Chords for Grand Corps Malade - Au Théâtre (Clip Officiel)
Tempo:
82.55 bpm
Chords used:
Cm
D
G
Fm
Ab
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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[Ab]
[N] [D]
[Cm] Acte 1 scène 1, unité de temps, unité [Ab] de lieu.
La pièce durera [Fm] toute ta vie, l'histoire se déroule sous tes yeux.
Le rideau vient de s'ouvrir, toi [Ab] tu soulèves les paupières.
Tes parents gèrent la mise [G] en scène, ta pièce démarre et ils [Cm] sont fiers.
Je ne te souhaite pas une tragédie, ils préfèrent que l [Ab]'histoire soit drôle.
C'est le théâtre de ta vie, c'est toi qui tiens [Fm] le premier rôle.
Tu regardes autour de toi les projecteurs, [Ab] les premiers rangs, les gens qui te [G] donnent
la réplique et puis les autres, les figurants.
[Fm] Tes parents ont écrit le début, mais tu vas vite réaliser.
[Cm] Que pour la suite c'est entendu, tu vas devoir improviser.
[D] Et puis trouver les bons dialogues, dans ce premier acte tu es bavard.
[G] Ce ne sera pas une pièce d'odeur, mais du théâtre de boulevard.
[Fm] Alors ton histoire défile sous la rumeur [D] des [Cm] spectateurs.
Ton personnage perd l'innocence, t'essaies de rester à la [D] hauteur.
Face aux premières piques de l'intrigue, face aux premiers mauvais accords.
[C] Derrière les [G] apparences bien lisses, tu découvres l'enfer du décor.
[Fm] Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l'affiche.
[Cm] Le scénar est en friche, modifie-le, tu t'en fiches.
[D] Pour jouer [F] les plus belles scènes [Ebm] et à l'heure de [F] saluer le public,
[G] que tu aies le privilège d'avoir deux ou trois bonnes critiques.
[Fm] Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l'affiche.
[Cm] L'histoire peut être riche, faut pas que tu traînes, faut pas que tu [D] triches.
Pour t [C]'offrir de l'ivresse, du vertige, [D] de l'émotion.
Et qu'à la fin [G] les gens se lèvent pour ta dernière ovation.
[Cm] Alors de courage Ardyn, maintenant tu fais les 100 pas.
[Ab] Tu côtoies les bons comédiens et puis il y a ceux que tu sens pas.
[Fm] On flirte avec le haut de ville, avec toutes ces portes qui claquent.
Tu vois moi [Ab] tes parents, [G] la gratitude du deuxième acte.
[Cm] Tu l'as compris sur les planches, c'est la cour de création.
Dans toutes les situations, tu dois faire preuve d'adaptation.
[Fm] Dans un monde où le prévisible perd souvent le contrôle,
[Ab] le bon comédien est celui qui [G] sait jouer tous les rôles.
[Fm] Et c'est là qu'intervient celle qui donne du sens à ta pièce.
[Cm] Sous les feux de la rampe, ta prétendante met tes attentes en [D] liesse.
Tout prend de l'importance et ce que ton monologue indique.
[C] Finis le théâtre de boulevard, tu tiens ta [Fm] tragédie antique.
Si tout va bien, l'amour donnera de nouveau aux petits acteurs
qui à leur tour [Cm] joueront leur pièce devant la foule des spectateurs.
[D] Tu mettra en scène leur début, t'as compris les règles du [G] pacte,
avant de retrouver l'énergie de t'atteler à ton [Fm] troisième acte.
Du public, on voit tes doutes, on voit tes gouttes, on voit [Cm] la sueur.
Tes débords, tes trous de mémoire, [D] tes espoirs et tes lueurs.
Mais ce gros rôle apprécié, c'est [Cm] respectable et vibrant.
Tes [G] spectateurs vibrent aussi, c'est du spectacle [Fm] vivant.
Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom [D] sur l'affiche.
