Chords for Grand Corps Malade - L'heure des poètes - Clip Officiel
Tempo:
96.2 bpm
Chords used:
G#m
C#m
F#
E
G
Tuning:Standard Tuning (EADGBE)Capo:+0fret
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On a déclaré que j'étais un poète, moi je fais des chansons.
Je ne sais pas [G] si je suis poète, il est possible [C#] que je le sois un petit peu, mais enfin, [G#] peu importe.
Je mélange des paroles et de la musique
Au réveil, c'est du Brassens, que j'émerge encore moins des gens.
Ce métro a un claque au sommeil, et ça démarre intelligent.
Parce que Brassens, c'est du pain chaud sur lequel tu mets du miel.
Ça [F#] sent le café exprès, c'est comme un soir à l'essentiel.
Faut les neurones bien [G] secouer, c'est l'heure du réveil musculaire.
Après la couche, c'est NTM, qui fait bouger le maxillaire.
C'est [C#m] l'heure de se remplir d'énergie pour la journée, c'est que va.
C'est l'heure du flow et des combats, se rappeler aussi que je viens de là.
Quand je prends le volant sur le périph' faut que je continue la série.
Du gros son sur [G] chaque texte, alors c'est l'heure de Kerry.
Car c'est la bande originale du paysage tout autour.
Le bitume prend le micro quand je [G#m] lui apporte deux clignes en cours.
[C#m] A [G#m] chaque saison, la césure a ses airs de fête.
Elle [C#m] a raison, ça rassure, [F#] c'est bien l'heure des poètes.
[G#m]
[C#m] [G#m]
[C#m] [G#m]
[F#] [N] Au repos du guerrier, la pose du dragon.
Y'a la lumière qui s'épaissit, Ferra qui chante à Ragon.
Des mots tranchants et la voix chaude, quand le feu rejoint l'eau.
Le soleil est juste au-dessus, y'a aucun gros tableau.
A l'heure du dessert, c'est évident, c'est Aznavour.
Les petits plats sont dans les gants et y'a le bientôt qui sent tout four.
Un repas sans dessert, c'est une compil' sans la bohème.
L'institution dans l'élégance, les [E] bouffes qui frôlent avec la crème.
11h30, plein soleil, je fais du solide, pas du frêle.
C'est bien l'heure de la boulangerie, c'est l'heure du déjeuner.
C'est l'heure du grand rose, du spacieux, c'est du brel.
La poésie qui s'envole [G] et t'emporte en un instant.
[C#m] Avez-vous le Amsterdam [G#m] avec Mathilde et un mille-vent.
[C#m] A [G#m] chaque saison, la césure a ses airs de fête.
[C#m] A la raison, ça rassure, c'est bien l'heure des poètes.
[G#m] A chaque saison, la césure a ses airs de fête.
[C#m] A la raison, ça rassure, c'est bien l'heure des [G#m] poètes.
[C#m] [G#m]
[C#m] [Fm] Quand le soleil part, reculons, c'est peut-être mon moment préféré.
Une atmosphère [E] comme du coton et la lumière un peu biaisée.
C'est l'heure de tous les états d'âme où je ressens le poids de chaque mot.
C'est le bon climat, messieurs dames, pour pouvoir écouter Renaud.
[F#m]
Renaud, c'est la tempête dans la douleur du [E] crépuscule.
C'est un coeur de moineau [D#m] dans la poitrine d'Hercule.
[F#] C'est la rage et la tendresse.
Il y a trente ans, [E] il a écrit des trucs qui, chaque [B] jour, m'aident à comprendre ce qu'il vit ici.
[F#m] C'est l'heure du règne de la nuit [C#m] quand la lumière s'habille en noir.
Et pour trouver l'accord [D#m] parfait entre triétude et cafard,
il nous restera sale [C#m] le corps caché sous les draps.
Une enceinte au bout des [G#m] doigts qui fait chanter Barbara.
[C#m] [F#] [B] [G#m]
[C#m] [G#m] [D#] [G#m] A chaque saison, la césure a ses airs de fête.
[F#] A la raison, ça [B] rassure, c'est bien l'heure des [G#m] poètes.
