Tu Ne Dis Jamais Rien Chords by Léo Ferré
Tempo:
122.8 bpm
Chords used:
Gm
Fm
Eb
C
Cm
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
[Gm]
[Fm]
[Gm]
[Eb] [Gm]
Je vois le monde un peu comme on voit l'incroyable, l'incroyable c'est ça, c'est ce qu'on ne
voit [Fm] pas, des fleurs dans des crayons, de bussi sur de sable, à Saint-Aubin-sur-Mer
que je ne connais [Gm] pas.
Les filles dans du fer, au fond de l'habitude
et des mineurs creusant dans leur ventre tout [Fm] chaud, des soutiens-gorges aux chars, des
patrons dans le sud, à Marney pour les ouvriers de chez [Gm] Renaud.
Moi je vis donc ailleurs, dans la dimension 4, avec la [Eb] bande [Gm] dessinée [Fm] GMC2, je suis
l'âtre, viens chez moi mon amour, viens chez moi, il y a [Gm] du feu.
Je vole pour la peau, sur l'air des misères, je suis un vieux Boeing de l'an [Fm] 89, je pars
la fleur aux dents pour la dernière guerre, ma machine à écrire un couplet [Gm] tout neuf.
Je vois la stéréo dans l'oeil d'une petite, des pianos sur des ventres de filles à [Fm] Paris,
un chimpanzé glacé qui chante ma musique avec moi doucement, et toi tu n [Gm]'as rien dit.
Tu ne dis jamais rien, tu ne dis jamais rien, [Eb] tu pleures [Gm] quelquefois comme pleurent les
[C] bêtes, sans savoir le pourquoi, et qui ne disent rien [Fm] comme toi l'oeil ailleurs, à
me faire [Gm] la fête.
Dans ton ventre désert, je vois des multitudes, je suis demain, [Eb] c'est toi mon [Gm] demain de [Fm] ma
vie, je vois des fiancées perdues, qui se dénudent au velours de ta voix, qui passent
sur [Gm] la nuit.
Je vois des odeurs tièdes sur des pavés de songe à Paris, quand je suis allongé dans
son [Fm] lit, à voir passer sur moi des filles et des éponges qui s'englottent du sucre
de l'âme de [Gm] folie.
Moi je vis donc [Eb] ailleurs, dans [Gm] la dimension X, avec [Eb] la bande [Gm] dessinée chez un [Fm] ami, je
suis jamais, je suis toujours, et je suis l'X de la formule de l'amour et de [Gm] l'envie.
Je vois des tramways bleus sur des rails d'enfants tristes, des paravents chinois devant le vent
[Fm] du nord, des objets sans objet, des fenêtres d'artistes d'où sortent le soleil, le génie
et [Gm] la mort.
Attends, je vois tout près une étoile orpheline qui vient dans ta [Eb] maison, qui vient dans
[Gm] ta maison pour te parler de [Fm] moi, je la connais depuis longtemps, c'est ma voisine, mais
sa lumière est illusoire, comme [Gm] moi.
Et tu ne me dis rien, tu ne dis jamais rien, mais tu luis [Eb] dans mon [Gm] cœur comme lui cette [C] étoile.
[Cm] [Fm]
Avec ses feux perdus dans des lointains semaines, tu ne dis jamais rien [F] comme [Fm] font les [Gm]
étoiles.
[Eb] [Gm]
Tu ne dis jamais rien, tu ne dis jamais [Fm] rien, tu ne dis jamais rien, tu ne dis jamais [Gm] rien.
[Fm]
[Gm]
[Eb] [Gm]
Je vois le monde un peu comme on voit l'incroyable, l'incroyable c'est ça, c'est ce qu'on ne
voit [Fm] pas, des fleurs dans des crayons, de bussi sur de sable, à Saint-Aubin-sur-Mer
que je ne connais [Gm] pas.
Les filles dans du fer, au fond de l'habitude
et des mineurs creusant dans leur ventre tout [Fm] chaud, des soutiens-gorges aux chars, des
patrons dans le sud, à Marney pour les ouvriers de chez [Gm] Renaud.
Moi je vis donc ailleurs, dans la dimension 4, avec la [Eb] bande [Gm] dessinée [Fm] GMC2, je suis
l'âtre, viens chez moi mon amour, viens chez moi, il y a [Gm] du feu.
Je vole pour la peau, sur l'air des misères, je suis un vieux Boeing de l'an [Fm] 89, je pars
la fleur aux dents pour la dernière guerre, ma machine à écrire un couplet [Gm] tout neuf.
Je vois la stéréo dans l'oeil d'une petite, des pianos sur des ventres de filles à [Fm] Paris,
un chimpanzé glacé qui chante ma musique avec moi doucement, et toi tu n [Gm]'as rien dit.
