Chords for Shurik'n - Où je vis (Audio officiel)
Tempo:
93.95 bpm
Chords used:
Am
F
G
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Am]
[F]
[Am] Mais qu'est-ce que je vais leur dire maintenant qu'ils sont là ?
Bienvenue, ça fait longtemps qu'on vous attend, franchement, n'y croyez plus, vaut
mieux que vous le sachiez, je sais pas vraiment à quoi vous pensez, y'a une chose est sûre,
vous n'avez rien à nous envier, j'parie que chez vous les choses s'écoulent inexorablement
calmes, si pas un ne passe sans que vos strépassent les larmes, succès, vos larmes, j'parie
que vos pères vivent plus longtemps, vos mères sourient plus souvent, ici y'a les
chanceux et ceux qui suent leur sang, les sans-abri démunis, je sens que vous ne comprenez
pas ce que je dis, tant mieux ici, c'est un peu comme les étoiles, la nuit les mecs
déballent plus vite qu'une plaque sur une plainte, les plaintes volent, volent, les
gens s'affolent, le FN call, la N racole, y'a plus d'auréoles, les pourris se gaffent,
les petits tombent, quand les caves bavent, je parie que chez vous y'a moins de tombes,
ici c'est grave, y'a des pères qui battent leur gamin, puisqu'ils les aiment, et certains
hommes, même leurs femmes, avec des cris, ils en t'aiment, la passion prend le dessus
souvent, trop souvent, asservis par un dogme, les fanatiques se lavent dans des pains de
sang impur, c'est pas la fin de votre quête, ni la bonne planète, ici les gens différents
s'inquiètent, voire où je vis, des gens meurent encore de faim ici, de froid, d'ennui,
certains flirtent avec l'oubli, on plie ou on paye le prix, voir ceux qui en rient la
conscience, c'est comme les tâches, ça s'essuie, voir où je vis, des gens meurent encore de
faim ici, de froid, d'ennui, certains flirtent avec l'oubli, on plie ou on paye le prix,
voir ceux qui en rient la conscience, c'est comme les tâches, ça s'essuie, j'sais pas
comment c'est chez vous, ici l'argent fait la loi, les lois sont faites par et [G] pour ceux
Qui en ont les autres à foutre leurs dents
Vos devis aboivent les sillons
Trop de croix au crayon, baïonnettes au canon
L'homme tue [Am] l'homme pour des ronds
Si j'étais vous je ne resterais pas là
Même si on vous accueille aujourd'hui
Demain on vous jettera, croyez-moi
La couleur crée des frayeurs
Chez ceux qui ignorent la voix du coeur
Mais y'en a trop, y'a sûrement une erreur
Ailleurs je suis sûr que c'est pas comme ça
Toi, ne faites pas croire
Que là-bas aussi les gens sont rois
On a eu deux guerres, Hitler
Et y'a encore des gens avec le même genre
Du type à clair, pour le pas clair
Alors je prie pour mes pères, vos grands-pères
S'endorment seulement au coin du feu le soir
Ici c'est l'hospice, rien à foutre
L'histoire c'est un tableau noir
Bien sûr j'ai peur des fois, je pense à Tess
Je crains qu'il me blesse, Yanis
Petite Keisha ne cachera pas ses tresses
Je saignerai pour ça les points serrés
Sans gênere, j'avancerai droit vers l'autre
Prêt pour une dernière étreinte
J'espère que chez vous c'est pas comme chez moi
Construire sa vie avec la mort en soi
Vivre en armure, sentir son sang devenir froid
Je sais c'est pas gay, mais tout est vrai
Ici les gens pas comme les autres
On les hait depuis l'éternité
Toi, où je vis
Des gens meurent encore de faim ici
De froid, d'ennui
Certains fleurent à tout l'oubli
On plie ou on paye le prix
Vois ceux qui en rient, la conscience
C'est comme les taches, ça s'essuie
Toi, où je vis
Des gens meurent encore de faim ici
De froid, d'ennui
Certains fleurent à tout l'oubli
On plie ou on paye le prix
Vois ceux qui en rient, la conscience
C'est comme les taches, ça s'essuie
Toi, où je vis
Des gens meurent encore de faim ici
De froid, d'ennui
Certains fleurent à tout l'oubli
On plie ou on paye le prix
Voix sur qui on rit, la conscience c'est comme les tâches ça se suit
Voix où je vis, voix, Mars 98
Voix où je vis, Mars 98
[N]
[F]
[Am] Mais qu'est-ce que je vais leur dire maintenant qu'ils sont là ?
