Chords for Georgio - Ici-bas (Live "Proses", France Culture)
Tempo:
80.1 bpm
Chords used:
G
C
Am
Dm
Bm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Dm] [C]
[Bm] [Am]
[Dm] [C]
[G] [Am]
Comment ressentir les effets sans toucher à ses drogues ?
Rassuré, je me [Dm] dis qu'on s'en sortira [C] toujours.
Il m'arrive que le réponse me questionne quand je vous vois la mâchoire [G] cassée à
cracher sur l [Am]'amour.
Dites-moi, il me reste quoi ?
À moi limoler, sacrifié par le [Dm] verbe sur des papiers chiffonnés.
[C] Vous ne savez pas, il me reste l'envie, l'envie de m [G]'envoler du haut du [A] ciel.
Je cherche mes mots, je cherche des ailes, souvent j'en fais trop.
Et c'est faux que je [Dm] vous aime du haut du [C] ciel.
Il pleut des larmes dans des prisons de regrets.
Alors faites ce qu'il se doit, vous [G] qui méritez de crever.
Prenez-moi [A] par la main, emmenez-moi sur une île inconnue.
Faites-moi chialer, gueuler, vomir [Dm] et peur.
Et pire encore, [C] faites de moi un sorcier aux mains nues et sur un plateau d'argent.
Rapportez-moi [G] le bonheur.
Montez sur [A] mon dos, on part pour Mâpe.
Sur le voyage, on écoute.
Et quand on parle, on [Dm] parle courage, chacun parle en son [C] nom.
Et faites en sorte que personne ne soit étranger.
Si vous croisez mon mec, moi, [G] vous pouvez l'étrangler.
[Am] Lui jeter des pierres, le piédiner.
Mais surtout pas le réveiller, je veux plus le voir, je veux pas [Dm] croire qu'il ait pu exister.
[C] Fermez vos yeux et écoutez vos corps.
Encore, encore, laissez parler vos corps.
[G] Encore, encore, touchez [Am] la terre.
De vos ongles noirs et mal coupés.
[Dm] La veillée dans [C] la mer, le désespoir tombé comme un coup frais.
[Bm] Ensuite, parlez-moi du sommeil.
Racontez-moi vos rêves.
Comment on en crève, comment on en [C] vit.
Je vous dirai les miens.
Passage des clandestins, du dernier train de nuit.
[Bm] Je vous raconterai des anecdotes sur mes parents.
Des histoires tu ravis, mais bien dites-elles sont hilarantes.
Je [C] vous promets, pourtant c'est dur de promettre.
On a fait beaucoup de tronches blancs sur la [Am] clomestre.
On a fait de nos amours des squelettes, des fantômes.
On a gardé les numéros, on [Dm] a esquivé les obsèques.
[C] Elles qui du grand amour portaient fièrement tous les symptômes.
Elles qui m'aimaient à mort [G] et que j'ai envoyé se faire mettre.
J'ai [Am] pas claqué des doigts, craigné personne.
Mais pas s'il a oublié, ce serait mal me [Dm] connaître.
Que de penser l'inverse, [C] enfin bref.
[G] A chacune [Am] des galères, tu pourras vous plier.
Le chêne comme le roseau, attendre le vent.
Et la prochaine inverse, [C] enfin bref.
[Am]
Du vin, du rhum, du vin, du whisky, du vin, de la vodka.
Allez-y, tuez-vous.
Allez-y, je [C] rigole pas.
Je veux plus de vous quand vous faites ça.
Je veux plus de nous.
Vous-même, vous n'y croyez pas.
[G] Chantez-moi la mauvaise étoile épelée sur du soleil.
Chantez, souffle coupé, l'enfant qui dort sur un carton.
[Am] Chantez l'homme qui décroche à la lutte.
Chantez l'oseille, Roger Pickett ou l'absence d'horizon.
Surtout [G] dansez, dansez vos cheveux, dansez vos épaules.
À faire tromper le sol et par au-là, porte la cage.
Sans jamais être esclat [Am] des drogues ou des alcools.
Que le chant, que la danse, soit vague, temporaire.