[Cm] Le scénar est en friche, modifie-le, tu t'en fiches.
[D] Pour jouer les plus belles scènes et à l [Ebm]'heure de saluer le [Bm] public,
[G] que tu aies le privilège d'avoir deux, trois bonnes critiques.
[Fm] Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l'affiche.
[Cm] L'histoire peut être riche, faut pas que tu traînes, faut pas que tu [D] triches.
Pour t'offrir [C] de l'ivresse, du vertige, de [Dm] l'émotion.
[G] Fais qu'à la fin les gens se lèvent pour ta dernière ovation.
[Cm]
À quelques exceptions près, toutes les pièces se ressemblent un peu.
[Ab] Ça tourne autour de sentiments, tu sens, tu mens, tu vis, tu [Fm] veux.
Rien que le décor et les costumes qui sont amenés à changer,
[G] ça dépend des moyens de la prod, on n'a pas tous les mêmes budgets.
[Cm] Moi j'ai grandi au cœur d'un beau théâtre occidental,
[Ab] loin des troupes du tiers monde et des acteurs [Cm] qui ont la dalle.
[Fm] J'aime le théâtre de ces pays où la scène est à même le ciel,
[G] où les intrigues se resserrent souvent autour des [C] valeurs [Fm] essentielles.
À quelques exceptions près, toutes les pièces se ressemblent [Cm] un peu.
À les grandes scènes de comédie et les bouts de drame [Eb] contagieux.
Et puis à tous ces [Ebm] imprévus, ces fous [D] rires, ces [G] dérapages.
Moi je n'aime ce théâtre que quand l'intrigue sort de la [Fm] page.
Sois patient, reste en coulisse, corrésonne les coups de [Cm] tonnerre.
Et quand la scène est compliquée, appuie-toi sur tes [D] partenaires.
Ils te seront indispensables pour atteindre tes [G] objectifs.
N'oublie jamais cet adjectif, théâtre est un art [Cm] collectif.
À toi d'observer dans l'ombre quand on t'attend dans la [Ab] lumière.
À toi de prendre le devant de la scène quand le scénario te prévoit [Fm] derrière.
Écorche un peu ce qui est écrit, la vie aura un autre [Ab] parfum.
Ta pièce aura une plus belle fin, [G] écoute une dernière fois ce refrain.
[F] Au théâtre on joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l [D]'affiche.
[Cm] Le scénar est en friche, [G] modifie-le, tu t [Gbm]'en fiches.
Pour jouer les plus [Eb] belles scènes et à l'heure de saluer le [G] public,
que tu aies le privilège d'avoir deux [Ab] ou trois bonnes [Fm] critiques.
Au théâtre on joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l [Cm]'affiche.
L'histoire peut être riche, faut pas que tu traînes, faut pas que [D] tu triches.
Pour t'offrir de l [C]'ypresse, du [D] vertige, de l [G]'émotion.
Et qu'à la fin les [C] gens se lèvent [Ab] pour ta [D] dernière ovation.
[Cm] [D] [C] [Cm]
[N]
[N] [D]
[Cm] Acte 1 scène 1, unité de temps, unité [Ab] de lieu.
La pièce durera [Fm] toute ta vie, l'histoire se déroule sous tes yeux.
Le rideau vient de s'ouvrir, toi [Ab] tu soulèves les paupières.
Tes parents gèrent la mise [G] en scène, ta pièce démarre et ils [Cm] sont fiers.
Je ne te souhaite pas une tragédie, ils préfèrent que l [Ab]'histoire soit drôle.
C'est le théâtre de ta vie, c'est toi qui tiens [Fm] le premier rôle.
Tu regardes autour de toi les projecteurs, [Ab] les premiers rangs, les gens qui te [G] donnent
la réplique et puis les autres, les figurants.
[Fm] Tes parents ont écrit le début, mais tu vas vite réaliser.
[Cm] Que pour la suite c'est entendu, tu vas devoir improviser.
