Chords for Saez - Pilule
Tempo:
81.425 bpm
Chords used:
B
A
G
Bm
Am
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[B] [A] [B]
[A] [B] Je me lève et je prends des [Am] pilules pour [B] dormir, je prends le métro dans la meute,
je [A] rêve de [B] partir dans des péos, il fait chaud à [Am] l'autre bout du [B] monde, loin de ce
boulot qui me tue et [Am] qui creuse [B] ma tombe.
Je me lève et je prends des [Am] pilules pour [Bm] dormir, les jours se ressemblent, les [Am] putains
qui s'est tristes [B] à mourir quand on a rien pour soi, que [Am] l'échec de [B] fin de mois, la
télé, le canapé, [A] le crédit [B] à payer.
Je paie les rues, je paie les lieux où [A] on ne m'attend [B] pas, ce que je croise au fond
des yeux, l'on [A] ne me voit [B] pas.
Je parle à des gens comme moi qui [A] n'ont l'air de [B] rien, des esclaves en muselières
qui [A] n'en pensent pas [B] moins.
Je paie la mort, je paie la pierre, je [A] paie celui qui [B] me geste, mais dans l'ombre de
mes miroirs je [A] ne vois que du [B] triste, parano dans les rêves, [A] putain je parle [B] sale,
taxico au cognon, je veux [A] roser, [B] gueille en or, c'est une potelle, je [A] voudrais [B] combiner,
mais j'ai les moyens que de [A] la fausse [B] commer.
Un jour c'est vrai, je vais finir par [A] me trouver [B] un vin, que je descendrai dans la
rue si [A] tu veux, je [B] déclin, qu'ils me mettront au fond du trou [A] une balle dans [B] la tête,
mais non ce ne sera pas pire que [A] mon putain de [B] quotidien, je me lève et je prends des
[A] pilules pour [B] dormir, je prends le métro dans la [A] main, je rêve [B] de partir dans les
pays où il fait chaud à [A] la boutique au bout du [B] monde, moi tout ce boulot qui me dit
est [A] plus grave que [B] ma mort.
Des amis, j'ai des amours, je ne [A] connais pas leur [B] nom, sauf un secret d'étoile sur
[A] mon épris de [B] temps, sur qu'on est rien, [G] rien, que du [A] vide, que [B] du vent, sur qu'on
est rien, rien, que des morts, [A] que des morts [B] vivants, je rêve un jour de rencontrer les
[A] pays de [B] Miami, les stations s'enchaînent, [A] moi je sors [B] à vitrines dans les couloirs
du métro, je [A] crache sur les [B] murs, mais la nation me quête, mais [A] la nation [B] me quête,
je [C#] suis un homme mort, coincé entre quatre murs, je suis, je sais, je sais, je suis
un homme moderne, je me cogne la tête et j [G]'essaie de m'enfuir, mais le miroir d'or
quête, le miroir [B] d'or quête, je sais qu'il me regarde en audio [Am] de sa [B] télé, dans mes
rêves d'Amérique, moi je [A] tente de [B] fuir, le lendemain qui m [G]'attend, le couteau, [A] le
couteau dans [B] le dos, je sais bien en fond de moi même qu'il peut [A] me faire la [B] peau,
trois jours dans le métro, moi je [A] ne suis d'un [B] troupeau, direction la bonne voie,
le [Am] câble pâte sur [B] le dos, ils me mettront comme ils ont dit mes [A] parents et les [B] tiens,
pour qu'un putain d'actionnaire nage avec les dauphins, je me lave et je prends des
[A] piles pour [B] dormir, je prends le métro dans la voiture, [A] je vais te [B] porter dans les baies
où il fait chaud, alors [A] tu me pouds du [B] monde, moi tout ce bolo qui [G] me tue, plus [A] creuse me
[B] tonde, je me lave et je [G] prends des piles [A] pour [B] dormir, les choses se ressemblent et puis
