Planter Des Cailloux Chords by Syrano
Tempo:
125.75 bpm
Chords used:
C#m
E
G#
B
F#m
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[C#m] Il [E] ramasse chaque jour un caillou [F#m] et le planque dans [C#m] sa poche.
[F#m] Il raconte qu'il [C#m] s'en ira les planter [G#] pour que poussent des mûres, [C#m] fruits mûrs de la liberté.
Il est persuadé [E] qu'en cultivant des cailloux, [F#m] le temps sur son lit [C#m] ricoche.
[F#m] Il nous dit que les pierres, [C#] elles ne sont pas névrosées, [G#] que nous sommes ses [C#m] remparts
et repars les arroser.
[E] Mais comme les autres, [B] il tourne en rond comme un poisson dans [C#m] son bocal qui s'extasie [G#] chaque
minute devant les ruines de [E] son local.
Et quand [B] arrive l'heure de la promenade, [C#m] il reste enfermé.
[G#] C'est comme ça qu'il s'évadit [E] entre le premier juste [B] temps de gober du soleil [C#m] et de gratter
le sol [G#] pour trouver une merveille, un [E] bout de béton qui n'est pas pareil, [B] un bien unique,
le seul sur terre qui [C#m] le fait tenir, se dire que chaque [G#] jour est un marqué d'une pierre.
[C#m] Il ramasse [E] chaque jour un caillou [F#m] et le planque dans [C#m] sa poche.
[F#m] Il raconte qu'il s'en [C#m] ira les planter [G#] pour que poussent des mûres, [C#m] fruits mûrs de la liberté.
Il est persuadé qu [E]'en cultivant des cailloux, [F#m] le temps sur son lit [C#m] ricoche.
[F#m] Il nous dit que les pierres, [C#m] elles ne sont pas névrosées, [D#] que nous sommes ses remparts
[C#m] et repart les arroser.
[B] On a tous oublié pourquoi il est [C#m] tombé, mais on sait qu'il est resté [B] accroché, s'est
agrippé à la paroi, [C#m] même au jour de Silex dans la place de nos [B] parois, les jours de
démence où on lâche prise, [C#m] pour jeter plus bas, s'abandonner à la [B] brise.
Dans ce cas, on se rattrape toujours à quelque [C#m] chose, une extrémité brisée où on arrose
des fleurs [E] prises.
Le marginal à la mine [B] fragile, il ne comprend pas la justice de granité [C#m] machinale et pourquoi
ceux qui font carrière comme par [G#] magie jouissent d'un jugement de glace ou d [E]'archine.
Il regrette ses crimes mais pas ses [B] idées, on finit sous une pierre par nécessité.
[C#m] À l'édifice des hommes avant qu'il ne se [G#] détruise, il voulait apporter sa pierre,
et bien il l'a [C#] reprise.
Il ramasse [E] chaque jour un caillou [F#m] et le plante que dans sa [C#m] poche.
[F#m] Il raconte qu'il s [C#m]'en ira les planter, [G#] que poussent des mûres, [C#m] fruits mûrs de la liberté.
Il est persuadé qu'en [G#m] cultivant des cailloux, [D#] le temps sur son lit, [C#m] il toche.
[D#] Il nous dit que les pierres, [C#m] elles ne sont pas névrosées, [G#] que nous sommes [D#] ses remparts,
[C#m] et repart les arroser.
[E] Il nous dit tout le cynisme [B] des gens en liberté qui [C#m] ont des ghettos dans la tête [G#] et des cadenas
au cœur avec [E] des serrures sans clé et [B] dans leur jardin secret, ils [C#m] laissent pousser le
chien d'or.
[G#] [C#] [E]
[A] [G#m]
[F#] [C#m]
[D#] [C#m]
[E]
[F#m] [C#m]
[F#] [C#m]
[G#] [C#m]
[G#]
[F#m] Il raconte qu'il [C#m] s'en ira les planter [G#] pour que poussent des mûres, [C#m] fruits mûrs de la liberté.
Il est persuadé [E] qu'en cultivant des cailloux, [F#m] le temps sur son lit [C#m] ricoche.
[F#m] Il nous dit que les pierres, [C#] elles ne sont pas névrosées, [G#] que nous sommes ses [C#m] remparts
et repars les arroser.
[E] Mais comme les autres, [B] il tourne en rond comme un poisson dans [C#m] son bocal qui s'extasie [G#] chaque
minute devant les ruines de [E] son local.
Et quand [B] arrive l'heure de la promenade, [C#m] il reste enfermé.
[G#] C'est comme ça qu'il s'évadit [E] entre le premier juste [B] temps de gober du soleil [C#m] et de gratter
le sol [G#] pour trouver une merveille, un [E] bout de béton qui n'est pas pareil, [B] un bien unique,
le seul sur terre qui [C#m] le fait tenir, se dire que chaque [G#] jour est un marqué d'une pierre.
[C#m] Il ramasse [E] chaque jour un caillou [F#m] et le planque dans [C#m] sa poche.
