Chords for Hubert-Félix Thiéfaine - Fièvre résurrectionnelle (Audio)
Tempo:
140.1 bpm
Chords used:
C#
F#
A#m
F
D#
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
[C#] Sous un brouillard d'acier, dans les banlieues d'Ismire, de Suse ou Saint-Affey,
[F#] Six milliards de pontins au bout de la lumière, qui se mettent à rêver d'un nouvel univers.
[C#] Et toi tu restes ailleurs, dans un buzz immortel, [F] à fabriquer des leurres en fleurs artificielles,
Pour les mendiants qui prient les dieux et les chimères, les trafiquants d'espoir aux [D#] sorties des [C#] [C] messières.
[A#] Je t'aime [A#m] et je [C#] t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, je t'aime et [C#] je t'attends, [F#]
et le [A#m] soleil se lève.
[A#]
[C#] Et le soleil dans un rideau de feu, dans les banlieues d'Auclain, de Cusco, montre [F#] six milliards de fantômes,
Qui cherchent la sortie, avec des sonotones et des cadres assortis.
[C#] Mais toi tu viens d'ailleurs d'une étrange spirale, [F] d'un maestro muni dans la brèche spatiale,
Avec autour du cou des cordes de piano et au poignet des clous, pour [A#m] taper le mambo.
Je t'aime et je t'attends, à l'ombre de mes rêves, je t'aime et [C#] je t'attends, [F#]
et le [A#m] soleil se lève.
Et le soleil dans [C#] son plasma féerique, dans les banlieues d'Hanoï, de Sfax ou de Munich,
[F#] Six milliards de lettreux qui cherchent leur putance, dans les rues de l'amour en suivant la cadence.
[C#] Mais toi tu cherches ailleurs l'espace mélémentaire, [F] qui traduisent nos pensées comme on traduit Homer,
Et tu m'apprends les vers d'Anna Akhmatova, pendant que je te joue Kéjala [D#] [F] Harmonica.
[A#m] Je t'aime et je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, je t'aime et je t 'attends, [F#]
et le soleil se [A#m] lève.
Et le soleil [C#] ivre de ses vieux ors, dans les banlieues d 'Ankordos ou Lombardor,
[F#] Six milliards de paumés levant la tête au ciel, pour y chercher l'erreur dans un vol d'hirondelles.
[C#] Mais toi tu planes ailleurs sur des nuages flous, [F] dans de faux arcs-en-ciel vibrants de sable mou,
Tu chantes des arias d'espoir universel, qui font que le soleil se lève [A#m] sur nos images.
Je t'aime et je t'attends, [F#] à l'ombre [A#m] de mes rêves, je t'aime et je t [C#]'attends, [F#]
et le soleil se [A#m] lève.
Et le [C#] soleil là-bas sur l'horizon, venant d'Héliopolis en jouant Hyperion,
[F#] Six milliards de groupies qui l'attendent hystérique, dans le stade aux Jougies, embrouillant la musique.
[C#] Mais toi tu squattes ailleurs dans un désert de pluie, [F]
en attendant les heures plus fraîches de la nuit,
Et tu me fais danser là-haut sur ta colline, dans ton souffle éthéré et de [D#] douceur [C#] [F] féminine.
[A#m] Je t'aime et je te veux, [F#] à l'ombre de mes [A#m] rêves, je t'aime et [C#] je te veux, [F#]
et le soleil [A#m] se lève.
[F#] Six milliards de pontins au bout de la lumière, qui se mettent à rêver d'un nouvel univers.
[C#] Et toi tu restes ailleurs, dans un buzz immortel, [F] à fabriquer des leurres en fleurs artificielles,
Pour les mendiants qui prient les dieux et les chimères, les trafiquants d'espoir aux [D#] sorties des [C#] [C] messières.
[A#] Je t'aime [A#m] et je [C#] t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, je t'aime et [C#] je t'attends, [F#]
et le [A#m] soleil se lève.
[A#]
[C#] Et le soleil dans un rideau de feu, dans les banlieues d'Auclain, de Cusco, montre [F#] six milliards de fantômes,
Qui cherchent la sortie, avec des sonotones et des cadres assortis.
[C#] Mais toi tu viens d'ailleurs d'une étrange spirale, [F] d'un maestro muni dans la brèche spatiale,
Avec autour du cou des cordes de piano et au poignet des clous, pour [A#m] taper le mambo.