[D] Et puis trouver les bons dialogues, dans ce premier acte tu es bavard.
[G] Ce ne sera pas une pièce d'odeur, mais du théâtre de boulevard.
[Fm] Alors ton histoire défile sous la rumeur [D] des [Cm] spectateurs.
Ton personnage perd l'innocence, t'essaies de rester à la [D] hauteur.
Face aux premières piques de l'intrigue, face aux premiers mauvais accords.
[C] Derrière les [G] apparences bien lisses, tu découvres l'enfer du décor.
[Fm] Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l'affiche.
[Cm] Le scénar est en friche, modifie-le, tu t'en fiches.
[D] Pour jouer [F] les plus belles scènes [Ebm] et à l'heure de [F] saluer le public,
[G] que tu aies le privilège d'avoir deux ou trois bonnes critiques.
[Fm] Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l'affiche.
[Cm] L'histoire peut être riche, faut pas que tu traînes, faut pas que tu [D] triches.
Pour t [C]'offrir de l'ivresse, du vertige, [D] de l'émotion.
Et qu'à la fin [G] les gens se lèvent pour ta dernière ovation.
[Cm] Alors de courage Ardyn, maintenant tu fais les 100 pas.
[Ab] Tu côtoies les bons comédiens et puis il y a ceux que tu sens pas.
[Fm] On flirte avec le haut de ville, avec toutes ces portes qui claquent.
Tu vois moi [Ab] tes parents, [G] la gratitude du deuxième acte.
[Cm] Tu l'as compris sur les planches, c'est la cour de création.
Dans toutes les situations, tu dois faire preuve d'adaptation.
[Fm] Dans un monde où le prévisible perd souvent le contrôle,
[Ab] le bon comédien est celui qui [G] sait jouer tous les rôles.
[Fm] Et c'est là qu'intervient celle qui donne du sens à ta pièce.
[Cm] Sous les feux de la rampe, ta prétendante met tes attentes en [D] liesse.
Tout prend de l'importance et ce que ton monologue indique.
[C] Finis le théâtre de boulevard, tu tiens ta [Fm] tragédie antique.
Si tout va bien, l'amour donnera de nouveau aux petits acteurs
qui à leur tour [Cm] joueront leur pièce devant la foule des spectateurs.
[D] Tu mettra en scène leur début, t'as compris les règles du [G] pacte,
avant de retrouver l'énergie de t'atteler à ton [Fm] troisième acte.
Du public, on voit tes doutes, on voit tes gouttes, on voit [Cm] la sueur.
Tes débords, tes trous de mémoire, [D] tes espoirs et tes lueurs.
Mais ce gros rôle apprécié, c'est [Cm] respectable et vibrant.
Tes [G] spectateurs vibrent aussi, c'est du spectacle [Fm] vivant.
Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom [D] sur l'affiche.
[Cm] Le scénar est en friche, modifie-le, tu t'en fiches.
[D] Pour jouer les plus belles scènes et à l [Ebm]'heure de saluer le [Bm] public,
[G] que tu aies le privilège d'avoir deux, trois bonnes critiques.
[Fm] Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l'affiche.
[Cm] L'histoire peut être riche, faut pas que tu traînes, faut pas que tu [D] triches.
Pour t'offrir [C] de l'ivresse, du vertige, de [Dm] l'émotion.
[G] Fais qu'à la fin les gens se lèvent pour ta dernière ovation.
[Cm]
À quelques exceptions près, toutes les pièces se ressemblent un peu.
[Ab] Ça tourne autour de sentiments, tu sens, tu mens, tu vis, tu [Fm] veux.
Rien que le décor et les costumes qui sont amenés à changer,
[G] ça dépend des moyens de la prod, on n'a pas tous les mêmes budgets.
[Cm] Moi j'ai grandi au cœur d'un beau théâtre occidental,
[Ab] loin des troupes du tiers monde et des acteurs [Cm] qui ont la dalle.
