Est-Ce Ainsi Que Les Hommes Vivent Chords by Yves Montand
Tempo:
94 bpm
Chords used:
Em
B
G
F#
Am
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
Start Jamming...
[Em] [F#]
[B] [Em] Tout est affaire de décors, changer de lit, [Am] changer de corps, à quoi bon puisque c'est encore moi qui moi-même me [B] trahis,
moi qui me traîne et mes parapilles et mon ombre se [Em] déshabille [G] dans les bras semblables des filles
[Em] où j'ai cru trouver un pays.
[B] [Em] Coeur léger, coeur changeant, coeur lourd, le temps de [Am] rêver bien court,
que faut-il faire de mes jours, que [F#] faut-il faire de mes nuits, je n'avais amour ni [B] demeure, nulle part [Em] où je vive ou meure,
je passais comme la rumeur, [B] je m'endormais [G] comme le bruit.
[Cm] [A] [B] Est-ce ainsi que les hommes [E] [Em] vivent [B] et leur baiser au loin les suive [Em] ?
C'était un temps déraisonnable, on avait [Am] mis les morts à table, on faisait des châteaux de sable, on prenait les loups pour des chiens,
tout changeait de pôle et d [D#]'épaule, la pièce était [Em] telle ou non drôle, moi si j'y tenais [C] mal mon rôle, c [B]'était de n'y comprendre rien.
[G]
[F#] [Em] Dans le quartier Rohenzollern, entre la salle et les [F#] casernes, comme les fleurs de la luzerne, fleurissaient les cendres.
Elle avait un cordillon d'aile sur le [B] canapé du [Em] bordel, je venais m [F#]'allonger près d'elle dans [B] les hoquets du piano [Em] là.
[G#] [Am] [C]
[B] Est-ce ainsi que les hommes
[E] [Em] vivent et leur baiser [B] au loin les suivent [Em] ?
Le ciel était gris de [F#] nuages, il y volait des oies sauvages qui criaient la mort au passage, au-dessus des maisons des quais, je les voyais par la fenêtre,
leur chant triste [E] entrait dans mon être [G] et je croyais y reconnaître [Em] du Reiner Maria Rilke.
Elle était brune et pourtant blanche, ses cheveux tombaient [Am] sur ses hanches, et la semaine et le dimanche, elle offrait à tous ses bras nus.
Elle avait des yeux de [B] faïence et travaillait avec [Em] vaillance pour un [D#] artilleur de [C] maillance qui [G] n'en est [Em] jamais revenu.
[C]
[B] Est-ce ainsi que les [E] hommes [Em] vivent et [B] leur baiser au loin les [Em] suivent ?
[E] Il est d'autres soldats en ville et la nuit [C] monte, les [Am] civils remet du rimel à tes cils, oh là, qui [E] t'en ira bientôt ?
Encore un verre de liqueur, ce fut un [Em] avril à 5 heures, [G] au petit jour que dans ton [D#] coeur, un [G#m] dragon plongea son [C#] couteau.
[Cm] [C] [B]
[G] [A]
[G] [G] [D#m] [Em]
[F#m] [Em]
[F#] [Em]
[B] [Em] Tout est affaire de décors, changer de lit, [Am] changer de corps, à quoi bon puisque c'est encore moi qui moi-même me [B] trahis,
moi qui me traîne et mes parapilles et mon ombre se [Em] déshabille [G] dans les bras semblables des filles
[Em] où j'ai cru trouver un pays.
[B] [Em] Coeur léger, coeur changeant, coeur lourd, le temps de [Am] rêver bien court,
que faut-il faire de mes jours, que [F#] faut-il faire de mes nuits, je n'avais amour ni [B] demeure, nulle part [Em] où je vive ou meure,
je passais comme la rumeur, [B] je m'endormais [G] comme le bruit.
[Cm] [A] [B] Est-ce ainsi que les hommes [E] [Em] vivent [B] et leur baiser au loin les suive [Em] ?