[F#m] Il raconte qu'il s'en [C#m] ira les planter [G#] pour que poussent des mûres, [C#m] fruits mûrs de la liberté.
Il est persuadé qu [E]'en cultivant des cailloux, [F#m] le temps sur son lit [C#m] ricoche.
[F#m] Il nous dit que les pierres, [C#m] elles ne sont pas névrosées, [D#] que nous sommes ses remparts
[C#m] et repart les arroser.
[B] On a tous oublié pourquoi il est [C#m] tombé, mais on sait qu'il est resté [B] accroché, s'est
agrippé à la paroi, [C#m] même au jour de Silex dans la place de nos [B] parois, les jours de
démence où on lâche prise, [C#m] pour jeter plus bas, s'abandonner à la [B] brise.
Dans ce cas, on se rattrape toujours à quelque [C#m] chose, une extrémité brisée où on arrose
des fleurs [E] prises.
Le marginal à la mine [B] fragile, il ne comprend pas la justice de granité [C#m] machinale et pourquoi
ceux qui font carrière comme par [G#] magie jouissent d'un jugement de glace ou d [E]'archine.
Il regrette ses crimes mais pas ses [B] idées, on finit sous une pierre par nécessité.
[C#m] À l'édifice des hommes avant qu'il ne se [G#] détruise, il voulait apporter sa pierre,
et bien il l'a [C#] reprise.
Il ramasse [E] chaque jour un caillou [F#m] et le plante que dans sa [C#m] poche.
[F#m] Il raconte qu'il s [C#m]'en ira les planter, [G#] que poussent des mûres, [C#m] fruits mûrs de la liberté.
Il est persuadé qu'en [G#m] cultivant des cailloux, [D#] le temps sur son lit, [C#m] il toche.
[D#] Il nous dit que les pierres, [C#m] elles ne sont pas névrosées, [G#] que nous sommes [D#] ses remparts,
[C#m] et repart les arroser.
[E] Il nous dit tout le cynisme [B] des gens en liberté qui [C#m] ont des ghettos dans la tête [G#] et des cadenas
au cœur avec [E] des serrures sans clé et [B] dans leur jardin secret, ils [C#m] laissent pousser le
chien d'or.
[G#] [C#] [E]
[A] [G#m]
[F#] [C#m]
[D#] [C#m]
[E]
[F#m] [C#m]
[F#] [C#m]
[G#] [C#m]
[G#]
Key:
C#m
E
G#
B
F#m
C#m
E
G#
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_ [C#m] Il _ [E] ramasse chaque jour un caillou [F#m] et le planque dans [C#m] sa poche. _
[F#m] Il raconte qu'il [C#m] s'en ira les planter [G#] pour que poussent des mûres, [C#m] fruits mûrs de la liberté.
Il est persuadé [E] qu'en cultivant des cailloux, [F#m] le temps sur son lit [C#m] ricoche. _
[F#m] Il nous dit que les pierres, [C#] elles ne sont pas névrosées, [G#] que nous sommes ses [C#m] remparts
et repars les arroser.
[E] Mais comme les autres, [B] il tourne en rond comme un poisson dans [C#m] son bocal qui s'extasie [G#] chaque
minute devant les ruines de [E] son local.
Et quand [B] arrive l'heure de la promenade, [C#m] il reste enfermé.
[G#] C'est comme ça qu'il s'évadit [E] entre le premier juste [B] temps de gober du soleil [C#m] et de gratter
le sol [G#] pour trouver une merveille, un [E] bout de béton qui n'est pas pareil, [B] un bien unique,
le seul sur terre qui [C#m] le fait tenir, se dire que chaque [G#] jour est un marqué d'une pierre.
[C#m] Il ramasse [E] chaque jour un caillou [F#m] et le planque dans [C#m] sa poche. _
[F#m] Il raconte qu'il s'en [C#m] ira les planter [G#] pour que poussent des mûres, [C#m] fruits mûrs de la liberté.
Il est persuadé qu [E]'en cultivant des cailloux, [F#m] le temps sur son lit [C#m] ricoche. _
[F#m] Il nous dit que les pierres, [C#m] elles ne sont pas névrosées, [D#] que nous sommes ses remparts
[C#m] et repart les arroser.
[B] On a tous oublié pourquoi il est [C#m] tombé, mais on sait qu'il est resté [B] accroché, s'est
agrippé à la paroi, [C#m] même au jour de Silex dans la place de nos [B] parois, les jours de
démence où on lâche prise, [C#m] pour jeter plus bas, s'abandonner à la [B] brise.
Dans ce cas, on se rattrape toujours à quelque [C#m] chose, une extrémité brisée où on arrose
des fleurs [E] prises.
Le marginal à la mine [B] fragile, il ne comprend pas la justice de granité [C#m] machinale et pourquoi
ceux qui font carrière comme par [G#] magie jouissent d'un jugement de glace ou d [E]'archine.
Il regrette ses crimes mais pas ses [B] idées, on finit sous une pierre par nécessité.