[C#m] [E] [D#] [G#m]
[F#] [C#m] [G#m]
[A#] [G#m]
[C#m] [G#m]
[C#m] [G#m]
[C#m] [G#m]
[C#m] [G#m]
[C#m] [G#m]
[C#m] [G#m]
[F#]
Je ne sais pas [G] si je suis poète, il est possible [C#] que je le sois un petit peu, mais enfin, [G#] peu importe.
Je mélange des paroles et de la musique
Au réveil, c'est du Brassens, que j'émerge encore moins des gens.
Ce métro a un claque au sommeil, et ça démarre intelligent.
Parce que Brassens, c'est du pain chaud sur lequel tu mets du miel.
Ça [F#] sent le café exprès, c'est comme un soir à l'essentiel.
Faut les neurones bien [G] secouer, c'est l'heure du réveil musculaire.
Après la couche, c'est NTM, qui fait bouger le maxillaire.
C'est [C#m] l'heure de se remplir d'énergie pour la journée, c'est que va.
C'est l'heure du flow et des combats, se rappeler aussi que je viens de là.
Quand je prends le volant sur le périph' faut que je continue la série.
Du gros son sur [G] chaque texte, alors c'est l'heure de Kerry.
Car c'est la bande originale du paysage tout autour.
Le bitume prend le micro quand je [G#m] lui apporte deux clignes en cours.
[C#m] A [G#m] chaque saison, la césure a ses airs de fête.
Elle [C#m] a raison, ça rassure, [F#] c'est bien l'heure des poètes.
[G#m]
[C#m] [G#m]
[C#m] [G#m]
[F#] [N] Au repos du guerrier, la pose du dragon.
Y'a la lumière qui s'épaissit, Ferra qui chante à Ragon.
Des mots tranchants et la voix chaude, quand le feu rejoint l'eau.
Le soleil est juste au-dessus, y'a aucun gros tableau.
A l'heure du dessert, c'est évident, c'est Aznavour.
Les petits plats sont dans les gants et y'a le bientôt qui sent tout four.
Un repas sans dessert, c'est une compil' sans la bohème.
L'institution dans l'élégance, les [E] bouffes qui frôlent avec la crème.
11h30, plein soleil, je fais du solide, pas du frêle.
C'est bien l'heure de la boulangerie, c'est l'heure du déjeuner.
C'est l'heure du grand rose, du spacieux, c'est du brel.
La poésie qui s'envole [G] et t'emporte en un instant.
[C#m] Avez-vous le Amsterdam [G#m] avec Mathilde et un mille-vent.
[C#m] A [G#m] chaque saison, la césure a ses airs de fête.
[C#m] A la raison, ça rassure, c'est bien l'heure des poètes.
[G#m] A chaque saison, la césure a ses airs de fête.
[C#m] A la raison, ça rassure, c'est bien l'heure des [G#m] poètes.
[C#m] [G#m]
[C#m] [Fm] Quand le soleil part, reculons, c'est peut-être mon moment préféré.
Une atmosphère [E] comme du coton et la lumière un peu biaisée.
C'est l'heure de tous les états d'âme où je ressens le poids de chaque mot.
C'est le bon climat, messieurs dames, pour pouvoir écouter Renaud.
[F#m]
Renaud, c'est la tempête dans la douleur du [E] crépuscule.
C'est un coeur de moineau [D#m] dans la poitrine d'Hercule.
[F#] C'est la rage et la tendresse.
Il y a trente ans, [E] il a écrit des trucs qui, chaque [B] jour, m'aident à comprendre ce qu'il vit ici.
[F#m] C'est l'heure du règne de la nuit [C#m] quand la lumière s'habille en noir.
Et pour trouver l'accord [D#m] parfait entre triétude et cafard,
il nous restera sale [C#m] le corps caché sous les draps.
Une enceinte au bout des [G#m] doigts qui fait chanter Barbara.
[C#m] [F#] [B] [G#m]
[C#m] [G#m] [D#] [G#m] A chaque saison, la césure a ses airs de fête.
[F#] A la raison, ça [B] rassure, c'est bien l'heure des [G#m] poètes.