C'était un temps déraisonnable, on avait [Am] mis les morts à table, on faisait des châteaux de sable, on prenait les loups pour des chiens,
tout changeait de pôle et d [D#]'épaule, la pièce était [Em] telle ou non drôle, moi si j'y tenais [C] mal mon rôle, c [B]'était de n'y comprendre rien.
[G]
[F#] [Em] Dans le quartier Rohenzollern, entre la salle et les [F#] casernes, comme les fleurs de la luzerne, fleurissaient les cendres.
Elle avait un cordillon d'aile sur le [B] canapé du [Em] bordel, je venais m [F#]'allonger près d'elle dans [B] les hoquets du piano [Em] là.
[G#] [Am] [C]
[B] Est-ce ainsi que les hommes
[E] [Em] vivent et leur baiser [B] au loin les suivent [Em] ?
Le ciel était gris de [F#] nuages, il y volait des oies sauvages qui criaient la mort au passage, au-dessus des maisons des quais, je les voyais par la fenêtre,
leur chant triste [E] entrait dans mon être [G] et je croyais y reconnaître [Em] du Reiner Maria Rilke.
Elle était brune et pourtant blanche, ses cheveux tombaient [Am] sur ses hanches, et la semaine et le dimanche, elle offrait à tous ses bras nus.
Elle avait des yeux de [B] faïence et travaillait avec [Em] vaillance pour un [D#] artilleur de [C] maillance qui [G] n'en est [Em] jamais revenu.
[C]
[B] Est-ce ainsi que les [E] hommes [Em] vivent et [B] leur baiser au loin les [Em] suivent ?
[E] Il est d'autres soldats en ville et la nuit [C] monte, les [Am] civils remet du rimel à tes cils, oh là, qui [E] t'en ira bientôt ?
Encore un verre de liqueur, ce fut un [Em] avril à 5 heures, [G] au petit jour que dans ton [D#] coeur, un [G#m] dragon plongea son [C#] couteau.
[Cm] [C] [B]
[G] [A]
[G] [G] [D#m] [Em]
[F#m] [Em]
[F#] [Em]
Key:
Em
B
G
F#
Am
Em
B
G
_ _ _ [Em] _ _ _ [F#] _ _
_ _ [B] _ _ [Em] _ _ Tout est affaire de décors, changer de lit, [Am] changer de corps, à quoi bon puisque c'est encore moi qui moi-même me [B] trahis,
moi qui me traîne et mes parapilles et mon ombre se [Em] déshabille [G] dans les bras semblables des filles
_ [Em] où j'ai cru trouver un pays.
_ _ [B] _ _ [Em] Coeur léger, coeur changeant, coeur lourd, le temps de [Am] rêver bien court,
que faut-il faire de mes jours, que [F#] faut-il faire de mes nuits, je n'avais amour ni [B] demeure, nulle part [Em] où je vive ou meure,
je passais comme la rumeur, [B] je m'endormais [G] comme le bruit. _
[Cm] _ _ [A] _ [B] Est-ce ainsi que les hommes [E] _ _ [Em] vivent [B] et leur baiser au loin les suive [Em] ?
_ _ C'était un temps déraisonnable, on avait [Am] mis les morts à table, on faisait des châteaux de sable, on prenait les loups pour des chiens,
tout changeait de pôle et d [D#]'épaule, la pièce était [Em] telle ou non drôle, moi si j'y tenais [C] mal mon rôle, c [B]'était de n'y comprendre rien.
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[F#] _ _ [Em] Dans le quartier Rohenzollern, entre la salle et les [F#] casernes, comme les fleurs de la luzerne, fleurissaient les cendres.
Elle avait un cordillon d'aile sur le [B] canapé du [Em] bordel, je venais m [F#]'allonger près d'elle dans [B] les hoquets du piano [Em] là. _
[G#] _ _ _ [Am] _ _ _ [C] _ _
[B] Est-ce ainsi que les hommes _
[E] _ _ [Em] vivent et leur baiser [B] au loin les _ _ _ suivent [Em] ?
Le ciel était gris de [F#] nuages, il y volait des oies sauvages qui criaient la mort au passage, au-dessus des maisons des quais, je les voyais par la fenêtre,
leur chant triste [E] entrait dans mon être [G] et je croyais y reconnaître [Em] du Reiner Maria Rilke.