quand [A] c'est tout [B] favoris, quand on a rien pour [G] soi, que le [A] chef ou pas [B] moi, la télé
qui appelle, [A] cradit, [B] fait des lois,
[G] [A] [B] [G]
[A] [B] si mes amis ne se devissent au vol et un héroïne de [G] mes nids [Bm] désassise dans mes
[B] chenaux, les poches c'est pour [G] maman des [A] [B] antidépressants, du viagra pour les vieux
et du [A] calmant pour les [B] enfants, le rôle actif toujours, ce qu'on cherche le jour,
on le verra venir dans tant [E] de contres jours, société [B] séparée, nos amours se tranquillisent
en qui sommeille dans le coeur des métros de perdants,
tu conviendras [G] le jour où nous [A] retrouverons [B] flamme, ici tout est [G] fini, Paris [A] ne pleut
pas, [B] et chez les gauchistes dans la [G] droiture, chez [A] les anards de mon [B] pays, y'a que les
filles qui saluent et les filles qui [D] souillent
[A]
[Bm] ça fait l'été que [G] ta vie s [A]'améliore sur mon [B] est, et que je verrai un jour où les
[A] pays de [Bm] Miami, en m'offernent à [G] la mine, je [A] cherche qui je suis, [B] pour un coup de [G] soleil
[D] faudra [B] filmer, les cordons et les [G] joints dans mes [A] reflets, on peut [Bm] rien moi je crache mon
tenant à la [A] base qui [Bm] t'esteint, station d'un [G] métro sans monde [A] et n'est qu'une
[Bm] route, solacide et bleu et [A] passé entre les [B] gouttes, alors [Em] la nuit je [Bm] trâne comme un
[A] lot dans la [Bm] tête qui pourra remplacer du boisson dans la tête, l'aile me cherche
les doigts, la vie t'en aime mon corps, dans les boîtes à cochons je t'aime sur les
10 floors, dans les boîtes à cochons je t'aime [A] sur les [Bm] 10 floors
[G] [A] [B] [G]
[A] [B] [G] [A] je [Bm]
[B] t'aime sur
[A] [D] les 10 floors
[C#m] [Bm]
[G] [A] [Bm] [G]
[A] [B]
[A] [B] Je me lève et je prends des [Am] pilules pour [B] dormir, je prends le métro dans la meute,
je [A] rêve de [B] partir dans des péos, il fait chaud à [Am] l'autre bout du [B] monde, loin de ce
boulot qui me tue et [Am] qui creuse [B] ma tombe.
Je me lève et je prends des [Am] pilules pour [Bm] dormir, les jours se ressemblent, les [Am] putains
qui s'est tristes [B] à mourir quand on a rien pour soi, que [Am] l'échec de [B] fin de mois, la
télé, le canapé, [A] le crédit [B] à payer.
Je paie les rues, je paie les lieux où [A] on ne m'attend [B] pas, ce que je croise au fond
des yeux, l'on [A] ne me voit [B] pas.
Je parle à des gens comme moi qui [A] n'ont l'air de [B] rien, des esclaves en muselières
qui [A] n'en pensent pas [B] moins.
Je paie la mort, je paie la pierre, je [A] paie celui qui [B] me geste, mais dans l'ombre de
mes miroirs je [A] ne vois que du [B] triste, parano dans les rêves, [A] putain je parle [B] sale,
taxico au cognon, je veux [A] roser, [B] gueille en or, c'est une potelle, je [A] voudrais [B] combiner,
mais j'ai les moyens que de [A] la fausse [B] commer.
Un jour c'est vrai, je vais finir par [A] me trouver [B] un vin, que je descendrai dans la
rue si [A] tu veux, je [B] déclin, qu'ils me mettront au fond du trou [A] une balle dans [B] la tête,
mais non ce ne sera pas pire que [A] mon putain de [B] quotidien, je me lève et je prends des
[A] pilules pour [B] dormir, je prends le métro dans la [A] main, je rêve [B] de partir dans les
pays où il fait chaud à [A] la boutique au bout du [B] monde, moi tout ce boulot qui me dit
est [A] plus grave que [B] ma mort.