Tu ne dis jamais rien, tu ne dis jamais rien, [Eb] tu pleures [Gm] quelquefois comme pleurent les
[C] bêtes, sans savoir le pourquoi, et qui ne disent rien [Fm] comme toi l'oeil ailleurs, à
me faire [Gm] la fête.
Dans ton ventre désert, je vois des multitudes, je suis demain, [Eb] c'est toi mon [Gm] demain de [Fm] ma
vie, je vois des fiancées perdues, qui se dénudent au velours de ta voix, qui passent
sur [Gm] la nuit.
Je vois des odeurs tièdes sur des pavés de songe à Paris, quand je suis allongé dans
son [Fm] lit, à voir passer sur moi des filles et des éponges qui s'englottent du sucre
de l'âme de [Gm] folie.
Moi je vis donc [Eb] ailleurs, dans [Gm] la dimension X, avec [Eb] la bande [Gm] dessinée chez un [Fm] ami, je
suis jamais, je suis toujours, et je suis l'X de la formule de l'amour et de [Gm] l'envie.
Je vois des tramways bleus sur des rails d'enfants tristes, des paravents chinois devant le vent
[Fm] du nord, des objets sans objet, des fenêtres d'artistes d'où sortent le soleil, le génie
et [Gm] la mort.
Attends, je vois tout près une étoile orpheline qui vient dans ta [Eb] maison, qui vient dans
[Gm] ta maison pour te parler de [Fm] moi, je la connais depuis longtemps, c'est ma voisine, mais
sa lumière est illusoire, comme [Gm] moi.
Et tu ne me dis rien, tu ne dis jamais rien, mais tu luis [Eb] dans mon [Gm] cœur comme lui cette [C] étoile.
[Cm] [Fm]
Avec ses feux perdus dans des lointains semaines, tu ne dis jamais rien [F] comme [Fm] font les [Gm]
étoiles.
[Eb] [Gm]
Tu ne dis jamais rien, tu ne dis jamais [Fm] rien, tu ne dis jamais rien, tu ne dis jamais [Gm] rien.
Key:
Gm
Fm
Eb
C
Cm
Gm
Fm
Eb
[Gm] _ _ _ _ _ _ _ _
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_ _ [Eb] _ _ [Gm] _ _ _
Je vois le monde un peu comme on voit l'incroyable, l'incroyable c'est ça, c'est ce qu'on ne
voit [Fm] pas, des fleurs dans des crayons, de bussi sur de sable, à Saint-Aubin-sur-Mer
que je ne connais [Gm] pas. _
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Les filles dans du fer, au fond de l'habitude
et des mineurs creusant dans leur ventre tout [Fm] chaud, des soutiens-gorges aux chars, des
patrons dans le sud, à Marney pour les ouvriers de chez [Gm] Renaud.
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Moi je vis donc ailleurs, dans la dimension 4, avec la [Eb] bande _ [Gm] dessinée _ [Fm] GMC2, je _ _ _ _ _ _ suis
l'âtre, viens chez moi mon amour, viens chez moi, il y a [Gm] du feu.
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_ Je vole pour la peau, sur l'air des misères, je suis un vieux Boeing de l'an [Fm] 89, je pars
la fleur aux dents pour la dernière guerre, ma machine à écrire un couplet [Gm] tout neuf.
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Je vois la stéréo dans l'oeil d'une petite, des pianos sur des ventres de filles à [Fm] Paris,
un chimpanzé glacé qui chante ma musique avec moi _ doucement, et toi tu n [Gm]'as rien dit. _ _ _ _ _ _ _
_ Tu ne dis jamais rien, tu ne dis jamais rien, [Eb] tu pleures [Gm] quelquefois comme pleurent les _ _
[C] _ _ _ _ _ bêtes, _ _ sans savoir le pourquoi, _ et qui ne disent rien [Fm] comme toi l'oeil ailleurs, à
me faire [Gm] la _ _ _ _ fête. _ _ _
_ _ _ Dans ton ventre désert, je vois des multitudes, je suis demain, [Eb] c'est toi mon [Gm] demain de [Fm] ma
vie, je vois des fiancées perdues, qui se dénudent au velours de ta voix, qui passent
sur [Gm] la nuit. _ _ _
_ _ _ _ _ _ Je vois des odeurs tièdes sur des pavés de songe à Paris, quand je suis allongé dans
son [Fm] lit, à voir passer sur moi des filles et des éponges qui s'englottent du _ sucre
de l'âme de [Gm] _ folie.