Bienvenue, ça fait longtemps qu'on vous attend, franchement, n'y croyez plus, vaut
mieux que vous le sachiez, je sais pas vraiment à quoi vous pensez, y'a une chose est sûre,
vous n'avez rien à nous envier, j'parie que chez vous les choses s'écoulent inexorablement
calmes, si pas un ne passe sans que vos strépassent les larmes, succès, vos larmes, j'parie
que vos pères vivent plus longtemps, vos mères sourient plus souvent, ici y'a les
chanceux et ceux qui suent leur sang, les sans-abri démunis, je sens que vous ne comprenez
pas ce que je dis, tant mieux ici, c'est un peu comme les étoiles, la nuit les mecs
déballent plus vite qu'une plaque sur une plainte, les plaintes volent, volent, les
gens s'affolent, le FN call, la N racole, y'a plus d'auréoles, les pourris se gaffent,
les petits tombent, quand les caves bavent, je parie que chez vous y'a moins de tombes,
ici c'est grave, y'a des pères qui battent leur gamin, puisqu'ils les aiment, et certains
hommes, même leurs femmes, avec des cris, ils en t'aiment, la passion prend le dessus
souvent, trop souvent, asservis par un dogme, les fanatiques se lavent dans des pains de
sang impur, c'est pas la fin de votre quête, ni la bonne planète, ici les gens différents
s'inquiètent, voire où je vis, des gens meurent encore de faim ici, de froid, d'ennui,
certains flirtent avec l'oubli, on plie ou on paye le prix, voir ceux qui en rient la
conscience, c'est comme les tâches, ça s'essuie, voir où je vis, des gens meurent encore de
faim ici, de froid, d'ennui, certains flirtent avec l'oubli, on plie ou on paye le prix,
voir ceux qui en rient la conscience, c'est comme les tâches, ça s'essuie, j'sais pas
comment c'est chez vous, ici l'argent fait la loi, les lois sont faites par et [G] pour ceux
Qui en ont les autres à foutre leurs dents
Vos devis aboivent les sillons
Trop de croix au crayon, baïonnettes au canon
L'homme tue [Am] l'homme pour des ronds
Si j'étais vous je ne resterais pas là
Même si on vous accueille aujourd'hui
Demain on vous jettera, croyez-moi
La couleur crée des frayeurs
Chez ceux qui ignorent la voix du coeur
Mais y'en a trop, y'a sûrement une erreur
Ailleurs je suis sûr que c'est pas comme ça
Toi, ne faites pas croire
Que là-bas aussi les gens sont rois
On a eu deux guerres, Hitler
Et y'a encore des gens avec le même genre
Du type à clair, pour le pas clair
Alors je prie pour mes pères, vos grands-pères
S'endorment seulement au coin du feu le soir
Ici c'est l'hospice, rien à foutre
L'histoire c'est un tableau noir
Bien sûr j'ai peur des fois, je pense à Tess
Je crains qu'il me blesse, Yanis
Petite Keisha ne cachera pas ses tresses
Je saignerai pour ça les points serrés
Sans gênere, j'avancerai droit vers l'autre
Prêt pour une dernière étreinte
J'espère que chez vous c'est pas comme chez moi
Construire sa vie avec la mort en soi
Vivre en armure, sentir son sang devenir froid
Je sais c'est pas gay, mais tout est vrai
Ici les gens pas comme les autres
On les hait depuis l'éternité
Toi, où je vis
Des gens meurent encore de faim ici
De froid, d'ennui
Certains fleurent à tout l'oubli
On plie ou on paye le prix
Vois ceux qui en rient, la conscience
C'est comme les taches, ça s'essuie
Toi, où je vis
Des gens meurent encore de faim ici
De froid, d'ennui
Certains fleurent à tout l'oubli
On plie ou on paye le prix
Vois ceux qui en rient, la conscience
C'est comme les taches, ça s'essuie
Toi, où je vis
Des gens meurent encore de faim ici
De froid, d'ennui
Certains fleurent à tout l'oubli
On plie ou on paye le prix
Voix sur qui on rit, la conscience c'est comme les tâches ça se suit
Voix où je vis, voix, Mars 98
Voix où je vis, Mars 98
[N]
Key:
Am
F
G
Am
F
G
Am
F
_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ [Am] _ _
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_ _ _ _ _ [F] _ _ _
_ _ _ _ _ [Am] Mais qu'est-ce que je vais leur dire maintenant qu'ils sont là ?