Des amis, j'ai des amours, je ne [A] connais pas leur [B] nom, sauf un secret d'étoile sur
[A] mon épris de [B] temps, sur qu'on est rien, [G] rien, que du [A] vide, que [B] du vent, sur qu'on
est rien, rien, que des morts, [A] que des morts [B] vivants, je rêve un jour de rencontrer les
[A] pays de [B] Miami, les stations s'enchaînent, [A] moi je sors [B] à vitrines dans les couloirs
du métro, je [A] crache sur les [B] murs, mais la nation me quête, mais [A] la nation [B] me quête,
je [C#] suis un homme mort, coincé entre quatre murs, je suis, je sais, je sais, je suis
un homme moderne, je me cogne la tête et j [G]'essaie de m'enfuir, mais le miroir d'or
quête, le miroir [B] d'or quête, je sais qu'il me regarde en audio [Am] de sa [B] télé, dans mes
rêves d'Amérique, moi je [A] tente de [B] fuir, le lendemain qui m [G]'attend, le couteau, [A] le
couteau dans [B] le dos, je sais bien en fond de moi même qu'il peut [A] me faire la [B] peau,
trois jours dans le métro, moi je [A] ne suis d'un [B] troupeau, direction la bonne voie,
le [Am] câble pâte sur [B] le dos, ils me mettront comme ils ont dit mes [A] parents et les [B] tiens,
pour qu'un putain d'actionnaire nage avec les dauphins, je me lave et je prends des
[A] piles pour [B] dormir, je prends le métro dans la voiture, [A] je vais te [B] porter dans les baies
où il fait chaud, alors [A] tu me pouds du [B] monde, moi tout ce bolo qui [G] me tue, plus [A] creuse me
[B] tonde, je me lave et je [G] prends des piles [A] pour [B] dormir, les choses se ressemblent et puis
quand [A] c'est tout [B] favoris, quand on a rien pour [G] soi, que le [A] chef ou pas [B] moi, la télé
qui appelle, [A] cradit, [B] fait des lois,
[G] [A] [B] [G]
[A] [B] si mes amis ne se devissent au vol et un héroïne de [G] mes nids [Bm] désassise dans mes
[B] chenaux, les poches c'est pour [G] maman des [A] [B] antidépressants, du viagra pour les vieux
et du [A] calmant pour les [B] enfants, le rôle actif toujours, ce qu'on cherche le jour,
on le verra venir dans tant [E] de contres jours, société [B] séparée, nos amours se tranquillisent
en qui sommeille dans le coeur des métros de perdants,
tu conviendras [G] le jour où nous [A] retrouverons [B] flamme, ici tout est [G] fini, Paris [A] ne pleut
pas, [B] et chez les gauchistes dans la [G] droiture, chez [A] les anards de mon [B] pays, y'a que les
filles qui saluent et les filles qui [D] souillent
[A]
[Bm] ça fait l'été que [G] ta vie s [A]'améliore sur mon [B] est, et que je verrai un jour où les
[A] pays de [Bm] Miami, en m'offernent à [G] la mine, je [A] cherche qui je suis, [B] pour un coup de [G] soleil
[D] faudra [B] filmer, les cordons et les [G] joints dans mes [A] reflets, on peut [Bm] rien moi je crache mon
tenant à la [A] base qui [Bm] t'esteint, station d'un [G] métro sans monde [A] et n'est qu'une
[Bm] route, solacide et bleu et [A] passé entre les [B] gouttes, alors [Em] la nuit je [Bm] trâne comme un
[A] lot dans la [Bm] tête qui pourra remplacer du boisson dans la tête, l'aile me cherche
les doigts, la vie t'en aime mon corps, dans les boîtes à cochons je t'aime sur les
10 floors, dans les boîtes à cochons je t'aime [A] sur les [Bm] 10 floors
[G] [A] [B] [G]
[A] [B] [G] [A] je [Bm]
[B] t'aime sur
[A] [D] les 10 floors
[C#m] [Bm]
[G] [A] [Bm] [G]
[A] [B]
Key:
B
A
G
Bm
Am
B
A
G
_ [B] _ _ _ [A] _ [B] _ _ _
[A] [B] Je me lève et je prends des [Am] pilules pour [B] dormir, je prends le métro dans la meute,
je [A] rêve de [B] partir dans des péos, il fait chaud à [Am] l'autre bout du [B] monde, loin de ce
boulot qui me tue et [Am] qui creuse [B] ma tombe.