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_ Moi je vis donc [Eb] ailleurs, dans [Gm] la dimension X, avec [Eb] la bande [Gm] dessinée chez un [Fm] ami, je
suis jamais, je suis toujours, et je suis l'X de la formule de l'amour et de [Gm] l'envie.
_ _ Je _ _ _ _ _ _ vois des tramways bleus sur des rails d'enfants tristes, des paravents chinois devant le vent
[Fm] du nord, des objets sans objet, des fenêtres d'artistes d'où sortent le soleil, le génie
et [Gm] la mort. _ _
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Attends, je vois tout près une étoile orpheline qui vient dans ta [Eb] maison, qui vient dans
[Gm] ta maison pour te parler de [Fm] moi, je la connais depuis longtemps, _ c'est ma voisine, mais
sa lumière est _ illusoire, comme [Gm] moi. _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ Et tu ne me dis rien, tu ne dis jamais rien, mais tu luis [Eb] dans mon [Gm] cœur comme lui cette [C] étoile. _ _ _ _ _
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Avec ses feux _ perdus dans des lointains semaines, tu ne dis jamais rien [F] comme [Fm] font les [Gm] _ _
_ étoiles.
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_ _ _ Tu ne dis jamais rien, tu ne dis jamais [Fm] rien, tu ne dis jamais rien, tu ne dis jamais [Gm] rien. _ _ _ _ _
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Je vois le monde un peu comme on voit l'incroyable, l'incroyable c'est ça, c'est ce qu'on ne
voit [Fm] pas, des fleurs dans des crayons, de bussi sur de sable, à Saint-Aubin-sur-Mer
que je ne connais [Gm] pas. _
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Les filles dans du fer, au fond de l'habitude
et des mineurs creusant dans leur ventre tout [Fm] chaud, des soutiens-gorges aux chars, des
patrons dans le sud, à Marney pour les ouvriers de chez [Gm] Renaud.
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Moi je vis donc ailleurs, dans la dimension 4, avec la [Eb] bande _ [Gm] dessinée _ [Fm] GMC2, je _ _ _ _ _ _ suis
l'âtre, viens chez moi mon amour, viens chez moi, il y a [Gm] du feu.
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_ Je vole pour la peau, sur l'air des misères, je suis un vieux Boeing de l'an [Fm] 89, je pars
la fleur aux dents pour la dernière guerre, ma machine à écrire un couplet [Gm] tout neuf.
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Je vois la stéréo dans l'oeil d'une petite, des pianos sur des ventres de filles à [Fm] Paris,
un chimpanzé glacé qui chante ma musique avec moi _ doucement, et toi tu n [Gm]'as rien dit. _ _ _ _ _ _ _
_ Tu ne dis jamais rien, tu ne dis jamais rien, [Eb] tu pleures [Gm] quelquefois comme pleurent les _ _
[C] _ _ _ _ _ bêtes, _ _ sans savoir le pourquoi, _ et qui ne disent rien [Fm] comme toi l'oeil ailleurs, à
me faire [Gm] la _ _ _ _ fête. _ _ _
_ _ _ Dans ton ventre désert, je vois des multitudes, je suis demain, [Eb] c'est toi mon [Gm] demain de [Fm] ma
vie, je vois des fiancées perdues, qui se dénudent au velours de ta voix, qui passent
sur [Gm] la nuit. _ _ _
_ _ _ _ _ _ Je vois des odeurs tièdes sur des pavés de songe à Paris, quand je suis allongé dans
son [Fm] lit, à voir passer sur moi des filles et des éponges qui s'englottent du _ sucre
de l'âme de [Gm] _ folie.
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_ Moi je vis donc [Eb] ailleurs, dans [Gm] la dimension X, avec [Eb] la bande [Gm] dessinée chez un [Fm] ami, je
suis jamais, je suis toujours, et je suis l'X de la formule de l'amour et de [Gm] l'envie.
_ _ Je _ _ _ _ _ _ vois des tramways bleus sur des rails d'enfants tristes, des paravents chinois devant le vent
[Fm] du nord, des objets sans objet, des fenêtres d'artistes d'où sortent le soleil, le génie
et [Gm] la mort. _ _
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Attends, je vois tout près une étoile orpheline qui vient dans ta [Eb] maison, qui vient dans
[Gm] ta maison pour te parler de [Fm] moi, je la connais depuis longtemps, _ c'est ma voisine, mais
sa lumière est _ illusoire, comme [Gm] moi. _ _ _ _ _ _ _
_ _ _ _ Et tu ne me dis rien, tu ne dis jamais rien, mais tu luis [Eb] dans mon [Gm] cœur comme lui cette [C] étoile. _ _ _ _ _
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Avec ses feux _ perdus dans des lointains semaines, tu ne dis jamais rien [F] comme [Fm] font les [Gm] _ _
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