Allez-y, chantez, [G] chantez, chantez.
Allez-y, dansez, dansez, dansez.
La soirée est tellement dense.
La chance, la chance, la chance.
C'est [Am] ça le temps qui passe.
C'est l'immortalité des souvenirs.
Donc prenez le temps de rattraper ceux qui veulent fuir.
N'oubliez pas [G] combien certains gars nous ont tués sur le moment.
Puis appréciez les minutes à réfléchir sur des pans.
Moi, à chacun de mes [Am] réveils, je donne tout.
Vraiment tout.
Et le reste, mon T-shirt, ma veste, mes sons, mes rimes.
Je m'en donne la peine.
Après la dernière image [G] de noir fondu sur les ténèbres.
Vous m'entendrez parler de mon paradis.
Où [C] pleuraient les séchelles, rêvées de la Normandie.
[Am] Où imaginez la Hongrie.
Imaginez la Hongrie.
Ce jour-là, [G] demandez-moi qui j'étais et que [F#m] fais-je de ma vie.
Ma bouche cousue [Em] à chameron, à l'impolitesse de vous [Bm] répondre.
Qu'il faut d'abord marcher [A] sur le saut des incontruits.
Ventre le vague à l'âme sans en faire tout un monde.
Ici, [G] c'est Paris.
Ici, c'est [F#m] chez moi.
Là, c'est mon lance qui [Em] sèche.
Ici, ma table basse, [Bm] tel que Verfine.
Et les [A] meugoneras sur le butac, mes fringues sales.
C'est mon bordel.
Que sèche de l'ordre comme il faut.
Je reste miroir de ce [G] genre de bordel.
Je suis face à mon mur, mes victoires accrochées.
Mes trophées d'hier, des pochettes de vinyle.
Celles de [Am] ma mère, mon père et de bien d'autres artistes.
Des photos de concerts, tout pour m'enlaire.
Son cas de Javi Rooster, des photos de Roy [G] et Pierre.
Julien Nkrumah, Anissa et bien d'autres complices.
[Bm] [Am]
[Dm] [C]
[G] [Am]
Comment ressentir les effets sans toucher à ses drogues ?
Rassuré, je me [Dm] dis qu'on s'en sortira [C] toujours.
Il m'arrive que le réponse me questionne quand je vous vois la mâchoire [G] cassée à
cracher sur l [Am]'amour.
Dites-moi, il me reste quoi ?
À moi limoler, sacrifié par le [Dm] verbe sur des papiers chiffonnés.
[C] Vous ne savez pas, il me reste l'envie, l'envie de m [G]'envoler du haut du [A] ciel.
Je cherche mes mots, je cherche des ailes, souvent j'en fais trop.
Et c'est faux que je [Dm] vous aime du haut du [C] ciel.
Il pleut des larmes dans des prisons de regrets.
Alors faites ce qu'il se doit, vous [G] qui méritez de crever.
Prenez-moi [A] par la main, emmenez-moi sur une île inconnue.
Faites-moi chialer, gueuler, vomir [Dm] et peur.
Et pire encore, [C] faites de moi un sorcier aux mains nues et sur un plateau d'argent.
Rapportez-moi [G] le bonheur.
Montez sur [A] mon dos, on part pour Mâpe.
Sur le voyage, on écoute.
Et quand on parle, on [Dm] parle courage, chacun parle en son [C] nom.
Et faites en sorte que personne ne soit étranger.
Si vous croisez mon mec, moi, [G] vous pouvez l'étrangler.
[Am] Lui jeter des pierres, le piédiner.
Mais surtout pas le réveiller, je veux plus le voir, je veux pas [Dm] croire qu'il ait pu exister.
[C] Fermez vos yeux et écoutez vos corps.
Encore, encore, laissez parler vos corps.
[G] Encore, encore, touchez [Am] la terre.
De vos ongles noirs et mal coupés.
[Dm] La veillée dans [C] la mer, le désespoir tombé comme un coup frais.
[Bm] Ensuite, parlez-moi du sommeil.
Racontez-moi vos rêves.