[Fm] J'aime le théâtre de ces pays où la scène est à même le ciel,
[G] où les intrigues se resserrent souvent autour des [C] valeurs [Fm] essentielles.
À quelques exceptions près, toutes les pièces se ressemblent [Cm] un peu.
À les grandes scènes de comédie et les bouts de drame [Eb] contagieux.
Et puis à tous ces [Ebm] imprévus, ces fous [D] rires, ces [G] dérapages.
Moi je n'aime ce théâtre que quand l'intrigue sort de la [Fm] page.
Sois patient, reste en coulisse, corrésonne les coups de [Cm] tonnerre.
Et quand la scène est compliquée, appuie-toi sur tes [D] partenaires.
Ils te seront indispensables pour atteindre tes [G] objectifs.
N'oublie jamais cet adjectif, théâtre est un art [Cm] collectif.
À toi d'observer dans l'ombre quand on t'attend dans la [Ab] lumière.
À toi de prendre le devant de la scène quand le scénario te prévoit [Fm] derrière.
Écorche un peu ce qui est écrit, la vie aura un autre [Ab] parfum.
Ta pièce aura une plus belle fin, [G] écoute une dernière fois ce refrain.
[F] Au théâtre on joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l [D]'affiche.
[Cm] Le scénar est en friche, [G] modifie-le, tu t [Gbm]'en fiches.
Pour jouer les plus [Eb] belles scènes et à l'heure de saluer le [G] public,
que tu aies le privilège d'avoir deux [Ab] ou trois bonnes [Fm] critiques.
Au théâtre on joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l [Cm]'affiche.
L'histoire peut être riche, faut pas que tu traînes, faut pas que [D] tu triches.
Pour t'offrir de l [C]'ypresse, du [D] vertige, de l [G]'émotion.
Et qu'à la fin les [C] gens se lèvent [Ab] pour ta [D] dernière ovation.
[Cm] [D] [C] [Cm]
[N]
Key:
Cm
D
G
Fm
Ab
Cm
D
G
_ _ _ _ [Ab] _ _ _ _
[N] _ _ _ _ _ _ _ [D] _
_ [Cm] Acte 1 scène 1, unité de temps, unité [Ab] de lieu.
La pièce durera [Fm] toute ta vie, l'histoire se déroule sous tes yeux.
Le rideau vient de s'ouvrir, toi [Ab] tu soulèves les paupières.
Tes parents gèrent la mise [G] en scène, ta pièce démarre et ils [Cm] sont fiers.
Je ne te souhaite pas une tragédie, ils préfèrent que l [Ab]'histoire soit drôle.
C'est le théâtre de ta vie, c'est toi qui tiens [Fm] le premier rôle.
Tu regardes autour de toi les projecteurs, [Ab] les premiers rangs, les gens qui te [G] donnent
la réplique et puis les autres, les figurants.
[Fm] Tes parents ont écrit le début, mais tu vas vite réaliser.
[Cm] Que pour la suite c'est entendu, tu vas devoir improviser.
[D] Et puis trouver les bons dialogues, dans ce premier acte tu es bavard.
[G] Ce ne sera pas une pièce d'odeur, mais du théâtre de boulevard.
[Fm] Alors ton histoire défile sous la rumeur [D] des [Cm] spectateurs.
Ton personnage perd l'innocence, t'essaies de rester à la [D] hauteur.
Face aux premières piques de l'intrigue, face aux premiers mauvais accords.
[C] Derrière les [G] apparences bien lisses, tu découvres l'enfer du décor.
[Fm] Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l'affiche.
[Cm] Le scénar est en friche, modifie-le, tu t'en fiches.
[D] Pour jouer [F] les plus belles scènes [Ebm] et à l'heure de [F] saluer le public,
[G] que tu aies le privilège d'avoir deux ou trois bonnes critiques.
[Fm] Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l'affiche.
[Cm] L'histoire peut être riche, faut pas que tu traînes, faut pas que tu [D] triches.