Bienvenue, ça fait longtemps qu'on vous attend, franchement, n'y croyez plus, vaut
mieux que vous le sachiez, je sais pas vraiment à quoi vous pensez, y'a une chose est sûre,
vous n'avez rien à nous envier, j'parie que chez vous les choses s'écoulent inexorablement
calmes, si pas un ne passe sans que vos strépassent les larmes, succès, vos larmes, j'parie
que vos pères vivent plus longtemps, vos mères sourient plus souvent, ici y'a les
chanceux et ceux qui suent leur sang, les sans-abri démunis, je sens que vous ne comprenez
pas ce que je dis, tant mieux ici, c'est un peu comme les étoiles, la nuit les mecs
déballent plus vite qu'une plaque sur une plainte, les plaintes volent, volent, les
gens s'affolent, le FN call, la N racole, y'a plus d'auréoles, les pourris se gaffent,
les petits tombent, quand les caves bavent, je parie que chez vous y'a moins de tombes,
ici c'est grave, y'a des pères qui battent leur gamin, puisqu'ils les aiment, et certains
hommes, même leurs femmes, avec des cris, ils en t'aiment, la passion prend le dessus
souvent, trop souvent, asservis par un dogme, les fanatiques se lavent dans des pains de
sang impur, c'est pas la fin de votre quête, ni la bonne planète, ici les gens différents
s'inquiètent, voire où je vis, des gens meurent encore de faim ici, de froid, d'ennui,
certains flirtent avec l'oubli, on plie ou on paye le prix, voir ceux qui en rient la
conscience, c'est comme les tâches, ça s'essuie, voir où je vis, des gens meurent encore de
faim ici, de froid, d'ennui, certains flirtent avec l'oubli, on plie ou on paye le prix,
voir ceux qui en rient la conscience, c'est comme les tâches, ça s'essuie, j'sais pas
comment c'est chez vous, ici l'argent fait la loi, les lois sont faites par et [G] pour ceux
Qui en ont les autres à foutre leurs dents
Vos devis aboivent les sillons
Trop de croix au crayon, baïonnettes au canon
L'homme tue [Am] l'homme pour des ronds
Si j'étais vous je ne resterais pas là
Même si on vous accueille aujourd'hui
Demain on vous jettera, croyez-moi
La couleur crée des frayeurs
Chez ceux qui ignorent la voix du coeur
Mais y'en a trop, y'a sûrement une erreur
Ailleurs je suis sûr que c'est pas comme ça
Toi, ne faites pas croire
Que là-bas aussi les gens sont rois
On a eu deux guerres, Hitler
Et y'a encore des gens avec le même genre
Du type à clair, pour le pas clair
Alors je prie pour mes pères, vos grands-pères
S'endorment seulement au coin du feu le soir
Ici c'est l'hospice, rien à foutre
L'histoire c'est un tableau noir
Bien sûr j'ai peur des fois, je pense à Tess
Je crains qu'il me blesse, Yanis
Petite Keisha ne cachera pas ses tresses
Je saignerai pour ça les points serrés
Sans gênere, j'avancerai droit vers l'autre
Prêt pour une dernière étreinte
J'espère que chez vous c'est pas comme chez moi
Construire sa vie avec la mort en soi
Vivre en armure, sentir son sang devenir froid
Je sais c'est pas gay, mais tout est vrai
Ici les gens pas comme les autres
On les hait depuis l'éternité
Toi, _ _ _ _ _ où je vis
Des gens meurent encore de faim ici
De froid, d'ennui
Certains fleurent à tout l'oubli
On plie ou on paye le prix
Vois ceux qui en rient, la conscience
C'est comme les taches, ça s'essuie
Toi, où je vis
Des gens meurent encore de faim ici
De froid, d'ennui
Certains fleurent à tout l'oubli
On plie ou on paye le prix
Vois ceux qui en rient, la conscience
C'est comme les taches, ça s'essuie
Toi, où je vis
Des gens meurent encore de faim ici
De froid, d'ennui
Certains fleurent à tout l'oubli
On plie ou on paye le prix
Voix sur qui on rit, la conscience c'est comme les tâches ça se suit
Voix où je vis, voix, Mars _ 98
Voix où je vis, _ _ Mars 98 _
[N] _ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ [Am] _ _
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_ _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ _ [F] _ _ _
_ _ _ _ _ [Am] Mais qu'est-ce que je vais leur dire maintenant qu'ils sont là ?