Je t'aime et je t'attends, à l'ombre de mes rêves, je t'aime et [C#] je t'attends, [F#]
et le [A#m] soleil se lève.
Et le soleil dans [C#] son plasma féerique, dans les banlieues d'Hanoï, de Sfax ou de Munich,
[F#] Six milliards de lettreux qui cherchent leur putance, dans les rues de l'amour en suivant la cadence.
[C#] Mais toi tu cherches ailleurs l'espace mélémentaire, [F] qui traduisent nos pensées comme on traduit Homer,
Et tu m'apprends les vers d'Anna Akhmatova, pendant que je te joue Kéjala [D#] [F] Harmonica.
[A#m] Je t'aime et je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, je t'aime et je t 'attends, [F#]
et le soleil se [A#m] lève.
Et le soleil [C#] ivre de ses vieux ors, dans les banlieues d 'Ankordos ou Lombardor,
[F#] Six milliards de paumés levant la tête au ciel, pour y chercher l'erreur dans un vol d'hirondelles.
[C#] Mais toi tu planes ailleurs sur des nuages flous, [F] dans de faux arcs-en-ciel vibrants de sable mou,
Tu chantes des arias d'espoir universel, qui font que le soleil se lève [A#m] sur nos images.
Je t'aime et je t'attends, [F#] à l'ombre [A#m] de mes rêves, je t'aime et je t [C#]'attends, [F#]
et le soleil se [A#m] lève.
Et le [C#] soleil là-bas sur l'horizon, venant d'Héliopolis en jouant Hyperion,
[F#] Six milliards de groupies qui l'attendent hystérique, dans le stade aux Jougies, embrouillant la musique.
[C#] Mais toi tu squattes ailleurs dans un désert de pluie, [F]
en attendant les heures plus fraîches de la nuit,
Et tu me fais danser là-haut sur ta colline, dans ton souffle éthéré et de [D#] douceur [C#] [F] féminine.
[A#m] Je t'aime et je te veux, [F#] à l'ombre de mes [A#m] rêves, je t'aime et [C#] je te veux, [F#]
et le soleil [A#m] se lève.
Key:
C#
F#
A#m
F
D#
C#
F#
A#m
[C#] _ _ Sous un brouillard d'acier, dans les banlieues d'Ismire, de Suse ou Saint-Affey,
[F#] Six milliards de pontins au bout de la lumière, qui se mettent à rêver d'un nouvel univers.
[C#] Et toi tu restes ailleurs, dans un buzz immortel, [F] à fabriquer des leurres en fleurs _ artificielles,
Pour les mendiants qui prient les dieux et les chimères, les trafiquants d'espoir aux [D#] sorties des [C#] [C] messières.
[A#] Je t'aime [A#m] et je [C#] t'attends, _ [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, je t'aime et [C#] je t'attends, _ _ [F#] _
et le [A#m] soleil se lève.
_ [A#] _
[C#] Et le soleil dans un rideau de feu, dans les banlieues d'Auclain, de Cusco, montre [F#] six milliards de fantômes,
Qui cherchent la sortie, avec des sonotones et des cadres assortis.
[C#] Mais toi tu viens d'ailleurs d'une étrange spirale, [F] d'un maestro muni dans la brèche _ spatiale,
Avec autour du cou des cordes de piano et au poignet des clous, pour [A#m] taper le mambo.
Je t'aime et je t'attends, à l'ombre de mes rêves, je t'aime et [C#] je t'attends, _ [F#] _
et le [A#m] soleil se lève. _ _
Et le soleil dans [C#] son plasma féerique, dans les banlieues d'Hanoï, de Sfax ou de Munich,
[F#] Six milliards de lettreux qui cherchent leur putance, dans les rues de l'amour en suivant la cadence.
[C#] Mais toi tu cherches ailleurs l'espace mélémentaire, [F] qui traduisent nos pensées comme on traduit Homer,
Et tu m'apprends les vers d'Anna _ Akhmatova, pendant que je te joue Kéjala [D#] [F] Harmonica.
[A#m] Je t'aime et je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, je t'aime et je t _ 'attends, [F#] _
et le soleil se [A#m] lève. _ _
Et le soleil [C#] ivre de ses vieux ors, dans les banlieues d _ 'Ankordos ou Lombardor,
[F#] Six milliards de paumés levant la tête au ciel, pour y chercher l'erreur dans un vol d'hirondelles.