Pour t [C]'offrir de l'ivresse, du vertige, [D] de l'émotion.
Et qu'à la fin [G] les gens se lèvent pour ta dernière ovation.
[Cm] Alors de courage Ardyn, maintenant tu fais les 100 pas.
[Ab] Tu côtoies les bons comédiens et puis il y a ceux que tu sens pas.
[Fm] On flirte avec le haut de ville, avec toutes ces portes qui claquent.
Tu vois moi [Ab] tes parents, [G] la gratitude du deuxième acte.
[Cm] Tu l'as compris sur les planches, c'est la cour de création.
Dans toutes les situations, tu dois faire preuve d'adaptation.
[Fm] Dans un monde où le prévisible perd souvent le contrôle,
[Ab] le bon comédien est celui qui [G] sait jouer tous les rôles.
[Fm] Et c'est là qu'intervient celle qui donne du sens à ta pièce.
[Cm] Sous les feux de la rampe, ta prétendante met tes attentes en [D] liesse.
Tout prend de l'importance et ce que ton monologue indique.
[C] Finis le théâtre de boulevard, tu tiens ta [Fm] tragédie antique.
Si tout va bien, l'amour donnera de nouveau aux petits acteurs
qui à leur tour [Cm] joueront leur pièce devant la foule des spectateurs.
[D] Tu mettra en scène leur début, t'as compris les règles du [G] pacte,
avant de retrouver l'énergie de t'atteler à ton [Fm] troisième acte.
Du public, on voit tes doutes, on voit tes gouttes, on voit [Cm] la sueur.
Tes débords, tes trous de mémoire, [D] tes espoirs et tes lueurs.
Mais ce gros rôle apprécié, c'est [Cm] respectable et vibrant.
Tes [G] spectateurs vibrent aussi, c'est du spectacle [Fm] vivant.
Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom [D] sur l'affiche.
[Cm] Le scénar est en friche, modifie-le, tu t'en fiches.
[D] Pour jouer les plus belles scènes et à l [Ebm]'heure de saluer le [Bm] public,
[G] que tu aies le privilège d'avoir deux, trois bonnes critiques.
[Fm] Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l'affiche.
[Cm] L'histoire peut être riche, faut pas que tu traînes, faut pas que tu [D] triches.
Pour t'offrir [C] de l'ivresse, du vertige, de [Dm] l'émotion.
[G] Fais qu'à la fin les gens se lèvent pour ta dernière ovation.
[Cm] _ _ _
À quelques exceptions près, toutes les pièces se ressemblent un peu.
[Ab] Ça tourne autour de sentiments, tu sens, tu mens, tu vis, tu [Fm] veux.
Rien que le décor et les costumes qui sont amenés à changer,
[G] ça dépend des moyens de la prod, on n'a pas tous les mêmes budgets.
[Cm] Moi j'ai grandi au cœur d'un beau théâtre occidental,
[Ab] loin des troupes du tiers monde et des acteurs [Cm] qui ont la dalle.
[Fm] J'aime le théâtre de ces pays où la scène est à même le ciel,
[G] où les intrigues se resserrent souvent autour des [C] valeurs [Fm] essentielles.
À quelques exceptions près, toutes les pièces se ressemblent [Cm] un peu.
À les grandes scènes de comédie et les bouts de drame [Eb] contagieux.
Et puis à tous ces [Ebm] imprévus, ces fous [D] rires, ces [G] dérapages.
Moi je n'aime ce théâtre que quand l'intrigue sort de la [Fm] page.
Sois patient, reste en coulisse, corrésonne les coups de [Cm] tonnerre.
Et quand la scène est compliquée, appuie-toi sur tes [D] partenaires.
Ils te seront indispensables pour atteindre tes [G] objectifs.
N'oublie jamais cet adjectif, théâtre est un art [Cm] collectif.
À toi d'observer dans l'ombre quand on t'attend dans la [Ab] lumière.
À toi de prendre le devant de la scène quand le scénario te prévoit [Fm] derrière.