Comment on en crève, comment on en [C] vit.
Je vous dirai les miens.
Passage des clandestins, du dernier train de nuit.
[Bm] Je vous raconterai des anecdotes sur mes parents.
Des histoires tu ravis, mais bien dites-elles sont hilarantes.
Je [C] vous promets, pourtant c'est dur de promettre.
On a fait beaucoup de tronches blancs sur la [Am] clomestre.
On a fait de nos amours des squelettes, des fantômes.
On a gardé les numéros, on [Dm] a esquivé les obsèques.
[C] Elles qui du grand amour portaient fièrement tous les symptômes.
Elles qui m'aimaient à mort [G] et que j'ai envoyé se faire mettre.
J'ai [Am] pas claqué des doigts, craigné personne.
Mais pas s'il a oublié, ce serait mal me [Dm] connaître.
Que de penser l'inverse, [C] enfin bref.
[G] A chacune [Am] des galères, tu pourras vous plier.
Le chêne comme le roseau, attendre le vent.
Et la prochaine inverse, [C] enfin bref.
[Am]
Du vin, du rhum, du vin, du whisky, du vin, de la vodka.
Allez-y, tuez-vous.
Allez-y, je [C] rigole pas.
Je veux plus de vous quand vous faites ça.
Je veux plus de nous.
Vous-même, vous n'y croyez pas.
[G] Chantez-moi la mauvaise étoile épelée sur du soleil.
Chantez, souffle coupé, l'enfant qui dort sur un carton.
[Am] Chantez l'homme qui décroche à la lutte.
Chantez l'oseille, Roger Pickett ou l'absence d'horizon.
Surtout [G] dansez, dansez vos cheveux, dansez vos épaules.
À faire tromper le sol et par au-là, porte la cage.
Sans jamais être esclat [Am] des drogues ou des alcools.
Que le chant, que la danse, soit vague, temporaire.
Allez-y, chantez, [G] chantez, chantez.
Allez-y, dansez, dansez, dansez.
La soirée est tellement dense.
La chance, la chance, la chance.
C'est [Am] ça le temps qui passe.
C'est l'immortalité des souvenirs.
Donc prenez le temps de rattraper ceux qui veulent fuir.
N'oubliez pas [G] combien certains gars nous ont tués sur le moment.
Puis appréciez les minutes à réfléchir sur des pans.
Moi, à chacun de mes [Am] réveils, je donne tout.
Vraiment tout.
Et le reste, mon T-shirt, ma veste, mes sons, mes rimes.
Je m'en donne la peine.
Après la dernière image [G] de noir fondu sur les ténèbres.
Vous m'entendrez parler de mon paradis.
Où [C] pleuraient les séchelles, rêvées de la Normandie.
[Am] Où imaginez la Hongrie.
Imaginez la Hongrie.
Ce jour-là, [G] demandez-moi qui j'étais et que [F#m] fais-je de ma vie.
Ma bouche cousue [Em] à chameron, à l'impolitesse de vous [Bm] répondre.
Qu'il faut d'abord marcher [A] sur le saut des incontruits.
Ventre le vague à l'âme sans en faire tout un monde.
Ici, [G] c'est Paris.
Ici, c'est [F#m] chez moi.
Là, c'est mon lance qui [Em] sèche.
Ici, ma table basse, [Bm] tel que Verfine.
Et les [A] meugoneras sur le butac, mes fringues sales.
C'est mon bordel.
Que sèche de l'ordre comme il faut.
Je reste miroir de ce [G] genre de bordel.
Je suis face à mon mur, mes victoires accrochées.
Mes trophées d'hier, des pochettes de vinyle.
Celles de [Am] ma mère, mon père et de bien d'autres artistes.
Des photos de concerts, tout pour m'enlaire.
Son cas de Javi Rooster, des photos de Roy [G] et Pierre.
Julien Nkrumah, Anissa et bien d'autres complices.
Key:
G
C
Am
Dm
Bm
G
C
Am
_ _ _ _ _ [Dm] _ _ [C] _
_ _ _ _ _ [Bm] _ _ [Am] _
_ _ _ _ _ [Dm] _ _ [C] _
_ _ _ _ _ [G] _ _ [Am]
Comment ressentir les effets sans toucher à ses drogues ?