[C#m] [E] [D#] [G#m]
[F#] [C#m] [G#m]
[A#] [G#m]
[C#m] [G#m]
[C#m] [G#m]
[C#m] [G#m]
[C#m] [G#m]
[C#m] [G#m]
[C#m] [G#m]
[F#]
Key:
G#m
C#m
F#
E
G
G#m
C#m
F#
On a déclaré que j'étais un poète, moi je fais des chansons.
Je ne sais pas [G] si je suis poète, il est possible [C#] que je le sois un petit peu, mais enfin, [G#] peu importe.
Je mélange des paroles et de la musique_
Au réveil, c'est du Brassens, que j'émerge encore moins des gens.
Ce métro a un claque au sommeil, et ça démarre intelligent.
Parce que Brassens, c'est du pain chaud sur lequel tu mets du miel.
Ça [F#] sent le café exprès, c'est comme un soir à l'essentiel.
Faut les neurones bien [G] secouer, c'est l'heure du réveil musculaire.
Après la couche, c'est NTM, qui fait bouger le maxillaire.
C'est [C#m] l'heure de se remplir d'énergie pour la journée, c'est que va.
C'est l'heure du flow et des combats, se rappeler aussi que je viens de là.
Quand je prends le volant sur le périph' faut que je continue la série.
Du gros son sur [G] chaque texte, alors c'est l'heure de Kerry.
Car c'est la bande originale du paysage tout autour.
Le bitume prend le micro quand je [G#m] lui apporte deux clignes en cours. _
_ _ _ [C#m] _ _ A [G#m] chaque saison, la césure a ses airs de fête.
Elle [C#m] a raison, ça rassure, [F#] c'est bien l'heure des poètes.
[G#m] _
_ _ _ [C#m] _ _ _ _ [G#m] _
_ _ _ [C#m] _ _ _ _ [G#m] _
_ _ _ [F#] _ _ _ [N] Au repos du guerrier, la pose du dragon.
Y'a la lumière qui s'épaissit, Ferra qui chante à Ragon.
Des mots tranchants et la voix chaude, quand le feu rejoint l'eau.
Le soleil est juste au-dessus, y'a aucun gros tableau.
A l'heure du dessert, c'est évident, c'est Aznavour.
Les petits plats sont dans les gants et y'a le bientôt qui sent tout four.
Un repas sans dessert, c'est une compil' sans la bohème.
L'institution dans l'élégance, les [E] bouffes qui frôlent avec la crème.
11h30, plein soleil, je fais du solide, pas du frêle.
C'est bien l'heure de la boulangerie, c'est l'heure du déjeuner.
C'est l'heure du grand rose, du spacieux, c'est du brel.
La poésie qui s'envole [G] et t'emporte en un instant.
[C#m] Avez-vous le Amsterdam [G#m] avec Mathilde et un mille-vent. _
_ _ _ [C#m] _ _ A [G#m] chaque saison, la césure a ses airs de fête.
[C#m] A la raison, ça rassure, c'est bien l'heure des poètes.
[G#m] A chaque saison, la césure a ses airs de fête.
[C#m] A la raison, ça rassure, c'est bien l'heure des [G#m] poètes.
_ _ _ [C#m] _ _ _ _ [G#m] _
_ _ _ [C#m] _ _ _ [Fm] Quand le soleil part, reculons, c'est peut-être mon moment préféré.
Une atmosphère [E] comme du coton et la lumière un peu biaisée.
C'est l'heure de tous les états d'âme où je ressens le poids de chaque mot.
C'est le bon climat, messieurs dames, pour pouvoir écouter Renaud.
[F#m]
Renaud, c'est la tempête dans la douleur du [E] crépuscule.
C'est un coeur de moineau [D#m] dans la poitrine d'Hercule.
[F#] C'est la rage et la tendresse.
Il y a trente ans, [E] il a écrit des trucs qui, chaque [B] jour, m'aident à comprendre ce qu'il vit ici.
[F#m] C'est l'heure du règne de la nuit [C#m] quand la lumière s'habille en noir.
Et pour trouver l'accord [D#m] parfait entre triétude et cafard,
il nous restera sale [C#m] le corps caché sous les draps.