Bienvenue, ça fait longtemps qu'on vous attend, franchement, n'y croyez plus, vaut
mieux que vous le sachiez, je sais pas vraiment à quoi vous pensez, y'a une chose est sûre,
vous n'avez rien à nous envier, j'parie que chez vous les choses s'écoulent inexorablement
calmes, si pas un ne passe sans que vos strépassent les larmes, succès, vos larmes, j'parie
que vos pères vivent plus longtemps, vos mères sourient plus souvent, ici y'a les
chanceux et ceux qui suent leur sang, les sans-abri démunis, je sens que vous ne comprenez
pas ce que je dis, tant mieux ici, c'est un peu comme les étoiles, la nuit les mecs
déballent plus vite qu'une plaque sur une plainte, les plaintes volent, volent, les
gens s'affolent, le FN call, la N racole, y'a plus d'auréoles, les pourris se gaffent,
les petits tombent, quand les caves bavent, je parie que chez vous y'a moins de tombes,
ici c'est grave, y'a des pères qui battent leur gamin, puisqu'ils les aiment, et certains
hommes, même leurs femmes, avec des cris, ils en t'aiment, la passion prend le dessus
souvent, trop souvent, asservis par un dogme, les fanatiques se lavent dans des pains de
sang impur, c'est pas la fin de votre quête, ni la bonne planète, ici les gens différents
s'inquiètent, voire où je vis, des gens meurent encore de faim ici, de froid, d'ennui,
certains flirtent avec l'oubli, on plie ou on paye le prix, voir ceux qui en rient la
conscience, c'est comme les tâches, ça s'essuie, voir où je vis, des gens meurent encore de
faim ici, de froid, d'ennui, certains flirtent avec l'oubli, on plie ou on paye le prix,
voir ceux qui en rient la conscience, c'est comme les tâches, ça s'essuie, j'sais pas
comment c'est chez vous, ici l'argent fait la loi, les lois sont faites par et [G] pour ceux
Qui en ont les autres à foutre leurs dents
Vos devis aboivent les sillons
Trop de croix au crayon, baïonnettes au canon
L'homme tue [Am] l'homme pour des ronds
Si j'étais vous je ne resterais pas là
Même si on vous accueille aujourd'hui
Demain on vous jettera, croyez-moi
La couleur crée des frayeurs
Chez ceux qui ignorent la voix du coeur
Mais y'en a trop, y'a sûrement une erreur
Ailleurs je suis sûr que c'est pas comme ça
Toi, ne faites pas croire
Que là-bas aussi les gens sont rois
On a eu deux guerres, Hitler
Et y'a encore des gens avec le même genre
Du type à clair, pour le pas clair
Alors je prie pour mes pères, vos grands-pères
S'endorment seulement au coin du feu le soir
Ici c'est l'hospice, rien à foutre
L'histoire c'est un tableau noir
Bien sûr j'ai peur des fois, je pense à Tess
Je crains qu'il me blesse, Yanis
Petite Keisha ne cachera pas ses tresses
Je saignerai pour ça les points serrés
Sans gênere, j'avancerai droit vers l'autre
Prêt pour une dernière étreinte
J'espère que chez vous c'est pas comme chez moi
Construire sa vie avec la mort en soi
Vivre en armure, sentir son sang devenir froid
Je sais c'est pas gay, mais tout est vrai
Ici les gens pas comme les autres
On les hait depuis l'éternité
Toi, _ _ _ _ _ où je vis
Des gens meurent encore de faim ici
De froid, d'ennui
Certains fleurent à tout l'oubli
On plie ou on paye le prix
Vois ceux qui en rient, la conscience
C'est comme les taches, ça s'essuie
Toi, où je vis
Des gens meurent encore de faim ici
De froid, d'ennui
Certains fleurent à tout l'oubli
On plie ou on paye le prix
Vois ceux qui en rient, la conscience
C'est comme les taches, ça s'essuie
Toi, où je vis
Des gens meurent encore de faim ici
De froid, d'ennui
Certains fleurent à tout l'oubli
On plie ou on paye le prix
Voix sur qui on rit, la conscience c'est comme les tâches ça se suit
Voix où je vis, voix, Mars _ 98
Voix où je vis, _ _ Mars 98 _
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