Lorsque Tu Me Liras Chords by Léo Ferré
Tempo:
88.95 bpm
Chords used:
E
F#m
F#
G#
G#m
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret

Jam Along & Learn...
Lorsque tu me liras, Christy, je te regarderai dans le pare-brise.
Lorsque tu me [G#] liras, ma maison [E] sera silencieuse et mon silence à moi te remplira tout entier aussi.
C'est une musique très douce que je t'apporte.
plus profond de ma solitude cette joie triste d'être.
jour nous bâtissons en dépit des autres, en dépit [E] de cette prison où nous nous sommes nés, en dépit des larmes [G#m] où nous pleurons chacun dans notre coin, mais présents [E] l'un à l'autre.
Tu sais, [F#m] je t'y voyais bouger, à peine te pencher vers cette terre que nous aimons bien tous les deux.
mais je n'étais pas là.
rêve.
Lorsque tu me [G#] liras, ma maison [E] sera silencieuse et mon silence à moi te remplira tout entier aussi.
C'est une musique très douce que je t'apporte.
plus profond de ma solitude cette joie triste d'être.
jour nous bâtissons en dépit des autres, en dépit [E] de cette prison où nous nous sommes nés, en dépit des larmes [G#m] où nous pleurons chacun dans notre coin, mais présents [E] l'un à l'autre.
Tu sais, [F#m] je t'y voyais bouger, à peine te pencher vers cette terre que nous aimons bien tous les deux.
mais je n'étais pas là.
rêve.
100% ➙ 89BPM
E
F#m
F#
G#
G#m
E
F#m
F#
_ _ _ Lorsque tu me liras, Christy, je te regarderai dans le pare-brise.
Tu viendras à moi tout entière comme la [F#] roque.
Lorsque tu me [G#] liras, ma maison [E] sera silencieuse et mon silence à moi te remplira tout entier aussi.
Avec toi, dans toi, je ne suis jamais silencieux.
C'est une musique très douce que je t'apporte.
Quant à toi, [F#m] tu verses au plus profond de ma solitude cette joie triste d'être.
Cet amour que jour après jour nous bâtissons en dépit des autres, en dépit [E] de cette prison où nous nous sommes nés, en dépit des larmes [G#m] où nous pleurons chacun dans notre coin, mais présents [E] l'un à l'autre.
Je te voyais ces jours-ci [F#] dans la lande là-bas.
Tu sais, [F#m] je t'y voyais bouger, à peine te pencher vers cette terre que nous aimons bien tous les deux.
Tu te prosternais à lui comme [E] une madone, mais je n'étais pas là.
_ Ce que je voyais, c'était mon rêve.
_ Ne pas te voir, vu que je ne te vois.
Je me [F#m] demande la dette que me fait ainsi payer.
Pourquoi ?
L'amour est triste, bien sûr, mais [E] c'est difficile, au bout du compte, difficile.
Dans mes [F#] bras, quand tu t'en vas longtemps [E] vers les étoiles [F#m] et que tu me demandes de laisser encore, encore, je suis bien.
C'est le printemps, tout [E] recommence, tout fleurit, et tu fleuriras aussi de moi, je te le promets.
La patience, [F#m] c'est notre grande vertu, c'est notre drame aussi.
Un jour, nous ne serons plus patients, alors tout s [E]'éclairera, et nous dormirons longtemps, et nous jouirons comme des enfants.
Tu m'as refait enfant, [A] j'ai devant moi [F#m] des tas de projets de bonheur, mais maintenant, tout est arrêté dans ma [E] prison.
J'attends que l'heure sonne, je [E] me perds dans toi, tout à fait.
[F#m] _ _ _ Je t'aime, _ Christy, _ je t'aime.
[E] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _
Tu viendras à moi tout entière comme la [F#] roque.
Lorsque tu me [G#] liras, ma maison [E] sera silencieuse et mon silence à moi te remplira tout entier aussi.
Avec toi, dans toi, je ne suis jamais silencieux.
C'est une musique très douce que je t'apporte.
Quant à toi, [F#m] tu verses au plus profond de ma solitude cette joie triste d'être.
Cet amour que jour après jour nous bâtissons en dépit des autres, en dépit [E] de cette prison où nous nous sommes nés, en dépit des larmes [G#m] où nous pleurons chacun dans notre coin, mais présents [E] l'un à l'autre.
Je te voyais ces jours-ci [F#] dans la lande là-bas.
Tu sais, [F#m] je t'y voyais bouger, à peine te pencher vers cette terre que nous aimons bien tous les deux.
Tu te prosternais à lui comme [E] une madone, mais je n'étais pas là.
_ Ce que je voyais, c'était mon rêve.
_ Ne pas te voir, vu que je ne te vois.
Je me [F#m] demande la dette que me fait ainsi payer.
Pourquoi ?
L'amour est triste, bien sûr, mais [E] c'est difficile, au bout du compte, difficile.
Dans mes [F#] bras, quand tu t'en vas longtemps [E] vers les étoiles [F#m] et que tu me demandes de laisser encore, encore, je suis bien.
C'est le printemps, tout [E] recommence, tout fleurit, et tu fleuriras aussi de moi, je te le promets.
La patience, [F#m] c'est notre grande vertu, c'est notre drame aussi.
Un jour, nous ne serons plus patients, alors tout s [E]'éclairera, et nous dormirons longtemps, et nous jouirons comme des enfants.
Tu m'as refait enfant, [A] j'ai devant moi [F#m] des tas de projets de bonheur, mais maintenant, tout est arrêté dans ma [E] prison.
J'attends que l'heure sonne, je [E] me perds dans toi, tout à fait.
[F#m] _ _ _ Je t'aime, _ Christy, _ je t'aime.
[E] _ _ _ _
_ _ _ _ _ _ _ _