Rassuré, je me [Dm] dis qu'on s'en sortira [C] toujours.
Il m'arrive que le réponse me questionne quand je vous vois la mâchoire [G] cassée à
cracher sur l [Am]'amour.
Dites-moi, il me reste quoi ?
À moi limoler, sacrifié par le [Dm] verbe sur des papiers chiffonnés.
[C] Vous ne savez pas, il me reste l'envie, l'envie de m [G]'envoler du haut du [A] ciel.
Je cherche mes mots, je cherche des ailes, souvent j'en fais trop.
Et c'est faux que je [Dm] vous aime du haut du [C] ciel.
Il pleut des larmes dans des prisons de regrets.
Alors faites ce qu'il se doit, vous [G] qui méritez de crever.
Prenez-moi [A] par la main, emmenez-moi sur une île inconnue.
Faites-moi chialer, gueuler, vomir [Dm] et peur.
Et pire encore, [C] faites de moi un sorcier aux mains nues et sur un plateau d'argent.
Rapportez-moi [G] le bonheur.
Montez sur [A] mon dos, on part pour Mâpe.
Sur le voyage, on écoute.
Et quand on parle, on [Dm] parle courage, chacun parle en son [C] nom.
Et faites en sorte que personne ne soit étranger.
Si vous croisez mon mec, moi, [G] vous pouvez l'étrangler.
[Am] Lui jeter des pierres, le piédiner.
Mais surtout pas le réveiller, je veux plus le voir, je veux pas [Dm] croire qu'il ait pu exister.
[C] Fermez vos yeux et écoutez vos corps.
Encore, encore, laissez parler vos corps.
[G] Encore, encore, touchez [Am] la terre.
De vos ongles noirs et mal coupés.
_ _ [Dm] La veillée dans [C] la mer, le désespoir tombé comme un coup frais.
_ _ _ [Bm] Ensuite, parlez-moi du sommeil.
Racontez-moi vos rêves.
Comment on en crève, comment on en [C] vit.
Je vous dirai les miens.
Passage des clandestins, du dernier train de nuit.
[Bm] Je vous raconterai des anecdotes sur mes parents.
Des histoires tu ravis, mais bien dites-elles sont hilarantes.
Je [C] vous promets, pourtant c'est dur de promettre.
On a fait beaucoup de tronches blancs sur la [Am] clomestre.
On a fait de nos amours des squelettes, des fantômes.
On a gardé les numéros, on [Dm] a esquivé les obsèques.
[C] Elles qui du grand amour portaient fièrement tous les symptômes.
Elles qui m'aimaient à mort [G] et que j'ai envoyé se faire mettre.
J'ai [Am] pas claqué des doigts, craigné personne.
Mais pas s'il a oublié, ce serait mal me [Dm] connaître.
Que de penser l'inverse, [C] enfin bref.
_ _ _ _ _ [G] A chacune [Am] des galères, tu pourras vous plier.
Le chêne comme le roseau, attendre le vent.
Et la prochaine inverse, [C] enfin bref.
_ _ _ _ _ _ [Am]
Du vin, du rhum, du vin, du whisky, du vin, de la vodka.
Allez-y, tuez-vous.
Allez-y, je [C] rigole pas.
Je veux plus de vous quand vous faites ça.
Je veux plus de nous.
Vous-même, vous n'y croyez pas.
[G] Chantez-moi la mauvaise étoile épelée sur du soleil.
Chantez, souffle coupé, l'enfant qui dort sur un carton.
[Am] Chantez l'homme qui décroche à la lutte.
Chantez l'oseille, Roger Pickett ou l'absence d'horizon.
Surtout [G] dansez, dansez vos cheveux, dansez vos épaules.
À faire tromper le sol et par au-là, porte la cage.
Sans jamais être esclat [Am] des drogues ou des alcools.
Que le chant, que la danse, soit vague, temporaire.
Allez-y, chantez, [G] chantez, chantez.