Je me lève et je prends des [Am] pilules pour [Bm] dormir, les jours se ressemblent, les [Am] putains
qui s'est tristes [B] à mourir quand on a rien pour soi, que [Am] l'échec de [B] fin de mois, la
télé, le canapé, [A] le crédit [B] à payer.
Je paie les rues, je paie les lieux où [A] on ne m'attend [B] pas, ce que je croise au fond
des yeux, l'on [A] ne me voit [B] pas.
Je parle à des gens comme moi qui [A] n'ont l'air de [B] rien, des esclaves en muselières
qui [A] n'en pensent pas [B] moins.
Je paie la mort, je paie la pierre, je [A] paie celui qui [B] me geste, mais dans l'ombre de
mes miroirs je [A] ne vois que du [B] triste, parano dans les rêves, [A] putain je parle [B] sale,
taxico au cognon, je veux [A] roser, [B] gueille en or, c'est une potelle, je [A] voudrais [B] combiner,
mais j'ai les moyens que de [A] la fausse [B] commer.
Un jour c'est vrai, je vais finir par [A] me trouver [B] un vin, que je descendrai dans la
rue si [A] tu veux, je [B] déclin, qu'ils me mettront au fond du trou [A] une balle dans [B] la tête,
mais non ce ne sera pas pire que [A] mon putain de [B] quotidien, je me lève et je prends des
[A] pilules pour [B] dormir, je prends le métro dans la [A] main, je rêve [B] de partir dans les
pays où il fait chaud à [A] la boutique au bout du [B] monde, moi tout ce boulot qui me dit
est [A] plus grave que [B] ma mort.
Des amis, j'ai des amours, je ne [A] connais pas leur [B] nom, sauf un secret d'étoile sur
[A] mon épris de [B] temps, sur qu'on est rien, [G] rien, que du [A] vide, que [B] du vent, sur qu'on
est rien, rien, que des morts, [A] que des morts [B] vivants, je rêve un jour de rencontrer les
[A] pays de [B] Miami, les stations s'enchaînent, [A] moi je sors [B] à vitrines dans les couloirs
du métro, je [A] crache sur les [B] murs, mais la nation me quête, mais [A] la nation [B] me quête,
je [C#] suis un homme mort, coincé entre quatre murs, je suis, je sais, je sais, je suis
un homme moderne, je me cogne la tête et j [G]'essaie de m'enfuir, mais le miroir d'or
quête, le miroir [B] d'or quête, je sais qu'il me regarde en audio [Am] de sa [B] télé, dans mes
rêves d'Amérique, moi je [A] tente de [B] fuir, le lendemain qui m [G]'attend, le couteau, [A] le
couteau dans [B] le dos, je sais bien en fond de moi même qu'il peut [A] me faire la [B] peau,
trois jours dans le métro, moi je [A] ne suis d'un [B] troupeau, direction la bonne voie,
le [Am] câble pâte sur [B] le dos, ils me mettront comme ils ont dit mes [A] parents et les [B] tiens,
pour qu'un putain d'actionnaire nage avec les dauphins, je me lave et je prends des
[A] piles pour [B] dormir, je prends le métro dans la voiture, [A] je vais te [B] porter dans les baies
où il fait chaud, alors [A] tu me pouds du [B] monde, moi tout ce bolo qui [G] me tue, plus [A] creuse me
[B] tonde, je me lave et je [G] prends des piles [A] pour [B] dormir, les choses se ressemblent et puis
quand [A] c'est tout [B] favoris, quand on a rien pour [G] soi, que le [A] chef ou pas [B] moi, la télé