Écorche un peu ce qui est écrit, la vie aura un autre [Ab] parfum.
Ta pièce aura une plus belle fin, [G] écoute une dernière fois ce refrain.
_ [F] Au théâtre on joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l [D]'affiche.
[Cm] Le scénar est en friche, [G] modifie-le, tu t [Gbm]'en fiches.
Pour jouer les plus [Eb] belles scènes et à l'heure de saluer le [G] public,
que tu aies le privilège d'avoir deux [Ab] ou trois bonnes [Fm] critiques.
Au théâtre on joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l [Cm]'affiche.
L'histoire peut être riche, faut pas que tu traînes, faut pas que [D] tu triches.
Pour t'offrir de l [C]'ypresse, du [D] vertige, de l [G]'émotion.
Et qu'à la fin les [C] gens se lèvent [Ab] pour ta [D] dernière ovation.
_ _ [Cm] _ _ _ [D] _ _ _ [C] _ [Cm] _ _ _ _
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_ _ _ _ _ _ _ [N] _
[N] _ _ _ _ _ _ _ [D] _
_ [Cm] Acte 1 scène 1, unité de temps, unité [Ab] de lieu.
La pièce durera [Fm] toute ta vie, l'histoire se déroule sous tes yeux.
Le rideau vient de s'ouvrir, toi [Ab] tu soulèves les paupières.
Tes parents gèrent la mise [G] en scène, ta pièce démarre et ils [Cm] sont fiers.
Je ne te souhaite pas une tragédie, ils préfèrent que l [Ab]'histoire soit drôle.
C'est le théâtre de ta vie, c'est toi qui tiens [Fm] le premier rôle.
Tu regardes autour de toi les projecteurs, [Ab] les premiers rangs, les gens qui te [G] donnent
la réplique et puis les autres, les figurants.
[Fm] Tes parents ont écrit le début, mais tu vas vite réaliser.
[Cm] Que pour la suite c'est entendu, tu vas devoir improviser.
[D] Et puis trouver les bons dialogues, dans ce premier acte tu es bavard.
[G] Ce ne sera pas une pièce d'odeur, mais du théâtre de boulevard.
[Fm] Alors ton histoire défile sous la rumeur [D] des [Cm] spectateurs.
Ton personnage perd l'innocence, t'essaies de rester à la [D] hauteur.
Face aux premières piques de l'intrigue, face aux premiers mauvais accords.
[C] Derrière les [G] apparences bien lisses, tu découvres l'enfer du décor.
[Fm] Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l'affiche.
[Cm] Le scénar est en friche, modifie-le, tu t'en fiches.
[D] Pour jouer [F] les plus belles scènes [Ebm] et à l'heure de [F] saluer le public,
[G] que tu aies le privilège d'avoir deux ou trois bonnes critiques.
[Fm] Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l'affiche.
[Cm] L'histoire peut être riche, faut pas que tu traînes, faut pas que tu [D] triches.
Pour t [C]'offrir de l'ivresse, du vertige, [D] de l'émotion.
Et qu'à la fin [G] les gens se lèvent pour ta dernière ovation.
[Cm] Alors de courage Ardyn, maintenant tu fais les 100 pas.
[Ab] Tu côtoies les bons comédiens et puis il y a ceux que tu sens pas.
[Fm] On flirte avec le haut de ville, avec toutes ces portes qui claquent.
Tu vois moi [Ab] tes parents, [G] la gratitude du deuxième acte.
[Cm] Tu l'as compris sur les planches, c'est la cour de création.
Dans toutes les situations, tu dois faire preuve d'adaptation.
[Fm] Dans un monde où le prévisible perd souvent le contrôle,
[Ab] le bon comédien est celui qui [G] sait jouer tous les rôles.
[Fm] Et c'est là qu'intervient celle qui donne du sens à ta pièce.
[Cm] Sous les feux de la rampe, ta prétendante met tes attentes en [D] liesse.