[C#] Mais toi tu planes ailleurs sur des nuages flous, [F] dans de faux arcs-en-ciel vibrants de sable mou,
Tu chantes des arias d'espoir universel, qui font que le soleil se lève [A#m] sur nos images.
Je t'aime et je t'attends, [F#] à l'ombre [A#m] de mes rêves, je t'aime et je t [C#]'attends, _ [F#] _
et le soleil se [A#m] lève. _ _
Et le [C#] soleil là-bas sur l'horizon, venant d'Héliopolis en jouant Hyperion,
[F#] Six milliards de groupies qui l'attendent hystérique, dans le stade aux Jougies, embrouillant la musique.
[C#] Mais toi tu squattes ailleurs dans un désert de pluie, [F]
en attendant les heures plus fraîches de la nuit,
Et tu me fais danser là-haut sur ta colline, dans ton souffle éthéré et de [D#] douceur [C#] [F] féminine.
[A#m] Je t'aime et je te veux, [F#] à l'ombre de mes [A#m] rêves, je t'aime et [C#] je te veux, _ [F#] _
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[F#] Six milliards de pontins au bout de la lumière, qui se mettent à rêver d'un nouvel univers.
[C#] Et toi tu restes ailleurs, dans un buzz immortel, [F] à fabriquer des leurres en fleurs _ artificielles,
Pour les mendiants qui prient les dieux et les chimères, les trafiquants d'espoir aux [D#] sorties des [C#] [C] messières.
[A#] Je t'aime [A#m] et je [C#] t'attends, _ [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, je t'aime et [C#] je t'attends, _ _ [F#] _
et le [A#m] soleil se lève.
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[C#] Et le soleil dans un rideau de feu, dans les banlieues d'Auclain, de Cusco, montre [F#] six milliards de fantômes,
Qui cherchent la sortie, avec des sonotones et des cadres assortis.
[C#] Mais toi tu viens d'ailleurs d'une étrange spirale, [F] d'un maestro muni dans la brèche _ spatiale,
Avec autour du cou des cordes de piano et au poignet des clous, pour [A#m] taper le mambo.
Je t'aime et je t'attends, à l'ombre de mes rêves, je t'aime et [C#] je t'attends, _ [F#] _
et le [A#m] soleil se lève. _ _
Et le soleil dans [C#] son plasma féerique, dans les banlieues d'Hanoï, de Sfax ou de Munich,
[F#] Six milliards de lettreux qui cherchent leur putance, dans les rues de l'amour en suivant la cadence.
[C#] Mais toi tu cherches ailleurs l'espace mélémentaire, [F] qui traduisent nos pensées comme on traduit Homer,
Et tu m'apprends les vers d'Anna _ Akhmatova, pendant que je te joue Kéjala [D#] [F] Harmonica.
[A#m] Je t'aime et je t'attends, [F#] à l'ombre de [A#m] mes rêves, je t'aime et je t _ 'attends, [F#] _
et le soleil se [A#m] lève. _ _
Et le soleil [C#] ivre de ses vieux ors, dans les banlieues d _ 'Ankordos ou Lombardor,
[F#] Six milliards de paumés levant la tête au ciel, pour y chercher l'erreur dans un vol d'hirondelles.
[C#] Mais toi tu planes ailleurs sur des nuages flous, [F] dans de faux arcs-en-ciel vibrants de sable mou,
Tu chantes des arias d'espoir universel, qui font que le soleil se lève [A#m] sur nos images.
Je t'aime et je t'attends, [F#] à l'ombre [A#m] de mes rêves, je t'aime et je t [C#]'attends, _ [F#] _
et le soleil se [A#m] lève. _ _
Et le [C#] soleil là-bas sur l'horizon, venant d'Héliopolis en jouant Hyperion,
[F#] Six milliards de groupies qui l'attendent hystérique, dans le stade aux Jougies, embrouillant la musique.
[C#] Mais toi tu squattes ailleurs dans un désert de pluie, [F]
en attendant les heures plus fraîches de la nuit,
Et tu me fais danser là-haut sur ta colline, dans ton souffle éthéré et de [D#] douceur [C#] [F] féminine.
[A#m] Je t'aime et je te veux, [F#] à l'ombre de mes [A#m] rêves, je t'aime et [C#] je te veux, _ [F#] _
et le soleil [A#m] se lève. _ _
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