Allez-y, dansez, dansez, dansez.
La soirée est tellement dense.
La chance, la chance, la chance.
C'est [Am] ça le temps qui passe.
C'est l'immortalité des souvenirs.
Donc prenez le temps de rattraper ceux qui veulent fuir.
N'oubliez pas [G] combien certains gars nous ont tués sur le moment.
Puis appréciez les minutes à réfléchir sur des pans.
Moi, à chacun de mes [Am] réveils, je donne tout.
Vraiment tout.
Et le reste, mon T-shirt, ma veste, mes sons, mes rimes.
Je m'en donne la peine.
Après la dernière image [G] de noir fondu sur les ténèbres.
Vous m'entendrez parler de mon paradis.
Où [C] pleuraient les séchelles, rêvées de la Normandie.
[Am] Où imaginez la Hongrie.
_ _ Imaginez la Hongrie.
Ce jour-là, [G] demandez-moi qui j'étais et que [F#m] fais-je de ma vie.
Ma bouche cousue [Em] à chameron, à l'impolitesse de vous [Bm] répondre.
Qu'il faut d'abord marcher [A] sur le saut des incontruits.
Ventre le vague à l'âme sans en faire tout un monde.
Ici, [G] c'est Paris.
Ici, c'est [F#m] chez moi.
Là, c'est mon lance qui [Em] sèche.
Ici, ma table basse, [Bm] tel que Verfine.
Et les [A] meugoneras sur le butac, mes fringues sales.
C'est mon bordel.
Que sèche de l'ordre comme il faut.
Je reste miroir de ce [G] genre de bordel.
Je suis face à mon mur, mes victoires accrochées.
Mes trophées d'hier, des pochettes de vinyle.
Celles de [Am] ma mère, mon père et de bien d'autres artistes.
Des photos de concerts, tout pour m'enlaire.
Son cas de Javi Rooster, des photos de Roy [G] et Pierre.
Julien Nkrumah, Anissa et bien d'autres complices. _ _ _ _
_ _ _ _ _ [Bm] _ _ [Am] _
_ _ _ _ _ [Dm] _ _ [C] _
_ _ _ _ _ [G] _ _ [Am]
Comment ressentir les effets sans toucher à ses drogues ?
Rassuré, je me [Dm] dis qu'on s'en sortira [C] toujours.
Il m'arrive que le réponse me questionne quand je vous vois la mâchoire [G] cassée à
cracher sur l [Am]'amour.
Dites-moi, il me reste quoi ?
À moi limoler, sacrifié par le [Dm] verbe sur des papiers chiffonnés.
[C] Vous ne savez pas, il me reste l'envie, l'envie de m [G]'envoler du haut du [A] ciel.
Je cherche mes mots, je cherche des ailes, souvent j'en fais trop.
Et c'est faux que je [Dm] vous aime du haut du [C] ciel.
Il pleut des larmes dans des prisons de regrets.
Alors faites ce qu'il se doit, vous [G] qui méritez de crever.
Prenez-moi [A] par la main, emmenez-moi sur une île inconnue.
Faites-moi chialer, gueuler, vomir [Dm] et peur.
Et pire encore, [C] faites de moi un sorcier aux mains nues et sur un plateau d'argent.
Rapportez-moi [G] le bonheur.
Montez sur [A] mon dos, on part pour Mâpe.
Sur le voyage, on écoute.
Et quand on parle, on [Dm] parle courage, chacun parle en son [C] nom.
Et faites en sorte que personne ne soit étranger.
Si vous croisez mon mec, moi, [G] vous pouvez l'étrangler.
[Am] Lui jeter des pierres, le piédiner.
Mais surtout pas le réveiller, je veux plus le voir, je veux pas [Dm] croire qu'il ait pu exister.
[C] Fermez vos yeux et écoutez vos corps.
Encore, encore, laissez parler vos corps.
[G] Encore, encore, touchez [Am] la terre.
De vos ongles noirs et mal coupés.
_ _ [Dm] La veillée dans [C] la mer, le désespoir tombé comme un coup frais.