Tout prend de l'importance et ce que ton monologue indique.
[C] Finis le théâtre de boulevard, tu tiens ta [Fm] tragédie antique.
Si tout va bien, l'amour donnera de nouveau aux petits acteurs
qui à leur tour [Cm] joueront leur pièce devant la foule des spectateurs.
[D] Tu mettra en scène leur début, t'as compris les règles du [G] pacte,
avant de retrouver l'énergie de t'atteler à ton [Fm] troisième acte.
Du public, on voit tes doutes, on voit tes gouttes, on voit [Cm] la sueur.
Tes débords, tes trous de mémoire, [D] tes espoirs et tes lueurs.
Mais ce gros rôle apprécié, c'est [Cm] respectable et vibrant.
Tes [G] spectateurs vibrent aussi, c'est du spectacle [Fm] vivant.
Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom [D] sur l'affiche.
[Cm] Le scénar est en friche, modifie-le, tu t'en fiches.
[D] Pour jouer les plus belles scènes et à l [Ebm]'heure de saluer le [Bm] public,
[G] que tu aies le privilège d'avoir deux, trois bonnes critiques.
[Fm] Au théâtre où joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l'affiche.
[Cm] L'histoire peut être riche, faut pas que tu traînes, faut pas que tu [D] triches.
Pour t'offrir [C] de l'ivresse, du vertige, de [Dm] l'émotion.
[G] Fais qu'à la fin les gens se lèvent pour ta dernière ovation.
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À quelques exceptions près, toutes les pièces se ressemblent un peu.
[Ab] Ça tourne autour de sentiments, tu sens, tu mens, tu vis, tu [Fm] veux.
Rien que le décor et les costumes qui sont amenés à changer,
[G] ça dépend des moyens de la prod, on n'a pas tous les mêmes budgets.
[Cm] Moi j'ai grandi au cœur d'un beau théâtre occidental,
[Ab] loin des troupes du tiers monde et des acteurs [Cm] qui ont la dalle.
[Fm] J'aime le théâtre de ces pays où la scène est à même le ciel,
[G] où les intrigues se resserrent souvent autour des [C] valeurs [Fm] essentielles.
À quelques exceptions près, toutes les pièces se ressemblent [Cm] un peu.
À les grandes scènes de comédie et les bouts de drame [Eb] contagieux.
Et puis à tous ces [Ebm] imprévus, ces fous [D] rires, ces [G] dérapages.
Moi je n'aime ce théâtre que quand l'intrigue sort de la [Fm] page.
Sois patient, reste en coulisse, corrésonne les coups de [Cm] tonnerre.
Et quand la scène est compliquée, appuie-toi sur tes [D] partenaires.
Ils te seront indispensables pour atteindre tes [G] objectifs.
N'oublie jamais cet adjectif, théâtre est un art [Cm] collectif.
À toi d'observer dans l'ombre quand on t'attend dans la [Ab] lumière.
À toi de prendre le devant de la scène quand le scénario te prévoit [Fm] derrière.
Écorche un peu ce qui est écrit, la vie aura un autre [Ab] parfum.
Ta pièce aura une plus belle fin, [G] écoute une dernière fois ce refrain.
_ [F] Au théâtre on joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l [D]'affiche.
[Cm] Le scénar est en friche, [G] modifie-le, tu t [Gbm]'en fiches.
Pour jouer les plus [Eb] belles scènes et à l'heure de saluer le [G] public,
que tu aies le privilège d'avoir deux [Ab] ou trois bonnes [Fm] critiques.
Au théâtre on joue ta vie, j'ai vu ton nom sur l [Cm]'affiche.
L'histoire peut être riche, faut pas que tu traînes, faut pas que [D] tu triches.
Pour t'offrir de l [C]'ypresse, du [D] vertige, de l [G]'émotion.
Et qu'à la fin les [C] gens se lèvent [Ab] pour ta [D] dernière ovation.
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