[C#m] À l'édifice des hommes avant qu'il ne se [G#] détruise, il voulait apporter sa pierre,
et bien il l'a [C#] reprise.
Il ramasse [E] chaque jour un caillou [F#m] et le plante que dans sa [C#m] poche. _
[F#m] Il raconte qu'il s [C#m]'en ira les planter, [G#] que poussent des mûres, [C#m] fruits mûrs de la liberté.
Il est persuadé qu'en [G#m] cultivant des cailloux, [D#] le temps sur son lit, [C#m] il toche. _
[D#] Il nous dit que les pierres, [C#m] elles ne sont pas névrosées, [G#] que nous sommes [D#] ses remparts,
[C#m] et repart les arroser.
[E] Il nous dit tout le cynisme [B] des gens en liberté qui [C#m] ont des ghettos dans la tête [G#] et des cadenas
au cœur avec [E] des serrures sans clé et [B] dans leur jardin secret, ils [C#m] laissent pousser le
chien d'or.
[G#] _ _ _ _ [C#] _ _ _ _ [E] _ _ _
_ [A] _ _ _ _ [G#m] _ _ _
_ [F#] _ _ _ _ [C#m] _ _ _
_ [D#] _ _ _ _ [C#m] _ _ _
_ _ _ _ _ [E] _ _ _
_ [F#m] _ _ _ _ [C#m] _ _ _
_ [F#] _ _ _ [C#m] _ _ _ _
_ [G#] _ _ _ _ [C#m] _ _ _
_ [G#] _ _ _ _ _ _ _
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_ [C#m] Il _ [E] ramasse chaque jour un caillou [F#m] et le planque dans [C#m] sa poche. _
[F#m] Il raconte qu'il [C#m] s'en ira les planter [G#] pour que poussent des mûres, [C#m] fruits mûrs de la liberté.
Il est persuadé [E] qu'en cultivant des cailloux, [F#m] le temps sur son lit [C#m] ricoche. _
[F#m] Il nous dit que les pierres, [C#] elles ne sont pas névrosées, [G#] que nous sommes ses [C#m] remparts
et repars les arroser.
[E] Mais comme les autres, [B] il tourne en rond comme un poisson dans [C#m] son bocal qui s'extasie [G#] chaque
minute devant les ruines de [E] son local.
Et quand [B] arrive l'heure de la promenade, [C#m] il reste enfermé.
[G#] C'est comme ça qu'il s'évadit [E] entre le premier juste [B] temps de gober du soleil [C#m] et de gratter
le sol [G#] pour trouver une merveille, un [E] bout de béton qui n'est pas pareil, [B] un bien unique,
le seul sur terre qui [C#m] le fait tenir, se dire que chaque [G#] jour est un marqué d'une pierre.
[C#m] Il ramasse [E] chaque jour un caillou [F#m] et le planque dans [C#m] sa poche. _
[F#m] Il raconte qu'il s'en [C#m] ira les planter [G#] pour que poussent des mûres, [C#m] fruits mûrs de la liberté.
Il est persuadé qu [E]'en cultivant des cailloux, [F#m] le temps sur son lit [C#m] ricoche. _
[F#m] Il nous dit que les pierres, [C#m] elles ne sont pas névrosées, [D#] que nous sommes ses remparts
[C#m] et repart les arroser.
[B] On a tous oublié pourquoi il est [C#m] tombé, mais on sait qu'il est resté [B] accroché, s'est
agrippé à la paroi, [C#m] même au jour de Silex dans la place de nos [B] parois, les jours de
démence où on lâche prise, [C#m] pour jeter plus bas, s'abandonner à la [B] brise.
Dans ce cas, on se rattrape toujours à quelque [C#m] chose, une extrémité brisée où on arrose
des fleurs [E] prises.
Le marginal à la mine [B] fragile, il ne comprend pas la justice de granité [C#m] machinale et pourquoi
ceux qui font carrière comme par [G#] magie jouissent d'un jugement de glace ou d [E]'archine.
Il regrette ses crimes mais pas ses [B] idées, on finit sous une pierre par nécessité.
[C#m] À l'édifice des hommes avant qu'il ne se [G#] détruise, il voulait apporter sa pierre,
et bien il l'a [C#] reprise.
Il ramasse [E] chaque jour un caillou [F#m] et le plante que dans sa [C#m] poche. _
[F#m] Il raconte qu'il s [C#m]'en ira les planter, [G#] que poussent des mûres, [C#m] fruits mûrs de la liberté.
Il est persuadé qu'en [G#m] cultivant des cailloux, [D#] le temps sur son lit, [C#m] il toche. _
[D#] Il nous dit que les pierres, [C#m] elles ne sont pas névrosées, [G#] que nous sommes [D#] ses remparts,
[C#m] et repart les arroser.
[E] Il nous dit tout le cynisme [B] des gens en liberté qui [C#m] ont des ghettos dans la tête [G#] et des cadenas
au cœur avec [E] des serrures sans clé et [B] dans leur jardin secret, ils [C#m] laissent pousser le
chien d'or.
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