_ _ _ [Bm] Ensuite, parlez-moi du sommeil.
Racontez-moi vos rêves.
Comment on en crève, comment on en [C] vit.
Je vous dirai les miens.
Passage des clandestins, du dernier train de nuit.
[Bm] Je vous raconterai des anecdotes sur mes parents.
Des histoires tu ravis, mais bien dites-elles sont hilarantes.
Je [C] vous promets, pourtant c'est dur de promettre.
On a fait beaucoup de tronches blancs sur la [Am] clomestre.
On a fait de nos amours des squelettes, des fantômes.
On a gardé les numéros, on [Dm] a esquivé les obsèques.
[C] Elles qui du grand amour portaient fièrement tous les symptômes.
Elles qui m'aimaient à mort [G] et que j'ai envoyé se faire mettre.
J'ai [Am] pas claqué des doigts, craigné personne.
Mais pas s'il a oublié, ce serait mal me [Dm] connaître.
Que de penser l'inverse, [C] enfin bref.
_ _ _ _ _ [G] A chacune [Am] des galères, tu pourras vous plier.
Le chêne comme le roseau, attendre le vent.
Et la prochaine inverse, [C] enfin bref.
_ _ _ _ _ _ [Am]
Du vin, du rhum, du vin, du whisky, du vin, de la vodka.
Allez-y, tuez-vous.
Allez-y, je [C] rigole pas.
Je veux plus de vous quand vous faites ça.
Je veux plus de nous.
Vous-même, vous n'y croyez pas.
[G] Chantez-moi la mauvaise étoile épelée sur du soleil.
Chantez, souffle coupé, l'enfant qui dort sur un carton.
[Am] Chantez l'homme qui décroche à la lutte.
Chantez l'oseille, Roger Pickett ou l'absence d'horizon.
Surtout [G] dansez, dansez vos cheveux, dansez vos épaules.
À faire tromper le sol et par au-là, porte la cage.
Sans jamais être esclat [Am] des drogues ou des alcools.
Que le chant, que la danse, soit vague, temporaire.
Allez-y, chantez, [G] chantez, chantez.
Allez-y, dansez, dansez, dansez.
La soirée est tellement dense.
La chance, la chance, la chance.
C'est [Am] ça le temps qui passe.
C'est l'immortalité des souvenirs.
Donc prenez le temps de rattraper ceux qui veulent fuir.
N'oubliez pas [G] combien certains gars nous ont tués sur le moment.
Puis appréciez les minutes à réfléchir sur des pans.
Moi, à chacun de mes [Am] réveils, je donne tout.
Vraiment tout.
Et le reste, mon T-shirt, ma veste, mes sons, mes rimes.
Je m'en donne la peine.
Après la dernière image [G] de noir fondu sur les ténèbres.
Vous m'entendrez parler de mon paradis.
Où [C] pleuraient les séchelles, rêvées de la Normandie.
[Am] Où imaginez la Hongrie.
_ _ Imaginez la Hongrie.
Ce jour-là, [G] demandez-moi qui j'étais et que [F#m] fais-je de ma vie.
Ma bouche cousue [Em] à chameron, à l'impolitesse de vous [Bm] répondre.
Qu'il faut d'abord marcher [A] sur le saut des incontruits.
Ventre le vague à l'âme sans en faire tout un monde.
Ici, [G] c'est Paris.
Ici, c'est [F#m] chez moi.
Là, c'est mon lance qui [Em] sèche.
Ici, ma table basse, [Bm] tel que Verfine.
Et les [A] meugoneras sur le butac, mes fringues sales.
C'est mon bordel.
Que sèche de l'ordre comme il faut.
Je reste miroir de ce [G] genre de bordel.
Je suis face à mon mur, mes victoires accrochées.
Mes trophées d'hier, des pochettes de vinyle.
Celles de [Am] ma mère, mon père et de bien d'autres artistes.
Des photos de concerts, tout pour m'enlaire.
Son cas de Javi Rooster, des photos de Roy [G] et Pierre.
Julien Nkrumah, Anissa et bien d'autres complices. _ _ _ _