, n'est qu'une [Bbm] putain.
Ami, regarde-moi, j'ai le cœur qui renverse, La mémoire de ces yeux qui me collent à
la [Db] peau, Et dans les bars du port, je cherche ma
[Ab] ginoire, Pour délivrer mon corps du sort qu'on m'a
[Bbm] jeté, Et le sourire des filles, non, ne me fait
plus rien, Et je commence à croire que les hommes qui
[Db] ont pris d'autres hommes pour amour, Ont réglé la [Ab] question, après tout,
Dis-moi, qu'est-ce qu'elles ont de mieux [Bbm] que nous,
Si ce n'est cette force qui fait qu'elles vous oublient,
Cette horreur au fond d'elles, ou à ce monstre qui [Db] crie,
Quand elles vous font l'amour, tu sais qu'elles n'oublient pas,
Qu'il n'y [Ab] a qu'à la nature qu'elles ne tiennent [Bbm] parole,
A ceux dans leurs bras qui sont faits prisonniers, J'ai l'âme solidaire, et puis ma [Db] sympathie
à ces fous, Qui comme moi, finiront pas la nuit,
[Ab] Je vous le dis, putain, putain, vous m'aurez [Bb] plu, _ _ _ _ _ _ _
[Db] _ _ _ _ [Ab] _ _ _ _
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[Db] _ _ _ _ [Ab] _ _ _ _
[Bbm] Je meurs à l'instant, si l'envie me reprend, De remettre ma tête dans la gueule du [Db] serpent,
Que me laissèrent encore, récipier le [Ab] coeur, Pour un joli sourire, au parfum de leurs
[Bbm] fleurs, Marguerite, où tu l'es, peine rose à lilas,
Tu sais, l'ami pour moi, elles vont toutes d'ici [Db] bas,
Quand elles vous montrent ciel, qu'elles vous disent qu'elles vous [Ab] aiment,
Elles vont toutes pour moi, l'odeur des [Bbm] chrysanthèmes,
Adieu les gentils, adieu les gens pleurs, Adieu les maudits, qui ont pris ma [Db] lueur,
Pour jeter dans le noir mes yeux, et puis les [Ab] tiens,
Contre le chant du cygne, les beautés qu'elles [Bbm] craquent,
J'en peux plus de ces jeux qui nous tuent, J'en ai marre de ce peur, mon Dieu, qu'il
va [Db] bleu, Et toujours s'incline au pied de fausses
[Ab] blondes, Qui nous mènent à la sous-cime, qui nous
traînent à la [Bbm] tombe,
Qui nous mènent à la tombe, qui nous traînent à [Db] la tombe,
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[Bbm] Amie, prends ma lanterne, car j'ai perdu ma flamme,
Mon amour est parti, elle a jeté mon [Db] âme, A bouffer au néant, me laissant le cœur
[Ab] vide, Elle a fait des fertiles, des averses [Bbm] larides,
Et l'horreur du monde n'est rien en comparaison, A ce que l'amour fait, à ceux qui dans l [Db]'union
Pensent oublier un peu qu'on est triste ici [Ab]-bas, Et qu'ici, solitude est le dernier [Bbm] repas,
Elle avait les yeux noirs, desquels on voit du bleu,
Qu'on prend pour l'océan, dans lesquels on voit [Db] Dieu,
Qui font toucher du beau, des doigts, les [Ab] horizons, Mais toujours à la fin, on est seul au [Bbm] milieu,
Des vagues de sanglots, et du sel dans la gorge,
Et du sel sur la plaie de ce cœur [Db] tatoué, A son nom que l'on crie au fond des vars de
[Ab] vin, A se dire que la vie, oui, n'est qu'une [Bbm] putain.
Ami, regarde-moi, j'ai le cœur qui renverse, La mémoire de ces yeux qui me collent à
la [Db] peau, Et dans les bars du port, je cherche ma
[Ab] ginoire, Pour délivrer mon corps du sort qu'on m'a
[Bbm] jeté, Et le sourire des filles, non, ne me fait
plus rien, Et je commence à croire que les hommes qui
[Db] ont pris d'autres hommes pour amour, Ont réglé la [Ab] question, après tout,
Dis-moi, qu'est-ce qu'elles ont de mieux [Bbm] que nous,
Si ce n'est cette force qui fait qu'elles vous oublient,
Cette horreur au fond d'elles, ou à ce monstre qui [Db] crie,
Quand elles vous font l'amour, tu sais qu'elles n'oublient pas,
Qu'il n'y [Ab] a qu'à la nature qu'elles ne tiennent [Bbm] parole,
A ceux dans leurs bras qui sont faits prisonniers, J'ai l'âme solidaire, et puis ma [Db] sympathie
à ces fous, Qui comme moi, finiront pas la nuit,
[Ab] Je vous le dis, putain, putain, vous m'aurez [Bb] plu, _ _ _ _ _ _ _
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[Bbm] Je meurs à l'instant, si l'envie me reprend, De remettre ma tête dans la gueule du [Db] serpent,
Que me laissèrent encore, récipier le [Ab] coeur, Pour un joli sourire, au parfum de leurs
[Bbm] fleurs, Marguerite, où tu l'es, peine rose à lilas,
Tu sais, l'ami pour moi, elles vont toutes d'ici [Db] bas,
Quand elles vous montrent ciel, qu'elles vous disent qu'elles vous [Ab] aiment,
Elles vont toutes pour moi, l'odeur des [Bbm] chrysanthèmes,
Adieu les gentils, adieu les gens pleurs, Adieu les maudits, qui ont pris ma [Db] lueur,
Pour jeter dans le noir mes yeux, et puis les [Ab] tiens,
Contre le chant du cygne, les beautés qu'elles [Bbm] craquent,
J'en peux plus de ces jeux qui nous tuent, J'en ai marre de ce peur, mon Dieu, qu'il
va [Db] bleu, Et toujours s'incline au pied de fausses
[Ab] blondes, Qui nous mènent à la sous-cime, qui nous
traînent à la [Bbm] tombe,
Qui nous mènent à la tombe, qui nous traînent à [Db] la tombe,
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