qui appelle, [A] cradit, [B] fait des lois,
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[A] _ [B] si mes amis ne se devissent au vol et un héroïne de [G] mes nids [Bm] désassise dans mes
[B] chenaux, les poches c'est pour [G] maman des [A] [B] antidépressants, du viagra pour les vieux
et du [A] calmant pour les [B] enfants, le rôle actif toujours, ce qu'on cherche le jour,
on le verra venir dans tant [E] de contres jours, société [B] séparée, nos amours se tranquillisent
en qui sommeille dans le coeur des métros de perdants,
tu conviendras [G] le jour où nous [A] retrouverons [B] flamme, ici tout est [G] fini, Paris [A] ne pleut
pas, [B] et chez les gauchistes dans la [G] droiture, chez [A] les anards de mon [B] pays, y'a que les
filles qui saluent et les filles qui [D] souillent _ _ _ _ _
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[Bm] ça fait l'été que [G] ta vie s [A]'améliore sur mon [B] est, et que je verrai un jour où les
[A] pays de [Bm] Miami, en m'offernent à [G] la mine, je [A] cherche qui je suis, [B] pour un coup de [G] soleil
[D] faudra [B] filmer, les cordons et les [G] joints dans mes [A] reflets, on peut [Bm] rien moi je crache mon
tenant à la [A] base qui [Bm] t'esteint, station d'un [G] métro sans monde [A] et n'est qu'une
[Bm] route, solacide et bleu et [A] passé entre les [B] gouttes, alors [Em] la nuit je [Bm] trâne comme un
[A] lot dans la [Bm] tête qui pourra remplacer du boisson dans la tête, l'aile me cherche
les doigts, la vie t'en aime mon corps, dans les boîtes à cochons je t'aime sur les
10 floors, _ _ dans les boîtes à cochons je t'aime [A] sur les [Bm] 10 floors _ _ _ _ _ _
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[A] _ [B] _ _ [G] [A] je [Bm] _ _ _
_ [B] t'aime sur _ _ _ _
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[A] [B] Je me lève et je prends des [Am] pilules pour [B] dormir, je prends le métro dans la meute,
je [A] rêve de [B] partir dans des péos, il fait chaud à [Am] l'autre bout du [B] monde, loin de ce
boulot qui me tue et [Am] qui creuse [B] ma tombe.
Je me lève et je prends des [Am] pilules pour [Bm] dormir, les jours se ressemblent, les [Am] putains
qui s'est tristes [B] à mourir quand on a rien pour soi, que [Am] l'échec de [B] fin de mois, la
télé, le canapé, [A] le crédit [B] à payer.
Je paie les rues, je paie les lieux où [A] on ne m'attend [B] pas, ce que je croise au fond
des yeux, l'on [A] ne me voit [B] pas.
Je parle à des gens comme moi qui [A] n'ont l'air de [B] rien, des esclaves en muselières
qui [A] n'en pensent pas [B] moins.
Je paie la mort, je paie la pierre, je [A] paie celui qui [B] me geste, mais dans l'ombre de
mes miroirs je [A] ne vois que du [B] triste, parano dans les rêves, [A] putain je parle [B] sale,
taxico au cognon, je veux [A] roser, [B] gueille en or, c'est une potelle, je [A] voudrais [B] combiner,
mais j'ai les moyens que de [A] la fausse [B] commer.