_ _ _ Elle était brune et pourtant blanche, ses cheveux tombaient [Am] sur ses hanches, et la semaine et le dimanche, elle offrait à tous ses bras nus.
Elle avait des yeux de [B] faïence et travaillait avec [Em] vaillance pour un [D#] artilleur de [C] maillance qui [G] n'en est [Em] jamais _ revenu.
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_ _ [B] Est-ce ainsi que les _ [E] hommes _ _ [Em] _ vivent et [B] leur baiser au loin les _ _ [Em] suivent ?
[E] Il est d'autres soldats en ville et la nuit [C] monte, les [Am] civils remet du rimel à tes cils, oh là, qui [E] t'en ira bientôt ?
Encore un verre de liqueur, ce fut un [Em] avril à 5 heures, [G] au petit jour que dans ton [D#] coeur, un [G#m] dragon plongea son [C#] couteau. _ _ _
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_ _ [B] _ _ [Em] _ _ Tout est affaire de décors, changer de lit, [Am] changer de corps, à quoi bon puisque c'est encore moi qui moi-même me [B] trahis,
moi qui me traîne et mes parapilles et mon ombre se [Em] déshabille [G] dans les bras semblables des filles
_ [Em] où j'ai cru trouver un pays.
_ _ [B] _ _ [Em] Coeur léger, coeur changeant, coeur lourd, le temps de [Am] rêver bien court,
que faut-il faire de mes jours, que [F#] faut-il faire de mes nuits, je n'avais amour ni [B] demeure, nulle part [Em] où je vive ou meure,
je passais comme la rumeur, [B] je m'endormais [G] comme le bruit. _
[Cm] _ _ [A] _ [B] Est-ce ainsi que les hommes [E] _ _ [Em] vivent [B] et leur baiser au loin les suive [Em] ?
_ _ C'était un temps déraisonnable, on avait [Am] mis les morts à table, on faisait des châteaux de sable, on prenait les loups pour des chiens,
tout changeait de pôle et d [D#]'épaule, la pièce était [Em] telle ou non drôle, moi si j'y tenais [C] mal mon rôle, c [B]'était de n'y comprendre rien.
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[F#] _ _ [Em] Dans le quartier Rohenzollern, entre la salle et les [F#] casernes, comme les fleurs de la luzerne, fleurissaient les cendres.
Elle avait un cordillon d'aile sur le [B] canapé du [Em] bordel, je venais m [F#]'allonger près d'elle dans [B] les hoquets du piano [Em] là. _
[G#] _ _ _ [Am] _ _ _ [C] _ _
[B] Est-ce ainsi que les hommes _
[E] _ _ [Em] vivent et leur baiser [B] au loin les _ _ _ suivent [Em] ?
Le ciel était gris de [F#] nuages, il y volait des oies sauvages qui criaient la mort au passage, au-dessus des maisons des quais, je les voyais par la fenêtre,
leur chant triste [E] entrait dans mon être [G] et je croyais y reconnaître [Em] du Reiner Maria Rilke.
_ _ _ Elle était brune et pourtant blanche, ses cheveux tombaient [Am] sur ses hanches, et la semaine et le dimanche, elle offrait à tous ses bras nus.
Elle avait des yeux de [B] faïence et travaillait avec [Em] vaillance pour un [D#] artilleur de [C] maillance qui [G] n'en est [Em] jamais _ revenu.
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[E] Il est d'autres soldats en ville et la nuit [C] monte, les [Am] civils remet du rimel à tes cils, oh là, qui [E] t'en ira bientôt ?
Encore un verre de liqueur, ce fut un [Em] avril à 5 heures, [G] au petit jour que dans ton [D#] coeur, un [G#m] dragon plongea son [C#] couteau. _ _ _
_ [Cm] _ _ [C] _ _ _ [B] _ _
[G] _ _ _ _ [A] _ _ _ _
[G] _ _ [G] _ _ [D#m] _ _ [Em] _ _
[F#m] _ _ _ [Em] _ _ _ _ _
_ [F#] _ _ [Em] _ _ _ _ _