Une enceinte au bout des [G#m] doigts qui fait chanter Barbara. _
_ [C#m] _ _ [F#] _ _ [B] _ _ [G#m] _
_ [C#m] _ _ _ [G#m] _ [D#] _ [G#m] A chaque saison, la césure a ses airs de fête.
[F#] A la raison, ça [B] rassure, c'est bien l'heure des [G#m] poètes.
_ [C#m] _ _ [E] _ _ [D#] _ _ [G#m] _
_ _ _ [F#] _ [C#m] _ _ _ [G#m] _
_ _ _ [A#] _ _ _ _ [G#m] _
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_ _ _ [C#m] _ _ _ _ [G#m] _
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Je ne sais pas [G] si je suis poète, il est possible [C#] que je le sois un petit peu, mais enfin, [G#] peu importe.
Je mélange des paroles et de la musique_
Au réveil, c'est du Brassens, que j'émerge encore moins des gens.
Ce métro a un claque au sommeil, et ça démarre intelligent.
Parce que Brassens, c'est du pain chaud sur lequel tu mets du miel.
Ça [F#] sent le café exprès, c'est comme un soir à l'essentiel.
Faut les neurones bien [G] secouer, c'est l'heure du réveil musculaire.
Après la couche, c'est NTM, qui fait bouger le maxillaire.
C'est [C#m] l'heure de se remplir d'énergie pour la journée, c'est que va.
C'est l'heure du flow et des combats, se rappeler aussi que je viens de là.
Quand je prends le volant sur le périph' faut que je continue la série.
Du gros son sur [G] chaque texte, alors c'est l'heure de Kerry.
Car c'est la bande originale du paysage tout autour.
Le bitume prend le micro quand je [G#m] lui apporte deux clignes en cours. _
_ _ _ [C#m] _ _ A [G#m] chaque saison, la césure a ses airs de fête.
Elle [C#m] a raison, ça rassure, [F#] c'est bien l'heure des poètes.
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Y'a la lumière qui s'épaissit, Ferra qui chante à Ragon.
Des mots tranchants et la voix chaude, quand le feu rejoint l'eau.
Le soleil est juste au-dessus, y'a aucun gros tableau.
A l'heure du dessert, c'est évident, c'est Aznavour.
Les petits plats sont dans les gants et y'a le bientôt qui sent tout four.
Un repas sans dessert, c'est une compil' sans la bohème.
L'institution dans l'élégance, les [E] bouffes qui frôlent avec la crème.
11h30, plein soleil, je fais du solide, pas du frêle.
C'est bien l'heure de la boulangerie, c'est l'heure du déjeuner.
C'est l'heure du grand rose, du spacieux, c'est du brel.
La poésie qui s'envole [G] et t'emporte en un instant.
[C#m] Avez-vous le Amsterdam [G#m] avec Mathilde et un mille-vent. _
_ _ _ [C#m] _ _ A [G#m] chaque saison, la césure a ses airs de fête.
[C#m] A la raison, ça rassure, c'est bien l'heure des poètes.
[G#m] A chaque saison, la césure a ses airs de fête.
[C#m] A la raison, ça rassure, c'est bien l'heure des [G#m] poètes.
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_ _ _ [C#m] _ _ _ [Fm] Quand le soleil part, reculons, c'est peut-être mon moment préféré.
Une atmosphère [E] comme du coton et la lumière un peu biaisée.
C'est l'heure de tous les états d'âme où je ressens le poids de chaque mot.
C'est le bon climat, messieurs dames, pour pouvoir écouter Renaud.
[F#m]
Renaud, c'est la tempête dans la douleur du [E] crépuscule.
C'est un coeur de moineau [D#m] dans la poitrine d'Hercule.
[F#] C'est la rage et la tendresse.
Il y a trente ans, [E] il a écrit des trucs qui, chaque [B] jour, m'aident à comprendre ce qu'il vit ici.
[F#m] C'est l'heure du règne de la nuit [C#m] quand la lumière s'habille en noir.
Et pour trouver l'accord [D#m] parfait entre triétude et cafard,
il nous restera sale [C#m] le corps caché sous les draps.
Une enceinte au bout des [G#m] doigts qui fait chanter Barbara. _
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[F#] A la raison, ça [B] rassure, c'est bien l'heure des [G#m] poètes.
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