Un jour c'est vrai, je vais finir par [A] me trouver [B] un vin, que je descendrai dans la
rue si [A] tu veux, je [B] déclin, qu'ils me mettront au fond du trou [A] une balle dans [B] la tête,
mais non ce ne sera pas pire que [A] mon putain de [B] quotidien, je me lève et je prends des
[A] pilules pour [B] dormir, je prends le métro dans la [A] main, je rêve [B] de partir dans les
pays où il fait chaud à [A] la boutique au bout du [B] monde, moi tout ce boulot qui me dit
est [A] plus grave que [B] ma mort.
Des amis, j'ai des amours, je ne [A] connais pas leur [B] nom, sauf un secret d'étoile sur
[A] mon épris de [B] temps, sur qu'on est rien, [G] rien, que du [A] vide, que [B] du vent, sur qu'on
est rien, rien, que des morts, [A] que des morts [B] vivants, je rêve un jour de rencontrer les
[A] pays de [B] Miami, les stations s'enchaînent, [A] moi je sors [B] à vitrines dans les couloirs
du métro, je [A] crache sur les [B] murs, mais la nation me quête, mais [A] la nation [B] me quête,
je [C#] suis un homme mort, coincé entre quatre murs, je suis, je sais, je sais, je suis
un homme moderne, je me cogne la tête et j [G]'essaie de m'enfuir, mais le miroir d'or
quête, le miroir [B] d'or quête, je sais qu'il me regarde en audio [Am] de sa [B] télé, dans mes
rêves d'Amérique, moi je [A] tente de [B] fuir, le lendemain qui m [G]'attend, le couteau, [A] le
couteau dans [B] le dos, je sais bien en fond de moi même qu'il peut [A] me faire la [B] peau,
trois jours dans le métro, moi je [A] ne suis d'un [B] troupeau, direction la bonne voie,
le [Am] câble pâte sur [B] le dos, ils me mettront comme ils ont dit mes [A] parents et les [B] tiens,
pour qu'un putain d'actionnaire nage avec les dauphins, je me lave et je prends des
[A] piles pour [B] dormir, je prends le métro dans la voiture, [A] je vais te [B] porter dans les baies
où il fait chaud, alors [A] tu me pouds du [B] monde, moi tout ce bolo qui [G] me tue, plus [A] creuse me
[B] tonde, je me lave et je [G] prends des piles [A] pour [B] dormir, les choses se ressemblent et puis
quand [A] c'est tout [B] favoris, quand on a rien pour [G] soi, que le [A] chef ou pas [B] moi, la télé
qui appelle, [A] cradit, [B] fait des lois,
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[B] chenaux, les poches c'est pour [G] maman des [A] [B] antidépressants, du viagra pour les vieux
et du [A] calmant pour les [B] enfants, le rôle actif toujours, ce qu'on cherche le jour,
on le verra venir dans tant [E] de contres jours, société [B] séparée, nos amours se tranquillisent
en qui sommeille dans le coeur des métros de perdants,
tu conviendras [G] le jour où nous [A] retrouverons [B] flamme, ici tout est [G] fini, Paris [A] ne pleut
pas, [B] et chez les gauchistes dans la [G] droiture, chez [A] les anards de mon [B] pays, y'a que les
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[A] pays de [Bm] Miami, en m'offernent à [G] la mine, je [A] cherche qui je suis, [B] pour un coup de [G] soleil
[D] faudra [B] filmer, les cordons et les [G] joints dans mes [A] reflets, on peut [Bm] rien moi je crache mon
tenant à la [A] base qui [Bm] t'esteint, station d'un [G] métro sans monde [A] et n'est qu'une
[Bm] route, solacide et bleu et [A] passé entre les [B] gouttes, alors [Em] la nuit je [Bm] trâne comme un
[A] lot dans la [Bm] tête qui pourra remplacer du boisson dans la tête, l'aile me cherche
les doigts, la vie t'en aime mon corps, dans les boîtes à cochons je t'aime sur les
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